Qu'est-ce que la Vie cherche à manifester à travers vous ?

L’article du jour sera très rapide et pourtant il concerne quelque chose de tout à fait fondamental !

Je boucle les bagages et tout ce qui concerne l’organisation de mes 3 jours en gîte avec Christian (et nos enfants respectifs), alors suis un peu pressée ce matin : le cake féta-olives noires (avec 2 gouttes d’huile essentielle de basilic doTERRA dans la pâte bien sûr) est dans le four !

Notre objectif de ces 3 jours : créer le réseau des praticiens en onctions sacrées. C’est donc un nouveau départ professionnel en forme de (presque) vacances. C’est de bon augure, vous ne trouvez pas ?

Petite info si vous ne voyez pas du tout de quoi je veux parler. Un peu avant Noël, j’étais très fatiguée alors j’ai pris la décision de me prendre 10 jours complètement off, sans ouvrir mes mails pro, sans écrire d’article, sans faire de vidéo, sans projet particulier. Juste rien et voir e qui se passe. 

C’est là que j’ai reçu des messages que je ne comprenais pas bien, autour du renouveau spirituel, des onctions, etc. J’ai reçu et j’ai demandé à être guidée plus clairement parce que je ne voyais pas en quoi j’étais concernée. Quelques jours plus tard, ma collègue Aurélia Dabon m’a parlé des huiles doTERRA et quand j’ai vu qu’ils faisaient des synergies d’huiles essentielles, j’ai su que c’était là ma réponse et que cette voie des onctions sacrées était en train de prendre forme dans ma vie, en me montrant tout gentiment le chemin, en me donnant tout ce dont j’avais besoin pour la mettre en oeuvre.

Vous voyez, j’écris, j’écris et finalement ce n’est plus un si petit mot que ça. 

Parce qu’il m’amène à vous poser une question (allez, même plusieurs tiens) :

• avez-vous déjà ressenti un appel, une direction à suivre mais que vous avez occultée parce que vous ne voyiez pas bien comment le mettre en oeuvre concrètement ?

• avez-vous déjà suivi un tel appel, même sans en connaître les tenants et les aboutissants et vous vous êtes aperçu que tout s’éclairait eu fur et à mesure de votre avancée ?

• et en ce moment, qu’est-ce que la Vie cherche à manifester à travers vous, même si c’est encore flou ? Prêtez-y attention et ouvrez votre cour à ce “quelque chose”, même si vous ne voyez pas du tout où ça va vous mener ?

Je peux vous garantir que c’était le cas pour moi à Noël quand j’ai été parcourue de frissons en regardant The Crown sur Netflix, dans toutes les scènes autour du couronnement et où il était questions d’onctions. Je me demandais bien ce que ça voulait dire. Mais j’ai écouté, j’ai dit “ok” et aussi “montrez-moi le mode d’emploi parce que là je vois pas bien”. Et voilààààààà !

aimer ses peurs

 

Cette nuit je me suis réveillée avec de la peur en moi. Je n’ai pas souvenir d’avoir fait un cauchemar mais pourtant une boule, presque une douleur était très présente au niveau du plexus solaire. J’ai senti immédiatement que c’était lié à mes réflexions d’hier.

 

C’est normal pour moi d’aimer et d’aider, mais c’est pas normal d’être aidée et d’être aimée. Whahouh, ça fait comme une bombe dans mon plexus de formuler ça comme ça. Et pourtant, c’est exactement comme ça que je le vis. C’est sans doute pour ça aussi que je me suis souvent créée des relations difficiles avec des hommes en « choisissant » des hommes difficiles à aimer parce que très blessés : les autres nanas, ce sont des petites joueuses, elles ont pas réussi, mais moi je vais réussir l’impossible et ce sera normal, je suis équipée pour ça. Et comme ils ont du mal à aimer aussi, ben moi je reçois pas grand chose en échange des efforts surhumains que je fais pour eux, et ça c’est normal aussi puisque je ne suis pas là pour ça. 

 

Souvenirs. Emotions. 

 

Et toujours la peur. Peur d’être aimée. 

 

Voilà comment ça s’appelle.

 

Une phrase a alors résonné dans ma tête : celle qui m’a le plus marquée dans le film consacré à Neale Walsch, l’auteur de Conversations avec Dieu. Tu n’as que deux choix possibles. Il n’y a en réalité que deux états d’esprit. L’amour ou la peur. Soit tu es dans l’amour, soit tu es dans la peur. Que choisis-tu ici ?

 

Alors j’ai choisi d’aimer cette peur. Et là, au niveau de cette douleur au plexus solaire est montée une chaleur, une douceur qui m’a peu à peu envahie… Et je me suis rendormie tranquillement.

 

Et vous, quand vous vous mettez à aimer vos peurs, il se passe quoi ?

se laisser aimer

 

Dans ma méditation de ce matin avec la carte Notre-Dame de la Divine-Présence, qui est à la carte que j’ai tirée pour m’accompagner pendant ces 100 jours, j’ai à nouveau ressenti à quel point il était difficile de me laisser aimer. 

Je l’ai à la fois ressenti en moi, mais ça se manifeste jusque dans les petits trucs de la vie. Je m’apprête à partir un mois en Belgique chez ma soeur de coeur, Anne, comme je le fais chaque année, et la semaine dernière je n’avais encore aucune solution pour les animaux de la maison, deux chats et un lapin. 

Et je n’osais pas demander. 

C’est un ami qui m’a proposé de s’occuper du lapin et de prendre aussi un des chats qui connait sa maison (et le territoire autour, riche en souris). Je me suis rendue compte que ça me gênait vraiment, que je me sentais redevable. 

La semaine dernière, mon imprimante était en rade et j’ai demandé à une copine de m’imprimer quelques feuilles et là aussi, j’ai senti que c’était un effort pour moi. C’est amusant parce qu’à moi on me demanderait d’imprimer même 500 pages, je n’aurais même pas l’impression de rendre un service. Et cerise sur le gâteau, hier soir une voisine que je ne connaissais même pas, mais qui est amie avec une autre voisine, m’a proposé de venir s’occuper du chat qui va rester à la maison !

J’ai analysé un peu le truc et voici ce que j’ai trouvé :

  1. Comme je suis intelligente, thérapeute, et que j’ai le cerveau câblé « solutions » (je ne vois jamais les problèmes, immédiatement quand il y une difficulté mon cerveau se met en mode « recherche de solutions »), c’est un peu comme si c’était à moi, naturellement d’aider les autres, puisqu’en quelque sorte « je suis équipée pour ça ».
  2. J’ai aussi remarqué que quand quelqu’un est sympa avec moi, comme ça, sans raison, non seulement ça me met mal à l’aise, mais je ne comprends même pas ce qui se passe. C’est comme si ça ne rentrait pas dans mes cases. On ne peut pas m’apprécier jusque comme ça, pour qui je suis. Quand je suis dans ma posture « relation d’aide » ou recherche de solutions, ben oui, c’est normal qu’on m’aime bien, mais sans raison, ça c’est bizarre.

Voilà mon cheminement du jour… Une étape importante pour ouvrir mon coeur. 

La suite dans le prochain épisode ;-)

gratitude

 

Voici le 7ème jour du Défi « 100 jours pour ouvrir son coeur à la Vie » et voici comme convenu mon guide pratique sur la gratitude : je vous avais promis des cadeaux dans ce défi alors voilà le premier. 

 

>>  Suivez ce lien télécharger gratuitement le guide pratique

 

Lorsque j’étudiais les mécanismes de l’Abondance, il y a quelque chose qui m’a beaucoup frappé. Selon les auteurs, il y avait des méthodes ou des concepts qui variaient, mais il y avait une idée qui revenait sans cesse : celle de la puissance de la gratitude. Du point de vue de la loi d’attraction, il s’agit de vibrer à la fréquence de la reconnaissance pour attirer davantage de choses pour lesquelles on se sent reconnaissant. J’ai donc commencé à appliquer cette idée, bien consciencieusement, en bonne élève que je suis. Et non seulement j’ai découvert la puissance de la gratitude en ce qui concerne l’abondance, mais c’est bien plus profond que ça. C’est une attitude d’ouverture par rapport à la vie, c’est une attitude du coeur : observer la vie sous l’angle des cadeaux qu’elles nous offre et non plus seulement avec la peur du manque. Avec le temps, ça nous permet de nous attendre à des cadeaux, donc à ouvrir les yeux sur les merveilleuses opportunités que la vie nous tend chaque jour. On pourrait dire quelque chose comme : la gratitude ouvre les yeux du coeur sur les miracles de la vie, sur le miracle qu’est la vie.

 

Comme je vous le disais plus haut, j’ai un cadeau à vous offrir aujourd’hui : voici comment j’ai « décortiqué » en quelque sorte le concept de gratitude, pour mieux le comprendre, l’appréhender, l’apprivoiser et le vivre, pas seulement dans la tête, mais depuis mon coeur. 

 

Voilà comment j’ai commencé à pratiquer les 4 attitudes de gratitude.

 

  • les choses pour lesquelles ont est spontanément reconnaissant, pour lesquelles on dit « merci »
  • Les choses qui nous sont dues, auxquelles ont ne pense même plus
  • Les choses qui nous font ou nous ont fait souffrir
  • Faire comme si c’était déjà là.

 

Pour résumé, c’est une merveilleuse manière d’ouvrir son Coeur à la vie dont je ne me lasse pas.

comment se donner de la douceur en accueillant ce qui est

Bon ben j’ai toujours pas fait mon marque-page « douceur ». Bon faut dire aussi, que bizarrement, il a disparu subrepticement de ma to do list quotidienne. Vraiment bizarre ! Je me rends ainsi compte que si la gratitude (dont je vous parlerai demain plus en détail) me vient de manière spontanée dans la journée, pas seulement pendant mon heure de développement personnel et spirituel, eh bien on dirait que pour la douceur ça va être plus compliqué… 

 

Heureusement que ce soir je me fais un autre truc qui est dans mon programme des bonheurs de l’été : je sors avec une copine !

 

Et ce n’est pas tout ! Voici ce qui me vient en vous écrivant. J’avais l’intention de vous parler aujourd’hui plus en détail de la gratitude, qui m’a permis il y a quelques années de m’ouvrir à la beauté de la vie, à l’émerveillement d’être en vie et de la manière dont je me suis mise à « pratiquer la gratitude », jusqu’à ce qu’elle devienne une manière de penser et un pilier de ma philosophie de vie. 

 

Mais là, maintenant que je suis derrière l’ordinateur, je me rends compte que j’ai un peu la flemme. Et aussi que ce serait mieux, plus vivant, si je vous en parlais en vidéo. oui, mais là, maintenant, tout de suite, j’ai la flemme. Alors voici la douceur que je me donne : je ferai demain ce que je n’ai pas envie de faire aujourd’hui. 

 

Est-ce que ça vous tente de vous donner cette douceur aussi ? Quelle est la chose que vous « deviez » faire aujourd’hui et que vous n’allez pas faire parce que vous n’en n’avez pas envie ?

 

Bonne fin de journée, à demain.

vraie vie

Dans mon article d’hier, je vous ai parlé au détour d’une phrase du concept de « vraie vie » et de nombreuses personnes m’ont demandé de revenir sur cette idée (j’envoie aussi ces articles sous forme de newsletter à mes abonnés, d’où de nombreuses réactions).

 

Au passage, mon premier blog s’appelait d’ailleurs mavraievie.com, il m’a donc semblé important de prendre le temps de définir ce que j’entends par là.

 

C’est lorsque je me suis formée à la relation d’aide qu’est née cette notion. En voici la petite histoire.

 

J’étais en train de déjeuner avec les copines avec qui j’étais en formation et nous échangions joyeusement sur nos rêves, nos aspirations, nos valeurs, etc. Et puis l’une d’entre nous a dit « oui, mais c’est pas tout ça, vous faites quoi dans la vraie vie (sous-entendu, pour payer tes factures) et là, nous avons été plusieurs nous écrier « mais non, ça n’est pas la vraie vie, ça, c’est la fausse vie ».

 

Notre vraie vie, c’est une vie alignée sur qui nous sommes vraiment, sur nos aspirations les plus profondes, sur ce qui nous anime, sur ce qui nous met en joie, une vie qui nous ressemble trait pour trait, une vie dans laquelle on se sent parfaitement à l’aise, une vie qui vaut la peine d’être vécue.

 

C’est en me penchant que cette idée de « vivre sa vraie vie » que j’ai (re)découvert que j’aimais le luxe. Dès toute petite, je parlais à mes parents (ils ne voyaient pas du tout d’où ça venait, puisque ce sont des gens très simples et issus de milieux modestes) de voyages, de gastronomie, d’oeuvres d’art… J’étais attirée par les beaux matériaux et tout ce qui est esthétique en général. C’est en redécouvrant mes aspirations de petite fille et en mesurant le décalage avec ce que je vivais que j’ai pris la décision de « vivre ma vraie vie ».

 

Alors j’ai pris la décision de vivre ma vraie vie. J’ai commencé par la définir, point par point, puis j’ai commencé à me réaligner afin de rendre réel ce que j’avais couché sur le papier.

 

Je vous propose de regarder à votre tour, dans tous les domaines de votre vie, de quoi vous avez réellement envie. Quand je vous dis que j’aime le luxe, cela ne veut pas dire tout le luxe : j’aime les hôtels 5 étoiles, j’aime la gastronomie, j’aime les beaux vêtements et les chaussures haut de gamme mais je n’ai aucune attirance pour les voitures de luxe ou les technologie de pointe par exemple. J’aime aussi la simplicité : je n’ai pas de frigo, pas d’aspirateur, j’aime cultiver mes légumes, embrasser les arbres… Et puis j’aime avoir les moyens financiers pour soutenir des associations auxquelles je crois.

 

Voici un exercice pratique pour faire le point sur votre vraie vie, pour vous permettre de concevoir concrètement votre vie sur-mesure.

A – Moi
Santé • Sommeil • Alimentation • Poids • Silhouette • Look • Vêtements • Accessoires • Développement personnel • Vie spirituelle.

B – Mes relations
Couple • Enfants • Famille (d’origine) • Amis et copains • Collègues • Réseaux.

C – Mon temps
Mission • Travail > Argent • Projets et apprentissages • Loisirs et voyages.

D – Mon espace
Habitation • Ameublement • Équipement ménager • Audiovisuel • Informatique et communication • Modes de déplacement. 

 

Applications pratiques

Pour chaque aspect du domaine A – Moi, projetez-vous à un moment dans le futur où vous vivez votre vraie vie. Où est-ce que vous en seriez ? Incluez tout ce qui existe maintenant dans votre vie et qui fait déjà partie de votre vraie vie. Répondez avec des phrases complètes et au conditionnel. 

 

Pour chacun des aspects, posez-vos des questions comme (voir les formulations proposées en exemple dans le cours correspondant) :
Si je vivais ma Vraie Vie,
– je serais… 

– je ferais…
– j’aurais…
– je ferais l’expérience de…
– j’aurais les moyens de…
– je créerais…
– j’irais…
– je ne me laisserais plus…
– je consacrerais la plus grande partie de mes ressources à… 

– …

 

Faites la même chose pour chaque aspect des 3 autres domaines, dans l’ordre : d’abord, B – Mes relations, ensuite, C – Mon temps, et enfin, D – Mon espace.

 

Je vous suggère d’utiliser une feuille séparée pour chaque domaine.

 

Cela va vous prendre du temps, ne faites pas cet exercice en une seule fois : prenez un peu de temps chaque jour pendant plusieurs jours, le temps de bien clarifier ce que vous voulez vraiment. Ce que vous voulez vous, pas ce que vos parents voudraient pour vous, pas ce qui ferait « bien » devant les voisins ou vos collègues de travail. Juste vous. Identifiez les vrais désirs de votre coeur. Il n’y a que pour ceux-là que vous pourrez maintenir la motivation nécessaire à les réaliser. Il n’y a aussi que la manifestation de ceux-là qui vous rendra vraiment heureuse.

 

Une fois que c’est fait, placez vos 4 feuilles devant vous. Prenez un temps de centrage et fermez les yeux. Rouvrez les yeux et lisez vos 4 feuilles. Notez les désirs qu’il vous semble important de réaliser maintenant. Sentez ceux qui vous appellent, ceux qui cherchent à prendre vie à travers vous, ceux à propos desquels vous pouvez vous dire « il est temps que ce genre de choses m’arrive maintenant ».

 

Notez-les soigneusement et transformez-les en objectifs, avec des dates. 

 

Vous avez maintenant votre plan d’action pour les semaines et les mois à venir !

Comment changer votre vie en seulement une heure par jour ?

Je vous souhaite la bienvenue dans ce 3ème jour du Défi « 100 jours pour ouvrir son coeur à la vie ». Je dois dire que je suis très surprise des répercussions que ce défi peut avoir dans mon organisation quotidienne et au niveau de mon énergie. Mais surtout, ça bouge, bouge, bouge !! Tout d’abord, au niveau organisation. Pour être certaine de faire ma méditation, prendre le temps de ressentir ce que me fais vivre ce processus de 100 jours et écrire au sujet de tout ça, je mets mon réveil tous les matins à 7h30. Voilà quelque chose de très inhabituel pour moi. En effet, j’ai la chance de pouvoir me réveiller naturellement tous les matins, sauf quand je conduis mon fils au lycée (il vit une semaine sur 2 avec moi). Je ne me pensais pas capable de me lever si tôt sans me sentir fatiguée. Et pourtant, c’est avec une grande joie que j’entends le réveil sonner car il signale un moment rien que pour moi, avec moi. Comme un rendez-vous d’amour avec moi en quelque sorte.

 

Cela me permet aussi de renouer avec mon heure quotidienne de développement personnel et spirituel, qui a été un peu malmenée ces dernières années, depuis la naissance de ma fille pour être précise. Et cette heure, elle n’est vraiment pas anodine. 

 

C’est MON secret. Qu’est-ce que j’entends par là ? On me demande souvent comment je suis arrivée là où je suis aujourd’hui : libre de mon temps, avec une activité que j’adore, disponible pour mes enfants, ayant compris « quelques trucs » sur la vie… 

 

Je réponds toujours la même chose : j’ai couru des années après ma vraie vie, après l’argent et comment le créer dans ma vie. Et puis un jour, j’ai pris une décision forte, celle de consacrer une heure par jour à ma vraie vie, à ce que je ferais si je vivais ma vraie vie. Peu à peu, cette heure de vraie vie a pris la forme d’une heure de développement personnel et spirituel, autour du rituel suivant :

  • J’allume une bougie, qui symbolise l’entrée dans un moment particulier, une parenthèse dans ma vie bien remplie
  • Je commence par un moment de gratitude : j’écris dans mon cahier 5 choses pour lesquelles je me sens reconnaissante, petites ou grandes.
  • J’interroge mes guides au sujet d’une question que je me pose.
  • Je passe une commande à l’univers
  • Dernier temps, qui est moins valable maintenant mais qui avait beaucoup d’importance les premiers mois où j’ai mis en place ce rituel : je passais du temps à mettre en place un projet qui me tenait à coeur, je passais à l’action concrètement pour me rapprocher de ma vraie vie, qui était vraiment éloignée de ce que vivait à l’époque.
  • Enfin, je termine en soufflant ma bougie, avec la conscience que tout ce que je viens de faire là dans la matière continue à agir dans le subtil.

 

Je peux vous dire que ce rituel est extrêmement puissant. C’est à partir de là que ma vie a commencé à changer du tout au tout. D’une part, j’ai mis plus de moments plaisir dans ma vie, j’ai notamment repris le tricot ! Cela peut prêter à sourire, mais c’est une activité que j’adore, qui me détend, et qui m’apporte une intense satisfaction intellectuelle : au début, il n’y a qu’un fil, et puis à la fin, vous avez un vêtement confortable, doux, qui vous plait, et que vous avez créé de vos mains. Je trouve que c’est une magnifique métaphore de sa vraie vie. Le fil, c’est qui nous sommes, et le tricot final, c’est ce que nous avons réalisé avec ce que nous sommes. Tricoter, c’est mettre en oeuvre cette magnifique idée que nous sommes le matériau de notre chef-d’oeuvre. D’autre part,  c’est grâce à cela que j’ai pris des décisions importantes : m’installer en tant que praticienne en relation d’aide, écrire en tenant un blog, lire davantage autour des questions de la vie… Et c’est quand j’ai commencé à faire tout ça qu’un de mes clients m’a parlé du monde des formations en ligne qui s’installait en France et que j’ai saisi cette merveilleuse opportunité pour devenir une des premières infopreneuses en France.

 

Aujourd’hui avec ce défi, je renoue quotidiennement avec ça, alors que je le faisais plus épisodiquement ces dernières années, le quotidien avec un jeune enfant quand on est chef d’entreprise laissant peu de répit. 

 

Ces 100 jours me permettent de prendre conscience de cela : j’ai vraiment (trop) peu de moments à moi. Si j’adore mon job, si j’adore être disponible pour mes enfants, je me rends compte que je ne m’accorde pas la même priorité à moi, juste pour être avec moi sans avoir quelque chose à « faire ». Même pour quelque chose qui me tient autant à coeur que mon développement personnel et spirituel. Je suis « au taquet » en permanence. C’est le concept d’efficacité dirige ma vie, comme je le partageais hier. C’est ma to do list qui gouverne ma journée. D’ailleurs au passage, je n’ai absolument pas fait mon marque-page « douceur », alors qu’il était pourtant sur ma to do list d’hier ;-). Un excellent indicateur.

 

Je termine donc ce 4ème jour sur une note mi-figue mi-raisin : heureuse de ce rendez-vous d’amour quotidiennement installé, un peu triste de constater de passer à côté de quelque chose d’aussi fondamental depuis trop longtemps.

 

Je vous dis à demain !

Mettez-vous suffisamment de douceur dans votre vie ?

Concernant mon avancée dans ce processus de 100 jours pour ouvrir davantage mon coeur à la vie, j’ai à nouveau fait ce matin la méditation de la carte Notre-Dame de la Divine-Présence, qui est celle que j’ai tirée pour m’accompagner tout au long de ces 100 jours.

Et c’est de nouveau avec l’énergie de Marie que je me suis sentie accompagnée, avec une grande impression de douceur. Douceur, voilà un mot qui m’est peu familier. Elle m’invite à m’y connecter, à m’offrir de la douceur. J’avoue que je ne sais pas trop quoi faire de ce message. Efficacité, rapidité, flux, voilà ce qui me caractérise. Je prends conscience aujourd’hui que la douceur ne fait pas vraiment partie de mon quotidien, ni de ma vie. M’offrir de la douceur, oui, mais comment, concrètement ? 

Un peu à cours d’imagination, j’ai pensé à consulter ma to-do list du bonheur été 2019, un petit doc que je me fais régulièrement et qui contient les trucs que j’ai envie de faire pour égayer ma vie et vivre des moments de plaisir. Et je lis « regarder mes livres de lettering »: oui, j’ai envie de me mettre au lettrage alors j’ai acheté 2 bouquins pour ça. 

Du coup ça me donne l’idée de me faire un marque-page en lettrage avec écrit DOUCEUR dessus, histoire que cette prise de conscience fasse son chemin dans ma tête (et dans mon coeur bien sûr). Comme une sorte de mini-Vision Board en quelque sorte ;-)

Et vous, la douceur est-elle suffisamment dans votre vie ? Comment vous faites pour vous en donner ?

Voici le 2ème jour du Défi « 100 jours pour ouvrir son coeur à la Vie » et hier, je vous ai parlé de l’Oracle de Marie, et de très nombreuses personnes m’ont dit qu’elles ne le connaissaient pas et m’ont demandé de le présenter donc le voici !

C’est un oracle qu’on m’a fait découvrir en 2015 et que je me suis empressée d’acheter parce que c’est la période où j’ai commencé à canaliser Marie. 

Donc non, ce n’est pas moi qui l’ai réalisé comme on me le demande parfois. J’aurais adoré le faire, mais non !

C’est un jeu de 44 cartes, avec son livret d’explication, qui propose après chaque interprétation une méditation de guérison. Ce que j’aime bien dans cet oracle c’est qu’il emmène vers la foi et l’amour. Pas l’amour amoureux, l’amour relation même si on le réduit souvent à ça, mais l’amour en tant que force de vie, cet amour qui correspond à l’expérience de Dieu. 

Mais il ne fait pas que ça, il est tout sauf béni-oui-oui. Il met le doigt sur l’épreuve que nous traversons, nous invite à y plonger pleinement, non pas dans une exaltation de la souffrance mais dans l’idée de bénéficier pleinement de cette expérience qui est à vivre et à transcender pour en trouver le sens et pour guérir ce qui est à guérir, ici et maintenant. Et c’est ce qui est proposé ensuite avec le processus de guérison qui va avec chaque carte.

Même si je sais canaliser, j’aime beaucoup tirer régulièrement une carte de ce jeu pour élargir mon horizon, recevoir les réponses à mes questionnements d’une manière différente, prendre du recul, explorer plus en profondeur et avec un autre regard ce que je vis. 

Et je l’adooooooore ! Parce qu’à chaque fois il tombe pile poil et les méditations me sont d’un grand réconfort au quotidien dans les jours qui suivent le tirage d’une carte.

Si vous sentez que cet Oracle pourrait aussi vous apporter de l’aide dans votre quotidien, je vous mets ici le lien pour vous le procurer.

 

100 jours pour ouvrir son coeur à la vie

Oufti comme diraient mes amis belges, ça commence super fort ces 100 jours !! 

Ça fait quelques jours maintenant que j’ai décidé de m’offrir – et de vous offrir par contrecoup – un processus de 100 jours, avec pour objectif d’ouvrir plus grand encore mon coeur à la vie.

Pourquoi et comment j’en suis arrivée là ? Je vais globalement bien dans ma vie. Je vis exactement comme j’en ai envie. J’adore le métier que j’ai choisi : offrir du contenu gratuit à partir de mon cheminement personnel et spirituel, de mes lectures, de mes connaissances en tant que praticienne en relation d’aide, des canalisations que j’ai avec mes guides spirituels, via mon blog et mes vidéos et aussi vendre des formations qui permettent de vivre sa spiritualité au quotidien (mission de vie, comment interroger ses guides spirituels, comment prier…). J’adore aussi la manière dont je fais ce métier, c’est-à-dire à ma manière justement, et le fait qu’il me permette d’être disponible pour ma fille de 4 ans et demi qui n’est pas scolarisée (et être aussi à la disposition de mon aîné qui va avoir 16 ans, mais qui a moins besoin de moi ;-). Je décide de ce que je veux faire, quand et comment, et je n’ai compte à rendre qu’à moi-même. Je me suis progressivement libérée du regard d’autrui, au point qu’un jour j’ai été mi-amusée, mi-surprise en entendant mon fils répondre à ma mère « Oh mais maman, ce que pensent les gens, elle s’en fout complètement ». Depuis que les huiles essentielles (merci doTERRA : je vous en reparlerai) sont entrées dans ma vie, je m’accorde de véritables moments détente et bien-être. 

Mais je me suis rendue compte qu’il me manquait un petit truc. En bref, tout ce que je fais a du sens pour moi, mais je le fais encore trop « depuis ma tête », que si j’étais davantage mue par le coeur, comme ça m’arrive parfois, la vie aurait encore une autre saveur, à la fois plus subtile, plus exquise et plus intense.

C’est pour ça que j’ai envie de vous proposer de me suivre dans ce Défi à la fois personnel et collectif. Personnel parce que je vais vous partager mes propres avancées sur ce chemin. Collectif parce que je vais vous offrir tous les outils pour que vous puissiez vous aussi ouvrir votre coeur à la vie et parce que nous serons plusieurs centaines, peut-être même plusieurs milliers à faire ce processus en même temps. En tout cas, mon souhait est de toucher toutes les personnes qui sont dans cette démarche et ne trouvent pas l’inspiration pour le faire.

Alors ce premier jour ? Décoiffant !! Je me doutais que je m’engageais dans un processus puissant, mais je ne m’attendais pas à ce que ça se manifeste dès le premier jour.

J’ai pourtant voulu commencer en douceur, par un moment de méditation. J’ai donc tiré une carte de l’Oracle de Marie, mon jeu de cartes favori, en demandant une direction pour ces 100 jours. Voici celle qui est sortie : Notre-Dame de la Divine Présence. Elle nous invite à ressentir la présence divine en nous mais aussi se mettre dans l’intention de la laisser couler à travers nous pour la transmettre.

Je me suis donc installée comme d’habitude à la petite table à laquelle je m’installe chaque jour pour mon heure de développement personnel et spirituel pour faire la méditation proposée avec la carte. 

Au cours de cette méditation, j’ai ressenti non seulement la présence de Marie, qui s’est peu à peu dissipée pour laisser la place à Jésus himself. En effet, après avoir canalisé Marie régulièrement depuis 2015, je me sens de plus en plus « contactée » par l’énergie de Jésus. Et là, comme je suis au début de mon processus de 100 jours pour ouvrir mon coeur, lui ai demandé de venir se loger dans mon coeur. Et j’ai été très surprise de sa réponse. Il m’a dit que ce n’était pas cela dont j’avais besoin, mais de l’inverse. Que j’avais besoin, moi, de venir dans son coeur. En d’autres mots, que j’avais besoin de me laisser aimer. Que mon problème n’était pas de ne pas aimer assez, mais bien de m’autoriser à recevoir de l’amour, de me considérer comme digne d’être aimée. J’ai alors ressenti beaucoup beaucoup d’émotions, et notamment par la honte que je ressens encore vis-à-vis de mes parents qui ne comprennent pas du tout mes choix de vie car trop éloignés de leurs valeurs à eux et de leur lecture du monde. J’ai sentie aussi que cette blessure était prête à être sinon guérie, au moins à être apaisée. J’ai  beaucoup pleuré et senti l’esprit du pardon me gagner. C’est ce qui me faisait dire plus haut que ces 100 jours démarraient très très fort !!

Si ça vous tente de suivre vous aussi un programme de 100 jours pour ouvrir votre coeur à la Vie, je vous invite aujourd’hui à prendre un temps de méditation en tirant une carte de cet Oracle (si vous l’avez et qu’il vous parle,) ou d’un autre jeu en fonction de vos goûts et habitudes) pour votre propre processus : demander la direction qui est la vôtre pour ces 100 jours et méditez sur ce qui vous est proposé.