Avez-vous votre allié.e Morgane ?

 

Je vous souhaite un excellent début de week-end !

Avez-vous eu le temps de réfléchir à ce que je vous ai dit hier ? Quel projet allez-vous mettre en route pour cette rentrée ?

Pour vous y aider, je voudrais vous partager une pépite que j’ai découverte il y a quelques années et qui se situe dans le même état d’esprit que ce dont je vous ai parlé hier : mettre toutes les chances de son côté lorsqu’on se lance dans un challenge, en le partageant avec d’autres personnes.

Cette pépite, c’est ce livre. Une ressource indispensable quand il s’agit de réaliser un projet, ou pus globalement quand on est sur un chemin de croissance personnelle et spirituelle.

Il est écrit par Natalia Théoret et Nicole Dumoulin, deux québécoises. Elles sont parties d’un constat et d’un proverbe africain. Le constat, c’est que plein de fois, on a fait un stage de développement personnel et on est revenu gonflé à bloc, on se dit des trucs comme « là ça y est c’est sûr, maintenant je me mets à vivre ma vraie vie ». Même chose pour les résolutions de début d’année : « cette idée-là, je vais la réalise cette année, c’est sûr ! ». Idem pour les challenges de la rentrée.

Mais vous échouez parce que vous n’avez pas de plan d’action, et encore moins de soutien, et finalement votre vie quotidienne reprend le dessus, jusqu’au prochain stage, jusqu’à la prochaine idée géniale. 

Le proverbe africain dont je parlais tout à l’heure, c’est le suivant : si tu veux aller vite, fais le chemin seul, si tu veux aller loin, fais le chemin avec quelqu’un.

C’est donc à aller loin que Natalia et Nicole vous invitent : en choisissant une personne, un ou une allié, qui va vous soutenir dans votre projet. Et soutenir, ça ne veut pas juste dire «oui, tu es la meilleure, tu vas y arriver», c’est vous aider à structurer votre projet pour le réussir. Elles proposent pour cela des rencontres régulières entre alliés Morgane, pour faire le point sur l’avancée de votre projet. Mais pour que ce ne soit pas juste une papote entre copines de temps à autre, ça c’est en plus, elle vous donnent des outils pour clarifier votre vision, qu’il s’agisse d’un simple projet ou de votre projet de vie. Ensuite, c’est toute une méthodologie de mise en oeuvre qu’elles ont élaboré : rédaction d’un story board, filtre critique, le tout mâtiné de PNL, une méthodologie à suivre de rencontre en rencontre, jusqu’à la complète réalisation, ou alors, car c’est aussi dans le domaine des possibles, la remise en cause de votre projet, pour en élaborer un autre, qui correspond davantage à qui vous êtes. En un mot, les clés de la réussite !

Mais pourquoi alliés «Morgane» : tout simplement parce que le café où Nicole, bien avant d’inventer le concept, et son ami François se rencontraient une fois par mois pour s’encourager et se motiver à poser des gestes pour améliorer leur vie s’appelait la Morgane.

Je vous souhaite de bons moments avec votre allié(e) Morgane et on se retrouve demain pour la suite du Défi « 100 jours pour ouvrir son coeur à la vie ».

Comment faire des changements en profondeur ?

Suite à ma grande décision d’hier (si vous ne voyez pas de quoi je veux parler, cliquez ici), je voudrais revenir sur deux notions qui y sont associées :

  • la notion d’engagement « public »
  • la notion de processus

Tout a commencé il y a 40 jours maintenant, lorsque je m’engageais dans un processus de 100 jours, dans lequel je vous proposais de me suivre.

Mais pourquoi 100 jours ? Vous connaissez peut-être les processus de 21 jours. 21 jours c’est le temps qu’il faut pour engrammer un changement au niveau subconscient. Par exemple, quand vous changez de place à votre tiroir à couverts dans votre cuisine, les premiers jours, vous retournez machinalement à l’ancien emplacement et puis arrivé.e devant vous vous dites « ah mais oui, c’est vrai, c’est plus là maintenant ». Au bout de quelques jours, chaque fois que vous pensez à aller chercher un couteau, une réflexion se fait, plus consciente, autour du nouvel emplacement de vos couverts. L’ancien autoroute neuronal, celui qui vous faisait vous diriger au bon endroit sans réfléchir, est en cours de destruction et le nouveau en cours de construction. Et après 21 jours, le changement est fait dans votre cerveau, vous vous rendez au nouvel endroit où vous rangez vos couverts sans réfléchir. Un nouvel automatisme est créé.

Alors pour 100 jours et pas 21. 21 jours est le temps nécessaire pour engrammer le changement, mais ce n’est pas toujours suffisant pour créer une nouvelle habitude dans sa vie, une nouvelle manière de penser, une nouvelle manière de se comporter. Et c’est de cela dont j’avais besoin cet été : de changer en profondeur ma manière de vivre. D’où ma grande décision d’hier.

Maintenant, pourquoi avoir rendu cet engagement public ? C’est vrai, j’aurais pu faire mon processus dans mon coin, ni vu ni connu, et simplement écrire quelques articles ici et là sur mon blog, tourné quelques vidéos pour ma chaîne Youtube en fonction de mes lectures, découvertes et avancées. Tout simplement parce que rendre son engagement public lui donne à la fois plus de valeur et plus de poids. Si on ne s’engage vis-à-vis de soi-même, on risque fort de décrocher au moindre « coup de mou ». Tandis que si on s’engage vis-à-vis d’autrui, il y a plein de choses qui nous aident à ne pas abandonner le processus alors qu’il n’est pas terminé. 

Déjà, on ne veut pas passer pour quelqu’un qui ne tient pas ses engagements.

Ensuite, on compte sur les personnes que l’on a impliquées pour nous rappeler notre engagement.

Il y a aussi le fait que partager son projet au jour le jour aide à faire des prises de conscience plus profondes et à s’approprier ses progrès plus facilement.

Ecrire ses avancées permet également de prendre du recul sur ce que l’on peut vivre émotionnellement au quotidien.

Enfin, la célébration de la réussite sera plus grandiose si on la partage.

Alors maintenant, à vous !

Et si vous profitiez de la rentrée pour relever un challenge qui fasse progresser un domaine de votre vie ? Cela peut être un challenge professionnel, cela peut être essayer quelque chose de nouveau, cela peut être adopter un nouveau mode d’alimentation, cela peut être améliorer une relation souffrante, cela peut concerner votre vie spirituelle… Ou encore quelque chose que vous avez eu envie de faire depuis longtemps mais que vous avez reporté. Ou bien quelque chose que vous n’osez pas faire par peur de ne pas être à la hauteur/ne pas être aimé.e/ne pas avoir les résultats escomptés/échouer/toute autre excuse géniale que vous vous donnez ;-)

C’est le moment pour prendre cet engagement et le partager. Pourquoi ne pas commencer le 1er septembre, c’est une belle date symbolique pour un nouveau départ, vous ne trouvez pas ?

Et pour vous aider, demain je vous donnerai un autre truc pour vous aider à tenir plus facilement vos engagements.

A demain !

Quelle décision importante pouvez-vous prendre aujourd’hui ?

 

Et voilà ! Retour à la maison !

J’en ai profité pour prendre une grande décision qui était en train de mûrir ces derniers jours. En effet, ces 3 semaines et demi de « semi-vacances » m’ont permis de me rendre compte de plusieurs choses :

  • ma difficulté à me reposer et à « couper vraiment »
  • ma frustration par rapport à tout ce que j’aimerais créer de mes mains
  • le fait que mon « moi » s’exprime principalement par 2 facettes. Il y a mon côté maman puisque je m’occupe seule de ma fille à temps plein (elle n’est pas scolarisée) et j’adore la manière dont nous vivons ensemble. Il y a aussi mon côté chef d’entreprise avec tous les projets que je mène et qui m’éclatent. Sur ces 2 plans, tout va bien.
  • d’autres manières d’être qui je suis ont besoin de voir de jour : créativité, davantage de spiritualité, + d’être et – de faire…

Je vous le disais partageais déjà ces dernières semaines, une première décision a été de faire du dimanche une journée 100% off, sans aucune considération pour le pro. Une journée pour accueillir ce qui se présente, sans forcément de projet ou de projection de quoi faire. L’idée, c’est de garder de l’espace et du temps disponible pour le flux divin.

En hiver dernier, j’avais remarqué que j’étais très fatiguée et je m’étais accordée 100 jours sans toucher à mon ordinateur entre Noël le Nouvel an et ça avait été très bénéfique en terme de renouveau, de nouvelles idées et de nouvelle manière de voir les choses. On ne peut pas remplir un verre déjà plein, n’est-ce pas ? 

Alors dans cet état d’esprit, je souhaite aller encore plus loin et trouver une organisation qui permette à ces autres facettes de moi de s’exprimer elles aussi. J’ai besoin de temps pour lire davantage, pour créer, pour méditer et prier encore plus et plus intensément (je vous en reparlerai aussi). Et tout simplement du temps pour « être ». Même si je suis bien à l’écoute de mon corps (besoin de sommeil, de nourriture, pauses, etc), je suis beaucoup dans le « faire » et je sens que je suis invitée à davantage investir la dimension de l’être.

J’ai donc décidé 2 choses :

  1. prendre une « année sabbatique » pour moi, au cours de laquelle je ne vais rien créer de nouveau (sauf la formation de praticien en onctions sacrées, qui est déjà prévue) afin de laisser plus de place à d’autres aspects de mon « moi » que l’aspect « professionnel ». 
  2. scinder mes journées en 2 : le pro le matin, puis arrêter à 14h et consacrer l’après-midi  à ce que j’ai envie de faire sur d’autres plans.

Si vous me connaissez un peu, vous savez que c’est un méga-challenge, mais je ne me mets pas la pression par rapport à tout ça : je me laisse le mois de septembre pour trouver mes marques et expérimenter cette nouvelle organisation, peut-être même l’aménager ou l’améliorer encore.

Voili voilou pour moi. Et pour vous : quelle décision importante pouvez-vous prendre en cette rentrée pour être « encore plus vous-même » ?

Je vous souhaite de prendre un temps pour y réfléchir sérieusement et faire ce qui s’impose.

Bonne journée, à demain !

 

D’ici quelques minutes je vais reprendre la route vers ma Bretagne chérie après ma brève halte parisienne, alors je vais simplement partager avec vous un texte que j’aime beaucoup et que j’ai plaisir à relire régulièrement. 

Je l’avais partagé sur le blog il y a quelques temps alors vous pouvez le lire en suivant ce lien.

Pour aller plus loin avec ce texte, je vous invite à vous poser les questions suivantes :

  • Comment vous vous sentez avec ce texte ?
  • Quelles prises de conscience faites-vous en lisant ce texte ?
  • Etes-vous dans le jeu de la vie ou dans l’enjeu de la survie ?
  • Qu’est-ce qui vous fait vous sentir vivant.e ?
  • Quelle décision pouvez-vous prendre aujourd’hui pour imaginer votre vie ? Pour la sculpter, la modeler, la ciseler ?
  • Qu’est-ce que toutes réflexions donnent concrètement ?

Je vous dis à demain pour la suite du Défi « 100 jours pour ouvrir votre coeur à la vie ».

le secret de la puissance du moment présent

 

Comme je vous le disais dans mon article d’hier, mon cheminement vers l’ouverture du coeur m’amène actuellement à explorer plus avant la notion de « moment présent ».

On peut bien sûr comprendre très facilement cette notion : ne pas vivre dans le passé et ne pas non plus être centré sur un futur hypothétique (soit idyllique soit effrayant).

Vivre pleinement le moment présent, c’est aussi cesser de penser à tout ce que l’on a à faire au lieu de vivre pleinement ce que l’on fait dans l’ici et maintenant.

Intellectuellement, c’est facile à comprendre. Mais c’est lorsqu’on expérimente cela concrètement, dans la matière, dans son corps, dans son coeur et dans sa tête qu’on commence à comprendre la portée de ce que cela signifie réellement. Lorsque nous portons notre attention sur ce que nous vivons dans l’ici et maintenant, l’expérience concrète que nous faisons lorsque nous appuyons consciemment sur le bouton « pause » nous donne à voir l’importance d’une telle « pratique » dans la création de notre futur. 

Quand nous nous mettons en pause pour simplement regarder ce qui est autour de nous, en pleine conscience et pour observer ce qui se passe en nous, nous nous rendons compte que ce moment de présence n’ouvre pas seulement un « temps ». Il ouvre également un espace en nous. Une espace dans lequel la douceur de vivre se glisse instantanément. Que fait-on concrètement lorsque nous vivons dans le moment présent ? Nous ouvrons donc une brèche dans le continuum espace-temps. 

C’est aussi dans cet espace-temps ouvert en conscience que nous pouvons prendre conscience de notre libre-arbitre. Plutôt que réagir automatiquement aux stimuli qui nous sont faits (et ils sont nombreux, pour vous comme pour moi), on peut se poser en soi, avec soi, pour évaluer la réponse à y apporter. Cet espace de conscience nous redonne notre statut d’être humain créateur. Au sein de cet espace-temps conscient, on peut aussi se poser avec conscience la question suivante : vais-je réagir depuis ma peur, depuis ma blessure ou vais-je agir avec amour, centré sur mon coeur, centré sur cet « agape », cette force d’amour qui fait tourner la Terre, les étoiles et le coeur humain, pour reprendre l’expression de Jean-Yves Leloup dans son ouvrage L’échelle ?

Cet espace-temps ainsi ouvert est donc un moment de transcendance. Transcendance de votre passé, de vos croyances, des autoroutes neuronaux que vous avez tracés jusqu’à présent mais qui sont malheureusement câblés sur vos automatismes de défense du passé et avec lequel vous tracez votre avenir, un avenir tout aussi tracé que votre passé puisque fonctionnant de la même manière.

Et dans ce moment de transcendance, vous pouvez créer un nouvel avenir. Si vous choisissez de vivre l’instant présent comme le point zéro des physiciens quantiques, comme le départ d’un nouveau moi, que vous inventez et réinventez à votre guise, en puisant dans l’infinité du champ des possibles au lieu de revisiter sans cesse ce que vous connaissez déjà et qui vous fait souffrir, jour après jour, mois après mois, année après année. 

Alors évidemment, je ne suis pas en train de vous dire que cela va se faire en une seconde en un seul moment magique grâce auquel vous allez faire un saut quantique vers le bonheur absolu ! Mais vous pouvez utiliser ces moments bénis comme des moments de « reboutage » de votre système de croyances. Vous pouvez utiliser le pouvoir du moment présent pour accéder de plus en plus à la « super conscience » dont parle Joe Dispenza, conscience de ce que vous créez par défaut, avec tous vos automatismes, mais aussi et surtout conscience de ce que vous voulez et pouvez créer à la place.

Le moment est présent est un point de départ. Mais néanmoins nécessaire si l’on veut un jour franchir la ligne d’arrivée de ce que l’on veut créer, vivre et expérimenter.

Je vous souhaite d’excellents rendez-vous d’amour avec vous, dans l’ici et maintenant.

Que faire quand on se sent débordé.e ?

 

Je suis ravie de vous retrouver encore aujourd’hui, depuis la terrasse de mon chalet dans les Ardennes belges, un lieu idéal pour expérimenter la puissance du moment présent.

En effet, être entourée de nature a un effet puissant sur moi, celui de me mettre très facilement dans l’ici et maintenant. Je ne sais pas si vous ressentez la même chose, mais vraiment du mal à exprimer avec les mots ce que la simple présence d’arbres peut avoir comme effet sur moi… C’est un peu comme chercher à expliquer ce que c’est que de se sentir vivant. 

De votre côté, je ne sais pas si vous avez pris le temps avant-hier d’expérimenter la Présence avec les 4 questions toutes simples que je vous proposais pour ça. Ou plus simplement.

La Présence, c’est prendre un moment, se mettre en pause, et observer ce qui est. Juste ce qui est, dans votre corps, dans votre coeur, dans votre tête. 

Je tenais à partager ce « petit truc » avec vous, auquel j’ai souvent recours lorsque je me sens débordée par tout ce que j’ai à faire. Dès lors que je fais cela, que je reviens au moment présent, je sens instantanément la paix m’envahir, le bien-être s’installer dans mon corps, c’est comme si le simple fait de dire « pouce ! », me permettait de ressentir la vie couler en moi et de me reconnecter avec l’émerveillement d’être en vie.

J’avais donc bien compris, avant d’ouvrir le livre Devenir super conscient de Joe Dispenza, la puissance que peut avoir cette simple « pratique ». Mais je dois dire que je n’en mesurais pas la portée réelle. Cela, je l’ai découvert grâce aux explications contenues dans ce livre.

Et c’est pour cela que je vous prépare pour demain un article plus complet sur le sujet.

A demain !

comment (re)trouver l’amour

 

Je suis ravie de vous retrouver en ce dimanche matin ensoleillé !!

Comme c’est dimanche et que je m’accorde une journée 100% off, je vous ai préparé hier un diaporama qui devrait vous plaire ! Et je m’en vais profiter de cette journée de détente avec mon amie Anne : nous allons tricoter, filer et feutrer de la laine au soleil, avant de reprendre la route demain matin, snif…

>> Cliquez ici pour y accéder

Il s’agit de 10 phrases-clés extraites du livre de Marianne Williamson, Un retour à l’amour.

On se retrouve demain pour la suite du Défi.

Bonne journée !

Vous vous demandez peut-être pourquoi j’insiste tant sur mes dimanches off ? Tout simplement parce que si j’adore ma manière de travailler, d’où je veux, quand je veux, comme je veux, sans avoir de compte à rendre à personne, je me rends compte que je ne m’accorde pas assez de « temps en dehors » et que cela empêche les nouvelles informations d’arriver : eh oui, on ne peut pas remplir un verre déjà plein !

Alors c’est ma décision de cette fin du mois d’août : de faire de chaque dimanche une journée totalement dépourvue de « professionnel ». 

Et vous, quelle décision pouvez-vous prendre pour mieux prendre soin de vous ? Quelle modification pouvez-vous faire dans votre emploi du temps pour mieux vous respecter ?

A demain, bon dimanche !

le pouvoir du moment présent

 

Une des premières notions que je re-découvre dans le livre Devenir Super Conscient de Joe Dispenza, c’est la notion de Présence.

Et je voudrais vous proposer d’expérimenter la force de ce concept aussi simple que puissant, aussi puissant que simple.

Je vous invite donc, à plusieurs reprises dans la journée d’aujourd’hui, de vous mettre en mode pause, puis conscience du moment présent, et d’observer :

  • Combien de temps est-ce que vous « tenez » avant que vos pensées ne reprennent le dessus ?
  • Que se passe-t-il dans votre corps ? Quel est votre ressenti ?
  • Que se passe-t-il dans votre coeur ? Quel est votre ressenti ?
  • Que se passe-t-il dans votre tête ? Quel est votre ressenti ?

Prenez le temps de noter tout ce qui se passe, et même mieux encore, de m’écrire ce que vous expérimentez.

Pour que vous puissiez valablement en tirer des conclusions, le mieux est de le faire plusieurs fois.

Je vous souhaite une belle journée et vous dis à demain.

l’univers entier conspire à mon bonheur

 

Attention ! Attention ! Je vous écris aujourd’hui pour vous présenter une Pépite avec un grand P. Enfin, je dis « pépite », mais je devrais plutôt écrire « mine d’or ». 

Et cette mine d’or est arrivée exactement quand j’étais capable de la recevoir. Comme pour me souvenir que, pour reprendre les mots de Paulo Coelho, « l’univers entier conspire à mon bonheur ».

Il s’agit de l’ouvrage Devenir super-conscient de Joe Dispenza, que mon amie Anne, chez qui je réside en Belgique est en train de lire et a accepté de me prêter avant même de l’avoir fini. Je dois dire que je ne lui pas trop laissé le choix, tellement ce livre semble jouer au chat et à la souris avec moi. Lisez plutôt.

Ce printemps, un de mes amis me parle de Joe Dispenza. Quelques semaines plus tard je lis que Youmna Tarazi se forme auprès de lui. Lorsque j’assiste à la conférence de Neale Walsch à Paris, au mois de juin, je vois ce livre dans la sélection  qui est proposée à la sortie de la conférence. Donc je l’achète, parmi 6 autres livres qui ont retenu mon attention. Le libraire mets tous mes livres dans un sac en papier, dont l’anse casse sous le poids des livres. Il ressort dans les livres et les répartis dans 2 sacs. Sauf… Devenir super-conscient. Mais bien sûr, je ne m’en rends compte que le lendemain lorsque je suis rentrée chez moi en Bretagne ;-). 

La semaine dernière, une personne que j’ai rencontrée récemment me raconte comment elle a transformé sa foi chrétienne « classique » en une ouverture à la spiritualité de manière plus générale et surtout à la possibilité de l’intégrer dans sa vie quotidienne, en dehors des simples moments de prière, grâce à une conférence sur… Joe Dispenza !!

Et à peine arrivée en Belgique, de quoi me parle mon amie et soeur de coeur Anne ? De Joe Dispenza !!

A peine ai-je entamé les premières lignes de l’introduction que les larmes se mettent à couleur sur mes joues. Ce livre a été écrit pour moi, c’est sûr ;-)

J’en suis à la page 32 et je le lis sans pour le moment le faire en vue d’en extraire une synthèse, mais je pense que je vous en livrerai la substantifique moelle quand je l’aurais moi-même approfondi et digéré.

Bonne journée et à demain.

champagne !!

 

C’est avec une joie renouvelée que je vous écris aujourd’hui, car je me suis rendue compte d’un truc énorme hier !

Le coup de mou que j’ai vécu avant-hier soir correspondait au 30ème jour de mon Défi « 100 jours pour ouvrir mon coeur à la vie »

Je me suis souvenue de ce que mon formateur disait lorsque je me suis installée en tant que praticienne en relation d’aide : « tu verras, il y a un cap à 10 consultations, puis à 30, puis à 100, et ainsi de suite… »

En effet, une fois mon mal-être dissipé, je me suis rendue qu’il s’agissait simplement d’un cap à passer et que je pouvais me célébrer dignement de l’avoir traverser sans laisser tout tomber.

En matière de développement personnel, il y a deux dimensions aussi importantes l’une que l’autre

  • prendre conscience de ce qui ne va pas et le changer ;
  • s’approprier ce qui va bien et ce qui va mieux, ce que l’on a réussi à changer.

Dans la poursuite de nos objectifs, on ne prend pas toujours le temps de revenir vers soi pour se rendre compte de tous nos pas, de toutes nos étapes, de toutes les marches franchies.

Et pourtant, cette dimension est fondamentale car elle nous permet de prendre confiance en nous et dans le processus que nous avons enclenché. En savourant nos victoires, nous entretenons également une haute vibration et prenons soin de l’estime de soi.

Je vous invite donc à vous célébrer régulièrement, à chaque fois que vous avez accompli quelque chose dont vous êtes satisfaites : même si de l’extérieur ça ne paraît pas grand chose, ou aux yeux de quelqu’un d’autre ce serait anecdotique, vous seule savez ce que vous a demandé de franchir le cap que vous venez de dépasser. Célébrez-vous en conséquence.

Quelques exemples :

  • champagne !
  • prendre un bain avec de la mousse
  • allumer une bougie et remercier
  • sortir danser
  • inviter un(e) amie au restaurant

Lequel choisissez-vous ?

Si dans cette liste, il n’y en a aucun qui vous “parle”, inventez votre rituel de célébration à vous !

A demain pour la suite des 100 jours : si si, je tiendrai les 100 jours !