Apaiser la douleur
Dans le cadre de notre programme de l’Avent, une période propice à l’introspection, je vous propose chaque jour d’explorer une notion, soit pour accueillir nos ombres, soit pour contacter notre lumière.
Aujourd’hui, nous allons voir comment apaiser nos douleurs.
Une prière
Dieu Tout-Puissant, c’est de puissance et de force dont j’ai besoin aujourd’hui car je viens de te parler de mes douleurs, de mes blessures et de mes peines. Tu les vois et je sais que je peux compter sur ton regard bienveillant.
Peux-tu me donner le sens de ces douleurs et ce qu’elles m’invitent à regarder de plus près ?
Indique-moi avec amour ce que je n’ai pas vu et qui s’est transformé en douleur.
Puisses-tu m’aider à grandir en amour afin que ces douleurs n’aient plus de raison d’être.
Aide-moi à voir au-delà de mes douleurs, afin que je contacte l’essentiel et que j’y reste connecté.e.
Donne-moi la force de supporter ce que je ne comprends pas, ce que je ne parviens pas à dépasser, en restant présent.e à l’amour, à moi-même et à ta Présence, quoi qu’il se passe.
Qu’il en soit ainsi pour mon plus grand bien et pour le plus grand bien de tous.
Une huile essentielle
La synergie Console permet d’apaiser les coeurs qui souffrent, pour une raison ou une autre.
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Console peut être utilisée :
> Lorsque l’on a besoin de réconfort
> Pour toutes les blessures de tristesse
> Pour terminer de guérir des relations anciennes mais qui polluent encore le présent
> Nous connecter à notre capacité d’aimer inconditionnellement
Pour ceux souffrent d’hypersensibilité, d’hyperémotivité et qui souffrent de l’état du monde : Console leur permet de s’ouvrir à plus grand et d’accéder à la justesse du plan divin, même si celle-ci dépasse leur compréhension.
Cette synergie nous aide à nous centrer sur notre coeur, elle nous connecte à notre capacité d’amour inconditionnel, à l’être d’amour que nous sommes, nous permettant ainsi de dire de vrais « oui », alignés sur notre ressenti profond et de vrais « non » lorsque cela est nécessaire.
Console agit au présent, mais permet aussi de terminer la guérison de blessures émotionnelles anciennes, qui polluent encore le présent, de manière consciente ou subconsciente.
Console sera aussi d’un grand réconfort après des prises de conscience importantes et parfois douloureuses, comme un baume apaisant sur une plaie, accélérant la cicatrisation des bobos du coeur.
Une action
La douleur n’est pas là par hasard. Elle attire notre attention sur une blessure qui demande à être guérie. C’est pour cela qu’il est important de plonger dans la douleur, de ne pas la refouler ni faire en sorte qu’elle disparaisse le plus vite possible.
Apprendre à aimer ses blessures profondes ne se fait pas en une fois alors la première chose à faire est d’acceptez qu’il vous faudra du temps. Et c’est parfaitement normal. Accueillez-vous là-dedans. Allez-y tout en douceur. Le but n’est pas d’éliminer l’ombre, la douleur, la blessure : si vous y allez avec cette intention, elle va se raidir et se refouler encore plus d’ailleurs. Le but est de l’apprivoiser, l’accepter, la comprendre, lui montrer qu’elle a le droit d’être là, que c’est normal qu’elle soit là et enfin, de l’aimer. Cette blessure cherche à être reconnue et c’est pour ça qu’elle fait si mal. Elle cherche à attirer votre attention pour être enfin vue, soignée, aimée et pouvoir guérir. Le but est de vous aimer dans votre entier. Consacrez-y du temps.
Voici comment faire.
Posez-vous, prenez du temps. Fermez les yeux. Si vous faites un petit « scan » du corps, de ma tête aux pieds, votre douleur elle se trouve où ? Est-ce qu’elle a une couleur ? Une odeur ? Une saveur ? Peut-être qu’elle fait remonter un souvenir ?
Continuez votre voyage vers votre blessure dans l’accueil pur, dans l’acceptation.
Vous n’êtes pas encore en train de vouloir changer.
Quand on fait ça ce qui est très important, c’est d’aller à la rencontre de votre douleur, de lui laisser toute la place, de ne pas voir ce truc comme quelque-chose qui doit s’en aller, qui n’a pas de raison d’être là, que vous ne voulez pas.
Puis prenez le temps de reconnaître votre blessure, votre douleur et dire “mais oui tu as le droit d’être là !” Reconnaissez cette douleur comment faisant vraiment partie de vous.
Si on n’arrive pas à lui donner TOUTE la place, l’idée c’est de lui dire “ c’est trop dur pour moi de te donner toute la place, mais je t’ai vu, je sais que tu es là, je sais que tu as besoin de moi, et je reviendrai.”
On peut aussi demander à ce qui est là, à cette douleur, si elle a un message.
Parfois il n’y en a pas…
Et lorsqu’on arrive à se dire que cette douleur a sa raison d’être là, que je l’accueille, que je l’accepte et que je l’aime, alors elle disparaît.
Car elle n’a plus besoin d’être là.
Alors allez-y tranquillement. C’est un apprentissage. Pas facile mais tellement libérateur. C’est pour ça qu’il ne faut pas forcer. Rendez-vous cet apprentissage le plus doux possible. Cet apprentissage est simplement l’occasion de vous aimer plus, mieux, plus profondément, pas intimement. L’occasion d’être, tout simplement. Alors plongez dans les délices de votre relation à vous-même et à vos blessures, tranquillement, doucement, à votre rythme. Laissez grandir cet amour de vous. Vous serez étonné.e de la paix qui s’installe en vous au fil des jours.
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