Une nouvelle pratique spirituelle à la portée de tous
Voici quelques jours maintenant que je me questionne sur le sujet de l’argent et la contribution et que j’ai décidé de mettre ma conscience pour la fin de ces 100 jours sur ma grandeur, ma vraie dimension, être à ma hauteur véritable… Et tous ces questionnements pourraient se résumer en une seule question finalement : « qu’est-ce que je suis invitée à apporter au monde, ici et maintenant ? ».
Et bingo !! La réponse est arrivée.
C’est d’ailleurs là une magnifique leçon de la vie, inscrite dans les Evangiles. « Demandez, et l’on vous donnera. Cherchez, et vous trouverez. Frappez, et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvre à celui qui frappe ».
Si vous n’avez pas encore trouvé de réponse à vos questions les plus existentielles, c’est que vous n’avez pas assez cherché. Parfois, bien sûr, on peut se décourager, et c’est important d’accueillir les moments de découragement. Ces moments de découragement sont peut-être aussi une invitation : à faire une pause pour permettre à d’autres informations d’arriver, une invitation à penser différemment, une invitation à se remettre en question, une invitation à demander de l’aide plutôt que chercher soi-même, une invitation à prendre une autre direction.
Ecoutez, et vous saurez. Observez ce que la vie cherche à manifester à travers vous et vous aurez les réponses à vos questions.
Il n’y a que si vous décidez de ne pas avoir de réponses à vos questions que vous n’en n’aurez pas.
J’étais exactement à cet endroit-là, en train de me demander « qu’est-ce que Dieu cherche à manifester à travers moi ici et maintenant ? », lors qu’au cours d’une discussion avec un de mes clients, Edward, médecin homéopathe, j’ai reçu ma réponse.
Cela fait maintenant presqu’un an que j’ai commencé à recevoir des informations sur les onctions sacrées et sur le fait qu’elles peuvent tout à fait prendre leur place dans notre vie spirituelle aux côté de la méditation, de la prière, de la connexion aux guides. C’est aussi au cours de cette même période que j’ai affiné ma mission de vie au service du spirituel et ce que j’avais à apporter à nos contemporains qui se tournent de plus en plus vers cette « autre dimension ».
Mais il manquait un truc.
Comment je le savais, qu’il manquait un truc ? Ben parce que ça marchait pas franchement bien : des personnes étaient intéressées par l’idée, mais dès qu’il s’agissait d’acheter les huiles essentielles nécessaires à les donner, il n’y avait plus personne. Lorsque j’ai proposé une formation pour donner ces onctions, je n’ai pas eu suffisamment d’inscrit. La personne avec qui je devais m’associer pour donner ces formations s’est désengagée.
Pourtant, comme j’avais été « divinement guidée » vers les huiles essentielles, j’ai persévéré, j’ai continué à les utiliser pour moi, à en parler. Je suis aussi restée ouverte aux informations qui pouvaient se présenter.
Et justement, c’est alors que j’étais dans cette vigilance à « qu’est-ce que je suis invitée à mettre dans le monde ? » que le chaînon manquant s’est formé, comme par magie, sous mes yeux.
Edward m’a parlé de l’homéosiniatrie, une pensée développée par des médecins qui ont mis en relation homéopathie et médecine chinoise : les indications cliniques des principaux points d’acupuncture y sont associés à celle des remèdes homéopathiques et des remèdes lithothérapiques, organothérapiques, phytothérapique et gemmothérapiques. Il est alors possible de sélectionner des points sur lesquels sera appliquée une « stimulation » afin de rétablir, chez le patient, un équilibre dont la perturbation est génératrice de l’état en cours.
Si j’applique cette méthode localisée reposant sur le principe que c’est un point du corps qui appelle le remède, alors cela veut dire qu’une seule goutte d’huile essentielle appliquée sur un endroit précis en résonance développe au mieux ses effets.
Whahouh !! Cela n’avait l’air de rien sur le moment mais ça changeait tout pour moi : pour bénéficier d’une onction, plus besoin de trouver quelqu’un pour vous la donner. Non seulement c’est plus pratique, mais cela me semblait aussi plus juste.
Je pense en effet que nous sommes arrivés, dans l’histoire de l’humanité, au stade où c’est à chacun d’entre nous d’ouvrir la porte vers le divin, de cultiver notre lien au divin, de manière individuelle, personnelle et intime, en lieu et place des prêtres et intercesseurs qui contribuent à nous faire croire que nous sommes séparés de Dieu, cultivant ainsi une théologie de la séparation au lieu de nous permettre de nous imprégner de la théologie de l’unité. A mon sens tout l’objet d’une vie spirituelle riche est de vivre la séparation de la dualité dans la conscience de ce qui unit tout ce qui est.
C’est ainsi que j’ai mis au monde, simplement en suivant ce que la vie (ou Dieu) me montrait, le concept d’auto-onction sacrée : un pratique spirituelle renouvelée, à la fois autonome et transmissible.
Avec cette information tout le travail que j’avais fait depuis plusieurs mois prenait enfin toute sa dimension (et moi avec !).
Je vais maintenant m’appliquer à diffuser cette idée, et je verrai quelle sera la réponse de la vie !
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