Aujourd’hui, j’avais prévu de finir mon article sur le Bullet Journal et de vous l’envoyer.

Mais une autre idée m’est venue dans la nuit.

Depuis mon adolescence, j’ai des périodes d’insomnie.

 

A cette époque-là, et pendant une bonne partie de ma vie d’adulte, je faisais screugneugneu, je me tournais et me retournais dans ma vie en pestant sur le fait que je n’arrivais pas à me rendormir.

 

Puis j’ai changé d’attitude face à cette réalité contre laquelle de toute façon, que je râle ou pas, je ne pouvais rien. 

 

Lorsque ma fille était bébé, qu’elle me réveillait pour téter et que je n’arrivais pas à me rendormir, j’en profitais pour faire des choses : écrire, répondre aux mails, repasser… Et quand je sentais le sommeil me gagner je me recouchais.

Maintenant ma fille ne me réveille plus la nuit mais j’ai encore des moments où je me réveille et je sais que j’ai du temps devant moi avant que le sommeil ne revienne.

 

J’ai pris l’habitude d’en faire ce que j’appelle des « rendez-vous d’amour ».

 

 

Ce peut être des rendez-vous d’amour avec moi. 

En quoi ça consiste ?

Je me dis que c’est le bon moment pour aller explorer mes blessures et ouvrir un espace-temps de guérison. Voici comment je pratique :

>> Suivez ce lien dans lequel je vous partage ma méthode favorite (simple et douce) pour guérir le passé

 

 

Ce peut être aussi des rendez-vous d’amour avec Dieu.

 

Cela peut prendre la forme d’un dialogue dans lequel j’ouvre mon coeur. Non pas que Dieu ait besoin d’entendre ce que j’ai à dire – il le sait déjà. Mais lorsque nous avons besoin de dire ce qu’il y a dans notre coeur, c’est nous qui avons besoin de l’entendre. C’est d’ailleurs souvent un excellent moyen de lâcher-prise et/ou de trouver une autre manière de voir les choses.

 

Cela peut aussi prendre la forme d’une prière, qu’elle soit une que j’ai apprise par coeur étant enfant ou une phrase que je compose au gré de mes envies.

 

Cette nuit, c’était un rendez-vous d’amour avec Dieu et ce qui m’est venu spontanément en tête, c’est « Que ta volonté soit faite ».

Je me suis sentie tellement bien avec cette phrase que j’ai eu envie d’écrire un article à son sujet. 

 

En effet, à première vue, on pourrait croire qu’elle nous invite à la soumission, qu’elle nous enlève notre-libre arbitre et qu’elle nous prive de notre puissance.

Mais en fait, c’est tout le contraire. 

 

Si on considère Dieu comme un avatar céleste de notre père terrestre qui nous dictait notre conduite et/ou nous empêchait de faire ce qu’on avait envie de faire comme on avait envie de le faire, évidemment, on n’aime pas cette phrase : « que ta volonté soit faite ».

Mais si l’on se considère comme une extension de cette énergie-source faite d’amour et de lumière, si l’on croit que nous nous sommes incarnés sous la forme humaine pour que Dieu lui-même fasse l’expérience de lui-même, alors cette phrase prend un sens complètement différent.

 

C’est une phrase qui invite alors à l’union avec soi-même, à l’union avec le meilleur de soi, l’union avec notre part la plus belle et la plus lumineuse.

Si l’on voit se perçoit à la fois comme le Créateur créant et se créant à travers nous, et comme le résultat de la création, création dotée d’un certain nombre de talents, de compétences, de capacités.

 

Alors « Que ta volonté soit faite » devient synonyme de :

Que mes talents s’expriment.

Que je reconnaisse mes qualités et que je les exploite.

Que je brille de ma plus parfaite lumière.

Que je sois qui je suis vraiment.

Que je crée à mon tour à partir du pouvoir créateur dont je suis.

Que ma puissance se libère et me permette d’oeuvrer à sa juste mesure.

Que ma grandeur sorte de l’ombre dans laquelle je la maintiens.

Que mon potentiel le plus élevé se manifeste.

Que je devienne capable de tout cela.

Et aussi paradoxalement que ça puisse paraître : que j’utilise à plein le libre-arbitre dont je suis dotée, que je sois pleinement libre.

 

Et vous, comment vous vous sentez avec cette phrase : est-ce qu’elle vous soutient, vous libère, vous rend beau, grand, rempli d’amour ?

J’ai été invitée il y a quelques semaines à suivre 21 méditations sur l’Abondance, créées par Deepak Chopra. Ce que j’ai aimé dans ce processus, c’est qu’il n’y avait pas que des méditations, mais aussi des exercices pratiques. Et le 19ème jour, une magnifique parabole nous était proposée, avec une invitation à ressentir et expliciter comment elle résonnait en nous.

 

Je vous la partage aujourd’hui.

 

Il y avait un roi, il dit un jour aux sages de sa cour « J’ai une bague surmontée de l’un des plus beaux diamants du monde et je veux cacher un message sous la pierre qui pourrait être utile en cas de désespoir. Je donnerai cette bague à mes héritiers et je veux qu’elle les serve fidèlement. Apportez-moi un message à inscrire sous le diamant. Il doit être court pour tenir sur la bague. »

 

Les sages savaient comment rédiger des traités mais ne pouvaient pas s’exprimer en une courte phrase. Ils essayaient dur mais ne trouvaient rien. Le roi se plaignît de l’échec de son entreprise auprès d’un vieux serviteur fidèle qui l’avait élevé dès l’enfance et faisait partie de la famille.

 

Et le vieil homme lui dit : “Je ne suis pas un sage, je ne suis pas éduqué, mais je connais un tel message. Pendant mes nombreuses années passées au palais, j’ai rencontré beaucoup de gens. Une fois, j’ai servi un mystique en visite que votre père avait invité et il m’a transmis ce message. Il suffit de ne pas le lire, de le mettre sous la pierre à l’intérieur de l’anneau et de le lire uniquement lorsqu’il n’y a plus aucun moyen de s’en sortir. “ 

 

Le roi écouta le vieux serviteur.

 

Après un certain temps, des ennemis ont attaqué le pays et le roi perdit la guerre. Il s’enfuit sur son cheval poursuivi pas ces ennemis. Il était seul, ils étaient nombreux. Il chevaucha jusqu’au bout de la route. Il y avait une grande falaise devant lui, s’il tombait là ce serait la fin. Il ne pouvait pas revenir en arrière, les ennemis approchaient. Il entendait déjà le cliquetis des sabots de leurs chevaux. Il n’avait aucun moyen de s’en sortir. Il était désespéré.

 

 

Puis il se souvint de l’anneau. Il l’ouvrit et trouva sous la pierre une inscription de trois mots : “Cela aussi passera.” Après avoir lu le message, il sentit que tout s’était calmé. Apparemment, les poursuivants l’avaient perdu en allant dans la mauvaise direction, ils n’entendaient plus leurs chevaux.

 

Le roi était rempli de gratitude envers le serviteur et le mystique inconnu. Les mots étaient puissants. Il ferma la bague et repris la route. Il rassembla son armée et parvint à reconquérir son État. Le jour de son retour au palais, un accueil somptueux fut organisé pour lui – une fête pour tout le pays. Les gens aimaient leur roi. Le roi était heureux et fier.

 

Le vieux serviteur s’approcha de lui et dit doucement : « Même ce moment passera. Regardez à nouveau le message. ”

Le roi lui rétorqua « Maintenant, je suis le gagnant. Les gens célèbrent mon retour, je ne suis pas désespéré.”

“Écoutez votre vieux serviteur”, répondit l’autre “cela fonctionne non seulement dans les mauvais moments mais aussi dans les bons.”

Le roi ouvrit alors l’anneau et lut : “Cela aussi passera”. Encore une fois, il sentit le silence tomber sur lui. Malgré la foule dansante bruyante. Le sentiment de fierté disparu. Il comprit le message. C’était un homme sage. Et puis le vieux serviteur ajouta : « Vous souvenez-vous de tout ce qui vous est arrivé ? Rien n’est éternel. Aucun sentiment ne reste. Comme la nuit se change en jour, des moments de joie et de désespoir se remplacent. Acceptez-les comme la nature des choses, comme faisant partie de la vie. » 

 

Pour moi ce texte parle de la notion d’acceptation… et de son pouvoir hautement transformateur.

 

Mais d’abord, accepter, c’est quoi ?

 

Accepter, c’est observer ce qui se passe dans ma vie, c’est faire un constat. Ce constat est important, car quand on ne parvient pas à le faire, quand on ne parvient pas à accepter ce qui se passe alors on se bat contre la réalité, on ne veut pas l’admettre et on voudrait la faire changer. On croit que les choses devraient être autrement, auraient dû être autrement et on fait tout pour cultiver ça : dans sa tête et dans son coeur, on est dans la lutte… 

 

Ca, c’est ce que l’on voit dans la première partie de l’histoire.

 

Mais ce n’est pas uniquement valable quand ça ne va pas, l’acceptation. 

 

Comme on le voit ici dans la deuxième partie de l’histoire, l’acceptation n’est rien d’autre que l’amour absolu, sans contrepartie ni préférence. 

 

Cette totale acceptation nous recentre lorsque les circonstances extérieures pourraient nous décentrer en nous faisant croire que nous sommes soit mauvais ou victime mais aussi lorsque l’on croit qu’on est « vainqueur » de quoi que ce soit. 

 

En quelque sorte, l’acceptation nous ramène au point zéro, là où rien n’existe et où tout est possible, là où l’existence précède l’essence, là où tout peut être créé parce qu’on accueille la vie, tout simplement.

 

Si cette histoire vous a plu, il y en a deux autres tout aussi savoureuses sur ce blog :

> L’histoire du Roi de Quoi Q’il Advienne

> Le mauvais loup n’est pas celui qu’on croit

 

Comment j’ai trouvé mon essence (dans les deux sens)

Celle qui me sert de carburant et celle qui constitue ma nature profonde

Comme je vous le racontai la dernière fois, voici ce qui s’est passé pour mois pendant les 2 mois où j’étais totalement incapable de passer à l’action, dans quelque domaine que ce soit.

Je suis simplement restée dans mon lit, à ne rien faire.

Enfin pas tout à fait « rien ». Comme j’étais bien (pas déprimé ni au fond du gouffre ni malade, juste incapable de faire quoi que ce soit), j’ai simplement observé ce qui se passait en moi et autour de moi dans ce moment de RIEN.

J’ai observé ce qui cherchait à émerger en moi : qu’est-ce qui, spontanément, quand je n’ai aucune projet ni aucune intention, cherche à prendre vie à travers moi ?

Et ce qui a émergé, c’est 3 choses : deux anciennes et une nouvelle. 

Ce qui est nouveau aussi, c’est que je me suis rendue compte que ces 3 éléments, qui pourraient paraître très différents les uns des autres, se regroupent finalement sous une seule bannière.

Et c’est laissant advenir ces 3 éléments, sans les rejeter, sans les juger, sans les comparer, sans chercher à les réunir ou à trouver une cohérence entre eux, que j’ai compris qu’ils se rejoignaient naturellement et formaient un tout, qui est mon essence profonde.

Une des choses que j’aime le plus dans la vie, c’est écrire. Non seulement jouer avec les mots pour créer des phrases qui impactent. Mais aussi jeter sur le papier les idées qui naissent dans ma tête, pour les éclaircir et les clarifier, les structurer. Mais peut-être encore, ce que j’adore par-dessus tout, c’est laisser aller mes mains sur le clavier en suivant le fil de ma pensée pour l’amener plus loin, l’amener là où elle n’a jamais été. Ce sont des ces moments-là que je suis la plus « fière » de ce que j’écris.

 

 

Ça c’était déjà là.

Mais ce qui est nouveau et qui devenu impérieux c’est de créer des oeuvres d’art. 

Avant j’étais ce qu’on appelle « créative » : tricot, broderie, papier mâché, bricolage, déco… J’ai toujours, du plus loin que je me souvienne, adoré ça. Mais il fallait que ce soit utile. Qu’à la fin j’ai un objet qui serve à quelque chose.

Et c’est ça qui est nouveau pour moi. 

J’expérimente : aquarelle, collage, lettering, pastels… J’ai même acheté une formation en ligne pour créer ses propres tampons et j’adore ça. Je n’ose pas encore dessiner mais ça viendra. 

Je ne cherche pas à atteindre un résultat, ni même que ça soit beau. Je me laisse juste guider par « tiens si j’essayais ça ? ». Juste guidée par le fil de mes pensées, idées, intuition. Des fois ça marche, des fois ça rate.

 

 

Le troisième élément qui est venu me faire « coucou », c’est ma capacité à créer et à m’emparer de nouvelles idées, de nouveaux concepts. 

C’est ainsi que j’ai été la première blogueuse zéro déchet en France en 2011, une des premières infopreneuses française en 2012. J’ai aussi créer le premier programme pour aider les thérapeutes à se développer (aujourd’hui c’est la tarte à la crème, mais croyez-moi, en 2013 il n’y avait RIEN dans ce domaine). J’ai été aussi une des première à oser parler aussi ouvertement de la prière et de Dieu avec Divine Prière en 2018. En 2018 également, j’ai aussi tenté de créer un site collectif de prière mais il n’a pas vu le jour. Puis en 2019, je me suis emparée du concept d’onction sacrée pour le remettre au goût du jour et en créer une méthode personnelle et autonome de lien à Dieu.

D’ailleurs quand j’étais salariée, on me reprochait d’avoir trop d’idées et qu’elles étaient « trop originales ».

Jusqu’à présent, je n’avais absolument pas fait le lien entre tous ces projets ni même entre ces 3 éléments : écrire, l’art, les projets.

Aujourd’hui, le lien entre ces 3 éléments qui émergent de qui je suis, comme une source qui sort de terre spontanément, il me semble évident.

Je suis une créatrice : voici mon étendard, la bannière qui réunit tout ce qui émane de moi naturellement.

Quand ce mot CREATRICE a émergé, inutile de vous dire que je ne savais pas du tout quoi en faire de concret. Je ne sais d’ailleurs toujours pas comment je vais articuler tout ça « économiquement parlant » : j’ai besoin de laisser encore poser les choses. Cela viendra en son temps.

Voilà pour aujourd’hui, c’était la phase « observer ce qui émerge » lorsque je ne cherche pas à « faire quoi que ce soit ».

Et vous, avez-vous déjà vécu une période dans votre vie ou vous avez pu observer ce qui, spontanément, quand vous n’avez aucun projet ni aucune intention, ce qui cherche à prendre vie à travers vous ?

Si oui, c’était quoi ? Et qu’en avez-vous fait par la suite ?

A bientôt.

Dans la dernière newsletter que j’ai envoyée à mes abonnés après mes 3 mois d’absence, je leur promis que je leur raconterai ce qui s’est passé pour moi ces dernières semaines ainsi que les raisons de mon silence. Cela m’a semble une bonne idée d’en parler ici aussi.

 

En réalité, cela a commencé en août dernier.

 

Je revenais de 3 semaines de vacances et normalement j’aurais dû être pleine d’entrain à l’idée de recommencer à apporter ma contribution au monde et pleine d’énergie de m’être reposée.

Mais au bout d’une semaine, j’étais déjà épuisée et j’avais à nouveau envie d’être en vacances.

 

Et ça, c’est tout sauf normal.

Dans notre société, on a tendance à croire que la fatigue c’est un truc normal.

Tout le monde est fatigué. « Ça va ? ». « Oui, un peu fatiguée mais ça va ».

Ben non ça va pas.

 

Etre fatigué, ce n’est pas normal.

C’est un symptôme physique. Et un symptôme physique nous indique que quelque chose est déséquilibré dans notre vie, que nous sommes désalignés.

La fatigue est liée à un manque de sens.

 

C’est comme ça que j’ai décidé de reprendre plus d’articles, plus de vidéos sur les onctions, newsletters, etc.

Et tout allait bien, j’avais retrouvé mon énergie et mon envie… En effet, tout cela donne du sens à ma vie. C’est quelque chose que j’aime faire, que je suis douée pour faire, qui fait du bien autour de moi : le trio gagnant !

 

Mais il y a avait un malaise plus profond.

 

Quelque chose que je ne sentais pas et qui a mis quelques semaines à se manifester.

 

Une extrême fatigue s’est emparée de moi. Soudainement. Au point que j’avais du mal à sortir de mon lit.

 

 

Dès que j’avais une journée « normale », le lendemain j’étais malade.

Je n’étais plus capable de rien faire. Et je n’en n’avais pas envie non plus.

 

Rien. Même pas répondre aux textos. Même des gens que j’aimais bien. Même pas lire (alors que j’adore ça). Juste zéro énergie.

Je n’allais pas mal, je ne me lamentais pas. J’étais juste bien dans mon lit.

 

Bon je me suis quand même posé des questions.
Est-ce que je n’ai pas un cancer ?
Une amie a osé me demander : « ce ne serait pas une dépression ? ».

 

Evidemment je n’avais pas du tout prévu ça.

Alors il a bien fallu que je lâche prise.

Sur tous les plans, y compris sur le plan financier.

Je suis restée dans mon lit, à ne rien faire.

 

Enfin pas tout à fait : j’ai observé ce qui se passait en moi et autour de moi dans ce moment de RIEN.

 

 

J’ai observé ce qui cherchait à émerger en moi : qu’est-ce qui, spontanément, quand je n’ai aucune projet ni aucune intention, cherche à prendre vie à travers moi ?

De la même manière, j’ai observé ce qui venait spontanément de l’extérieur : qu’est-ce que les gens me demandent et qu’est-ce que cela fait en moi ?

 

Et c’est ainsi que peu à peu, l’énergie est revenue.

Début janvier, j’ai eu de nouveau envie de sortir de mon lit. J’ai aussi observé ça, mais sans rien forcer. J’ai continué d’être dans cette attitude d’observatrice, à l’écoute de mes envies ou non-envies.

J’ai passé janvier en mode brainstorming, parce que c’est ce dont j’avais envie : je suis allée à la rencontre de qui je suis vraiment.

Sans forcer. Sans me demander « est-ce que ça peut marcher ? » ou « est-ce bien raisonnable ? ».

 

J’ai continué de me poser ces questions :
Est-ce que je me sens bien ? Je continue.
Est-ce que je me sens mal ? J’arrête.
Est-ce que j’ai envie de faire autre chose ? Je le fais.
Est-ce que j’ai envie de me reposer ? Je me repose.

 

Je vous raconterai dans un prochain article ce qui émerge quand je n’ai rien à faire, quand je n’exige plus de moi de faire tel ou tel truc – parce que sais faire, parce que ça rapporte de l’argent, parce que les gens l’attendent…

 

A bientôt.

Suite à mon dernier article intitulé « trop occupée à courir après le bonheur ? », une personne m’a demandé comment j’avais le temps de faire tout ça, ou autrement dit « comment ça se faisait que j’avais AUTANT de moments de bonheur » ?

 

Si vous ne l’avez pas encore lu, il est dispo ici :

https://185s6atqrn.preview.infomaniak.website/trop-occupee-a-courir-apres-le-bonheur/

 

Et la réponse est extrêmement simple.

 

C’est d’abord une décision. 

 

Ou plutôt une double décision.

Tout d’abord, la décision de voir que ces moments de bonheur existent.

 

 

La deuxième, c’est de décider d’en mettre davantage au fil des jours.

 

Et comme je le disais dans cet article qui date un peu maintenant : le bonheur, c’est comme les tiroirs à petites culottes. Ce que je veux dire par là, c’est que, puisque vous n’avez que 24h dans une journée, si chacune de vos journées ne comporte pas suffisamment de moments de bonheur, il vous faut d’abord enlever les activités qui ne vous rendent pas heureux pour les remplacer par des choses qui vous mettent en joie.

 

Voici maintenant comment vous pouvez opérer ce tri sélectif dans votre vie :

 

1. Choisissez une période de 15 jours, pour que ce soit suffisamment représentatif de votre vie.

 

2. Pendant ces 15 jours, prenez un soin tout particulier à noter tout ce que vous faites chaque jour, heure par heure (vous pouvez mettre préciser à la demi-heure, voire au quart d’heure près, c’est encore plus efficace).

 

3. Une fois ces 15 jours terminés, notez chaque activité avec des étoiles, de 1 à 5. Comme sur TripAdvisor, 5 étoiles ce sont les activités qui vous rendent heureux, 1 étoile ce qui ne vous apporte aucune satisfaction. 

 

4. Et puis vous observez : si vous avez une majorité de moins de 3 étoiles, il est urgent d’agir !! 

 

Notamment si votre job n’est pas 4 ou 5 étoiles, posez-vous la question : pourquoi vous donnez 8 heures de votre vie 5 jours par semaine à une activité que vous ne kiffez pas ?

 

Comment agir, concrètement ?

 

5. Enlevez tout ce qui ne vous comble pas, d’une manière ou d’une autre. Même si au départ vous ne voyez pas comment faire… Si vous êtes fermement décidé à mettre à la poubelle quelque chose qui ne vous rend pas heureux pour le remplacer par quelque chose qui vous tient à coeur et que vous gardez l’esprit et le coeur ouvert pour que ça se passe, la vie va vous offrir une ouverture, c’est certain !!

 

Mais si vous restez focus sur « c’est pas possible, je vois pas comment », la vie vous donnera raison aussi et vous resterez avec de l’insatisfaction (beaucoup trop) dans votre vie et dans votre coeur.

 

Je vous souhaite de belles séances de tri sélectif.

La première des clés pour vivre une vie qui a du sens, qui nous comble à la fois mentalement, spirituellement, qui nous met en joie, c’est de suivre sa trajectoire.

C’est d’accepter le cadeau que Dieu a prévu pour nous. Même s’il nous fait peur, même si on ne s’en sent pas capable ou digne. 

 

C’est ce que l’on appelle aussi « Mission de vie ».

Ou « plus haute Intention » ou « grande Vision ».

Plus simplement, c’est ce que vous reconnaissez comme « étant fait pour vous » depuis votre tendre enfance.

 

Mais ça ne suffit pas bien entendu. Il reste la mise en oeuvre dans la matière bien sûr : c’est cela qui va vous faire vous sentir à votre place en ce monde.

Ce sera plus ou moins facile.

Des compétences seront à acquérir.

Des blessures seront mises à nu.

Il faudra parfois sortir de sa zone de confort.

On sera confronté à qui on est et qui on n’est pas. 

A ce qu’on veut et à ce qu’on ne veut pas.

 

Intervient ici le lâcher-prise :

> décider d’aller dans la direction de ce qui a tendance à se produire (même si on a peur).

> décide de ne pas aller dans la direction de ce qui a tendance à ne pas se produire (même si on en a très envie).

 

Mais pas que.

Ce qui va vous emmener plus ou moins fluidement vers la manifestation concrète de votre plus haute intention, c’est l’énergie avec laquelle vous faites les choses, la polarité dans laquelle vous êtes.

 

 

Energie masculine ou féminine ?

 

Et surtout, dans chacune de ces polarités, de quel côté êtes-vous ? Du côté blessé ou du côté guéri ?

Lorsqu’on est dans l’énergie du masculin blessé, on est dans l’action à tout prix, voire jusqu’à l’épuisement. Cette énergie du masculin blessé repose sur la croyance qu’il n’y en a pas pour toute le monde et que si je veux ma part du gâteau, je ne peux l’avoir qu’au détriment de quelqu’un d’autre. J’ai un plan d’action précis et je n’en déroge pas, quels que soient les obstacles : je n’en fais qu’à ma tête. Le masculin blessé est dans la compétition avec les autres mais aussi avec la Vie, qu’il perçoit comme une lutte de tous les instants. 

Le masculin sacré quant à lui pose l’action juste, en pleine conscience de son but. Son objectif en tête, il n’a pas peur de mener des actions courageuses, il a la détermination pour ça, mais est capable de reconnaître ses faiblesses et ses incompétences et d’y remédier d’une manière ou d’une autre.

 

Lorsqu’on est dans énergie du féminin blessé, on va avoir du mal à passer à l’action. Au moindre obstacle on (s’)abandonne, en prenant le prétexte de « ça doit être un signe que ce n’est pas pour moi ». En effet, la tentation est grande de trouver refuge dans une spiritualité désincarnée, proche de la pensée magique. 

Le féminin sacré développe une action alignée sur l’intuition, à l’écoute des messages de la vie : il considère les difficultés comme des initiations destinées à grandir en amour de soi, des autres et de la vie. Si le féminin sacré est à l’aise dans l’introspection, c’est pour y puiser des ressources pour mieux s’aligner sur le plan divin. Le féminin sacré vit pleinement ses émotions, non pour s’y noyer mais pour les transcender et guérir. L’énergie du féminin sacré invite à se soucier de l’autre sans s’oublier ni se renier. De même, c’est une manière d’être à la vie qui permet de prendre le temps de prendre soin de soi malgré les « urgences » du quotidien.

 

Je vous souhaite un très bel été, dans la réconciliation du Masculin et du Féminin en vous.

Pour aller plus avant dans notre exploration de la puissance féminine, je vous propose d’aller aussi regarder du côté du Masculin.

On oppose souvent valeurs du masculin et valeurs du féminin.

 

Mais c’est une erreur à mon avis car elle peut conduire à une guerre des sexes ou pour parler « moderne » à une guerre des genres.

Ce qui n’a aucun sens quand on sait que le chemin vers l’éveil nous demande de contacter l’unité en nous.

D’autant plus que chacune de ces deux polarités complémentaires ont leur côté sombre et leur côté lumineux.

Et c’est plutôt à cet endroit-là qu’il convient de regarder. 

 

Plutôt que d’opposer féminin et masculin, regardons avec amour et bienveillance les difficultés dans lesquelles nous entrainent le féminin blessé et le masculin sacré. 

Et observons avec réjouissance et émerveillement les qualités que nous pouvons incarner en nous contactant au féminin sacré et au masculin sacré.

 

 

Voici déjà quelques repères.

 

Masculin blessé : excès, action à tout prix, être coupé de son ressenti et de son intuition, violence, revanche, pouvoir sur l’autre, entêtement.

Masculin sacré : action juste, puissance, courage, pensée claire, parole concise, but, certitude, tranquillité.

 

Féminin blessé : passivité, inaction, rêverie, refuge dans une spiritualité désincarnée, passer à côté de sa vie, ne pas prendre position, rester dans l’intention, illusion.

Féminin sacré : réceptivité consciente, intuition et action alignée sur cette intuition, équilibre, prendre soin de soi et d’autrui, rêve fécond, émotions pleinement vécues et transcendées, guérison.

J’ai récemment exploré ces différentes facettes dans ma vie alors je vous en dis plus dans le prochain article.

Comme promis, voici le deuxième épisode de notre série de l’été consacrée à la puissance du Féminin.

Pourquoi ce sujet en particulier ?

Parce que cela fait plus de 12 ans maintenant que j’accompagne majoritairement des femmes et que j’observe qu’elles ont plus de difficultés que les hommes à oser rêver en grand et à se mettre en route pour réaliser leurs rêves.

Pour deux raisons.

La première, c’est parce qu’elles ne sont pas encouragées à le faire, mais plutôt à se restreindre.

La deuxième c’est parce qu’elles ne disposent que de peu de modèles féminins qui les inspirent.

C’est pour cela que j’ai eu envie de vous partager dans une série d’articles mes différentes manières de me (re)connecter à ma puissance.

Voici une des manières, particulièrement bien illustrée par Michel-Ange sur le plafond de la chapelle Sixtine  :

Et plus spécifiquement encore dans ce détail qui opposa le créateur à ses commanditaires :

A l’origine, Michel-Ange avait conçu le panneau de La Création d’Adam avec les doigts de Dieu et d’Adam se touchant. Les administrateurs ont exigé qu’il n’y ait pas de contact, mais que les doigts soient plus éloignés l’un de l’autre : que le doigt de Dieu soit toujours étendu au maximum, mais pas celui du doigt d’Adam…

Pourquoi cela ?

Cette représentation montre que Dieu est là, toujours, il se tend vers l’homme en permanence. Il est présent, propose son aide, est là pour vivre en lui.

Mais… 

La décision de le chercher, de le toucher, d’accepter sa grâce appartient à l’homme. 

S’il veut étendre son doigt, il le touchera, mais s’il ne le veut pas, il peut passer toute une vie sans le chercher. 

La dernière phalange contractée du doigt d’Adam représente le libre-arbitre, la possibilité que nous avons de nous laisser traverser, guider par la lumière divine… ou pas.

A chaque instant, nous pouvons faire ce choix de laisser Dieu oeuvrer à travers nous ou bien de croire que nous devons tout accomplir seul.

Sentir cette reliance au quotidien, ce peut être une vraie gageure et c’est tout l’objectif du mouvement Spiritualité dans la Cité que je suis en train de créer.

Une des manière de sentir cette Présence dans son quotidien, mais aussi de la cultiver comme on cultive son jardin (semer ou planter, arroser, sarcler, regarder avec amour…), c’est de s’inspirer des personnes qui ont incarné véritablement cette reliance.

 

Anne, Marie et Marie-Madeleine en font partie.

Anne représente le commencement. Les prémices du grand changement. Le véritable creuset alchimique, c’est elle. Elle nous aide à nous relier à notre sagesse intérieure, là où l’impossible devient possible.

Marie symbolise pour beaucoup l’amour maternel universel. Mais au-delà de l’archétype maternel, Marie est une créatrice. C’est la femme créatrice connectée au divin : elle perçoit la mission qui est la sienne, la reçoit via l’intuition, l’accueille pleinement et la met en oeuvre.

Marie-Madeleine quant à elle, nous invite à être qui nous voulons devenir, à le clamer haut et fort et à le transmettre. Apôtre des apôtres, c’est l’enseignante qui montre que le changement viendra avec, pour et par les femmes.

 

Je voudrais maintenant vous inviter à vous questionner sur ces 3 femmes. Y en a-t-il une qui retient votre attention ? Une qui vous murmure quelque chose à votre coeur ? Une dans laquelle vous vous reconnaissez ? Une qui pourrait vous aider à contacter votre puissance féminine ?

 

Vous le savez, l’été j’adore vous proposer des séries sur un thème !! 

Il y a deux ans, j’étais partie de citations de femmes que j’avais mises en pages et commentées. 

L’année dernière, je vous offrai un live tous les matins pendant 21 jours : « mettre l’amour au coeur de sa vie ».

 

Cette année, je remets les femmes à l’honneur avec une série d’articles consacrée à la puissance du Féminin.

Il ne s’agit pas d’une réaction à l’actualité, mais plutôt d’un parcours initiatique que j’ai vécu ces dernières semaines et qui m’a amenée à oser écrire et dire publiquement mon objectif personnel, ce que j’ai envie d’avoir créé avant la fin de ma vie, et dont je n’osais parler à personne (pas même aux amoureux que j’ai eus, pas même à mes meilleures amies).

Car comme vous le savez aussi, mon grand dada, c’est de théoriser ce que je vis pour ensuite le transmettre : ça fait maintenant 10 ans que je fais ça en bloguant et en créant des programmes en ligne.

C’est aussi pour ça que je suis en train aujourd’hui de transformer Spiritualité dans la Cité en un véritable mouvement, qui vit pour vous, avec vous, grâce à vous et à travers vous.

 

Les prochains articles parleront ainsi de contacter votre puissance intérieur et à la manifester à l’intérieur.

Et si on commençait tout de suite avec un premier sujet ?

Rêver en grand et y croire.

 

 

On est tous nés pour quelque chose.

Quand vous songez à tout ce qu’il a fallu pour créer la personne unique que vous êtes : un ovule prêt à recevoir, un couple qui s’enlace, un seul spermatozoïde autorisé à entrer (sur plusieurs dizaines de millions !!!)…

Quand vous réfléchissez au fait suivant…

La vie provient de fragments d’étoiles qui se sont assemblés après le big bang, ça on le sait. Mais ce que l’on sait moins, c’est qu’il a fallu un réglage extrême précis pour que de cet assemblage naisse la vie. Un réglage entre le taux de matière noire, le taux d’expansion, la masse des protons, la vitesse de la lumière, la constante de gravité et bien d’autres encore. Un réglage d’une précision infinitésimale : un simple changement de chiffre à la soixantième décimale, pas d’étoile, pas de vie, le vide. Pour l’astrophysicien Trinh Xuan Thuan, la possibilité que la vie soit le fruit du hasard équivaut ainsi à la probabilité pour un archer d’atteindre une cible d’un centimètre carré placée aux confins de l’univers à 14 millards d’années-lumières.

 

De la même façon, si vous avez une idée, un projet, un souhait, un rêve, ce ne peut être le fruit du hasard. 

C’est la Vie, Dieu, l’Univers qui cherche à se manifester à travers vous. 

Même si ça vous semble déraisonnable, infaisable, prétentieux, beaucoup trop grand pour vous ou je ne sais quel qualificatif vous utiliser pour mettre votre raison d’être sous le tapis.

Oui, c’est exactement ce que vous faites quand vous ignorez l’appel de votre coeur vers quelque chose de beau, de grand, de lumineux. Ou même quelque chose de plus petit mais qui vous nourrit, vous anime, vous fait vous sentir heureuse et vivante, vibrante.

 

Et après vous vous demandez comment être heureuse ?

Ben c’est juste impossible.

Vous vous mettez au régime sec et vous vous étonnez d’avoir faim.

C’est la même chose ici.

 

Vous ne pouvez pas être heureuse si vous choisissez de mettre sur le tapis ce qui réjouit votre coeur, juste parce qu’on vous a dit que « fallait pas rêver » ou quelque chose du même style : tu vas pas y arriver, ce sont des chimères, c’est futile, ça ne sert à rien…

Votre idée ou votre projet a besoin de vous comme vous avez besoin d’elle.

Mais comment faire pour y croire ? 

La réponse est un tout petit mot, mais terrrrrrrrriblement puissant.

 

Foi.

 

C’est la foi qui fait se matérialiser nos souhaits. Et la foi, ça se cultive. 

 

 

Voici comment faire en 5 étapes.

 

1. Croire en ce qu’on ne voit pas encore 

Tout les objets que l’homme a créés ont d’abord été pensés. La première étape de toute création réside dans la conception. Plus vous nourrissez votre rêve en esprit, en imagination, plus vous l’aider à se manifester dans la matière.

 

2. Ne pas s’attacher au comment 

Le « comment cela va se faire ? » importe peu. Lorsqu’on s’interroge sur la question, on manque de foi justement. Repensez à la plupart des choses que vous avez accomplies : il est rare que leur réalisation ait suivi la trajectoire que vous aviez imaginée au départ. Contentez-vous de focaliser sur l’objectif final : c’est ça votre job et uniquement ça. Laissez la logistique à l’univers.

 

3. Nourrir un état d’esprit compatible avec votre plus haute intention 

Cultiver sa foi, c’est aussi ne pas cultiver tout ce qui ne va pas dans le sens de votre rêve ou de votre projet. Ainsi, écouter les mauvaises nouvelles à la télévision, à la radio, lire les journaux est totalement contre-productif. Toute votre énergie doit être orientée et uniquement orientée vers ce qui pourrait rendre possible votre objectif. De même, faites du ménage dans votre carnet d’adresses et ne fréquentez que des personnes qui croient en vous et sont capables de vous encourager.

 

4. Agir un peu chaque jour dans la direction de son objectif

La foi, c’est une attitude intérieure, mais elle s’extériorise ! Si vous restez assise sur votre canapé à méditer, il ne se passera pas grand chose. Passez à l’action un peu chaque jour en direction de votre objectif, même si vous ne connaissez pas toutes les étapes du chemin. Vous verrez, vous les découvrirez au fur et à mesure que vous avancerez.

 

5. Ne pas s’inquiéter du temps nécessaire et persévérer 

Tout processus prend du temps. 

Il y a certains processus dont le temps est connu : quand vous voulez un oeuf dur, ça prend 10 minutes à partir de l’ébullition. 

Mais pour tout ce qui concerne la croissance personnelle et les projets, on sait combien de temps ça a pris une fois que le processus est terminé. 

Et ce temps est directement proportionnel à notre foi. 

Pour vous aider à persévérer pendant que le temps passe, souvenez-vous que les petits ruisseaux font les grandes rivières et que nous avons dû apprendre à marcher avant de savoir courir. 

Chaque pas compte vers la réalisation de votre objectif, il faut donc un jour commencer, même en titubant comme le fait le jeune enfant et faire tous les pas les uns après les autres, pour être certain de parvenir à destination. 

Après ces deux semaines intenses de vidéos et de communication, j’ai pris quelques jours pour souffler et me revoici.

 

On va se retrouver à partir de maintenant pour nos articles habituels mais aussi pour des événements autour des huiles essentielles.

 

En effet, distribuer les huiles essentielles dōTERRA est le moyen pour moi d’assurer mon avenir, un avenir de totale liberté : liberté de temps, de mouvement et liberté financière.

 

Mais se construire un avenir différent n’est pas le seul moyen de se libérer. Pour aller de l’avant, il est aussi nécessaire de guérir les blessures du passé. 

 

C’est ce que j’avais envie de partager avec vous aujourd’hui : mes 3 techniques préférées pour me libérer de ce qui me fait souffrir.

 

 

La première est (vous vous en doutez), liée aux huiles essentielles. En fonction de la problématique rencontrée, j’applique une goutte d’huile essentielle sur un point du corps, et j’accompagne d’une prière. 

Et c’est tout. Je laisse l’huile essentielle faire son travail. 

Comment ça fonctionne ? Très simplement.

Le message des huiles essentielles est traité par le centre récepteur des informations transmises par l’odorat (comme toute odeur) et celui-ci est situé tout près du cerveau limbique.

Ce mot de « limbes » signifie frontière : frontière entre la vie consciente et le subconscient. 

C’est là que réside la puissance des huiles essentielles dans notre évolution spirituelle : elles viennent ouvrir la porte au divin qui est en nous, elle nous connectent à l’esprit de guérison, laissant ainsi notre part la plus « sage » agir, en dehors des volontés de contrôle du mental.

 

Vous avez envie de connaître les deux autres ?

Lorsque quelque chose d’extérieur me dérange profondément, me fait mal, me révolte, me blesse dans mon humanité, ou bien quand je me rends compte que je suis dans le jugement ou la critique, j’adore utiliser la technique de la bénédiction.

Découvrez le simple art de bénir en suivant ce lien.

 

La dernière technique est celle que j’utilise lorsque je sens que la personne ou la situation avec laquelle je me sens en difficulté est liée à une blessure ancienne, à un schéma répétitif : découvrez-là ici.

A très vite pour de nouveaux articles.