J’ai participé la semaine dernière à une formation et la dernière journée était consacrée à l’après-formation : comment conserver l’énergie du challenge, comment rester motivé.e, comment persévérer lorsqu’on se retrouve seul face à son objectif ou son projet ? En mettant mes idées noir sur blanc, en décortiquant comment je fais pour être toujours pleine d’énergie et aller de l’avant (c’est une question qui revient souvent dans la bouche de mes lecteurs), j’ai mis à jour les 5 points à vérifier si vous manquez de motivation. Voici le quatrième.

 

 

Soyez vigilant.e à ce qui se passe dans votre vie

 

Et prendre les décisions qui suivent ce que ça vous indique !

 

Une fois que vous avez défini votre plus haute intention, votre objectif ambitieux, votre raison d’être, que vous consacrez une heure par jour à votre développement personnel et spirituel, que vous avez mis noir sur blanc votre plan d’action et que vous en faites un peu chaque jour, il va se passer des choses.

 

Vous avez émis un signal fort dans le monde. Vous allez recevoir des réponses.

 

Tous les jours, à chaque heure. Ces réponses sont de 2 types.

 

Soit la vie vous répond en allant dans votre sens : des portes s’ouvrent.

 

Soit la vie vous répond en n’allant pas dans votre sens : vous avez beau toquer, les portes restent fermées.

 

C’est ainsi, il y a toujours 2 tendances :

  • ce qui a tendance à se produire ;
  • ce qui a tendance à ne pas se produire.

 

Si l’on regarde bien, tout notre environnement nous envoie des messages, des signaux, que nous captons plus ou moins bien, avec plus ou moins de conscience : nos émotions, notre corps, notre ordinateur, notre voiture, notre ordinateur, nos animaux (et même ceux que nous n’avons pas).

 

Votre job, c’est de développer un état d’esprit de vigilance par rapport à ces tendances, pour ne pas continuer à foncer tête baissée vers votre objectif sans observer ce qui sa passe. Cette manière de faire s’appelle le contrôle.

 

Ce que la vie vous invite à faire, c’est à danser avec elle. Parce que vous avez peut-être décidé que c’est par cette porte que vous deviez passer pour atteindre votre objectif, et c’est pour ça que vous continuer de frapper de plus en plus fort, voire que vous envisager de vous équiper d’un bélier (ou même d’un bazooka). Mais le problème, c’est que pendant que vous vous échiner sur la porte, vous ne voyez pas qu’on est en train de vous ouvrir la fenêtre et que le chemin qui se trouve derrière la fenêtre va vous mener de manière bien plus simple, facile, fluide er agréable vers votre objectif.

 

C’est pour cela qu’il est extrêmement important d’observer ce qui a tendance à se produire et ce qui a tendance à ne pas se produire.

 

 

Mais ce n’est pas tout !

 

La deuxième partie du job, et c’est bien souvent la plus difficile, c’est de suivre les tendances : c’est-à-dire décider d’aller dans la direction de ce qui a tendance à se produire et décider de ne pas aller dans la direction de ce qui a tendance à ne pas se produire.

 

Sur le papier, ça a l’air fastoche, mais dans la réalité, ça l’est beaucoup moins…

 

Pourquoi ?

 

Parce que bien souvent, on a très envie de ce qui a tendance à ne pas se produire (parce que c’est du connu, c’est ce qu’on sait faire, c’est ce qu’on avait prévu…) et on a très peur de ce qui a tendance à se produire (parce que ça nous demande de voir les choses autrement, de sortir de notre zone de confort, de faire quelque chose de nouveau, de dire non à quelqu’un qu’on aime…)

 

Et pourtant, je peux vous dire qu’après quelques années de pratique du « je fais comme j’ai décidé » et du « je danse avec la vie », c’est la deuxième recette qui donne les résultats non seulement les plus savoureux offre au fil du temps la délicieuse sensation de se sentir divinement guidé.e, divinement protégé.e.

 

A vous choisir !

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