Je suis de retour de vacances, pleine d’une énergie renouvelée et ouverte à de nouveaux possibles.

 

En effet, quand son activité professionnelle est alignée sur sa mission de vie, on n’a pas l’impression de travailler, on a toujours envie d’en faire plus et cela peut nous conduire, sans qu’on s’en rende compte, à l’épuisement…

 

Le piège, c’est qu’on peut ainsi se désaligner sans s’en rendre compte… Quand notre vie est trop pleine, les messages divins ne peuvent plus arriver, tout simplement parce qu’il n’y a pas la place. On ne peut pas ajouter quoi que ce soit à un verre déjà plein, même pour en améliorer le contenu.

 

De manière générale, quand j’aime (une personne, ce que je fais, une activité…), j’ai du mal à mettre mes limites et je ne me rends compte qu’elles ont été dépassées que lorsque je fais une expérience désagréable qui vient me le rappeler. 

 

De plus en plus consciente de ce fonctionnement chez moi, je me suis offert quelque chose que je n’avais pas fait depuis des années : un break total de 3 semaines.

 

Et pendant ce break, la vie m’a fait un merveilleux cadeau !! 

 

Alors que j’aidai une amie chère à mon coeur à faire du tri dans sa bibliothèque en vue de son déménagement, je tombe sur le jeu de cartes « les chemins de Qumran ». Et elle me l’offre !!

 

 

Whah, quel cadeau merveilleux !! 

 

En effet, en le voyant, je ressens immédiatement un appel alors que la description me paraît pourtant très nébuleuse : « inspiré des traditions christiques et chamaniques ». En réalité, les messages sont simples et accessibles, sans vocabulaire ni religieux ni esotérique et on sent une synthèse qui n’est possible que lorsqu’on a fait un chemin intérieur soi-même, en se nourrissant de nombreuses approches. 

 

C’est ainsi que l’auteur nous offre un outil puissant, à la croisée du développement personnel et de la spiritualité, qui est aussi mon credo. Pour moi, l’un ne va pas sans l’autre, comme je l’explique dans cet article.

 

De quoi se compose ce jeu ?

Afin de nous ramener à nous-même et à notre destinée, Sarah Lechevalier a conçu 111 cartes structurées en 3 grandes familles : 22 cartes « Question », 67 Cartes « Obstacle » et 22 Cartes « Ressource » de couleur Ocre. Les Cartes « Obstacle » sont divisées en 5 catégories : 20 obstacles de type « Comportements » (il s’agit des comportements qui nous nuisent), 36 obstacles de type « Croyances » (ce sont toutes nos croyances erronées), 4 obstacles de type « Liens » (ce sont les différents liens qui peuvent nous nuire), 4 obstacles de type « Peurs » (les grandes peurs qui nous freinent) et 3 obstacles de type « Mémoires » (les origines possibles des obstacles).

 

Comment l’utiliser ?

L’auteur propose 7 tirages différents, en fonction de nos problématiques : tirage simple avec une carte de chaque catégorie (question, obstacle, ressource) et tirages plus complexes pour guérir une relation (à une personne, à un groupe mais aussi à un « concept » comme l’argent ou l’amour), pour retrouver son pouvoir personnel, pour prendre une décision ou encore libérer une émotion. 

 

C’est d’ailleurs en cela que ces cartes d’introspection et d’auto-guérison sont aidantes : elles viennent nous rappeler que c’est en posant les bonnes questions que l’on accède aux bonnes réponses, et que ces réponses sont en nous (et nulle part ailleurs).

 

Dans mon programme en ligne pour apprendre à interroger ses guides et recevoir leurs messages, j’explique plus en détail que le plus compliqué n’est pas de poser les questions. Ni de recevoir les réponses. C’est de poser les BONNES questions. Pour pouvoir recevoir les BONNES réponses.

 

En nous invitant à nous poser la question cachée derrière notre intention de guérison (avec les cartes « Question »), en prenant conscience des obstacles qui nous freinent malgré nos bonnes intentions conscientes mais aussi des ressources dont nous disposons, ce jeu nous permet de reprendre notre pouvoir créateur tout en nous invitant à plus de conscience pour apprendre à danser avec le flux de la vie.

 

 

Pourquoi travailler avec ce type de cartes et d’oracles ?

On peut travailler sur soi avec l’aide d’un thérapeute et je vous recommande chaudement de faire ce travail de fond de manière régulière. Mais cela peut comporter un risque. Celui de de devenir dépendant, soit de son thérapeute, soit de la thérapie. On croit alors qu’on ira bien après sa séance, après avoir guéri telle croyance, au bout de tant d’années. Et on perd de vue 2 choses. 

  • l’importance du moment présent et la nature même de l’expérience qu’on est en train de vivre : agréable ou désagréable, elle nous enseigne quelque chose.
  • notre capacité à l’auto-guérison, pour peu que l’on soit très honnête avec soi-même et que l’on sorte du statut de victime parfois bien confortable (c’est la « faute » de l’autre évite de se remettre en question).

 

Pour moi, il est temps de retrouver notre souveraineté personnelle et spirituelle et d’aller profondément à la rencontre de nous-même, dans toutes nos dimensions (matérielle et spirituelle) et ce genre de cartes peut nous y aider. 

 

C’est ainsi que j’aime beaucoup m’aider du Tarot de Marseille, de l’Oracle des Couleurs ou bien encore de l’Oracle de Marie. Et maintenant, des cartes « Les chemins de Qumran », qui sont un magnifique outil d’évolution personnelle et d’auto-guérison pour aller à la rencontre de nous-même et redevenir maître de notre destinée.

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