Précisions sur l'Espérance

 

Hier je vous ai parlé de la notion d’espérance et elle a continué à faire son chemin en moi depuis… Et je comprends pourquoi c’est une notion si chère à mon coeur.

Elle me donne l’impression d’être soutenue, guidée, entourée, encouragée, protégée par quelque chose de plus grand que moi. Comme si une sorte de « force invisible amie » guidait mes pas mais aussi répondait à mes demandes. Les solutions qui se font jour de manière inattendue, les synchronicités, l’argent qui arrive au moment où j’en ai besoin, la sensation de bien-être que j’éprouve spontanément, le détail qui attire mon attention et me ravit le coeur, l’émerveillement que je ressens lorsque je suis dans le moment présent… Voilà les manières dont je vis cette force invisible amie, que j’appelle Dieu, à la fois par commodité et à la fois parce que ce nom donne un caractère encore plus sacré et magnifique à ce que je ressens dans ces moments-là, moments qui agissent comme une infusion, colorant de lumière et de douceur la toile de fond de ma vie et de qui je suis, jour après jour.

Vous écrire cela me fait penser à ce petit tableau que j’ai réalisé au printemps dernier et qui symbolisent cet état d’esprit. Je vous le partage avec plaisir.

 

 

Mais vous vous demandez peut-être comment j’en suis arrivée là, comment j’ai fait pour parvenir à ressentir cela, alors que j’étais il y a encore quelques années très angoissée, en colère contre la vie et triste de ce qui se passait dans le monde. Cela se traduisait par un fond dépressif, des périodes « up » dans lesquelles je faisais beaucoup et des périodes « down » où je pleurais beaucoup. Et beaucoup beaucoup d’insomnies, tournant et retournant dans ma tête la somme de mes insatisfactions.

Me remémorer ce tableau et vous le partager me renvoie quelques temps en arrière et me permet de mesurer le chemin parcouru, ainsi que les étapes.

Les tout premiers pas dans cette direction, ça a été avec le fait de passer commande à l’univers : ce furent mes premiers contacts avec la spiritualité. J’ai appris à demander et à recevoir sans que cela dépende uniquement de moi.

Puis ce processus s’est accentué lorsque j’ai appris à me connecter à l’intuition et à interroger les guides spirituels. Leur donnant la parole, ils ont ainsi peu à peu pris de la place dans ma vie : la guidance divine s’est installée, comme une véritable relation.

L’adoption du « principe de gratitude » a ensuite été une étape cruciale. Je l’ai d’abord pratiquée de manière intellectuelle en quelque sorte, en écrivant 5 phrases de gratitude tous les jours dans mon cahier. Et puis c’est devenu une habitude subconsciente que de me sentir reconnaissante pour tout ce que considérait comme agréable dans ma vie. 

Enfin, la découverte de la prière et son extra-ordinaire puissance lorsque l’on comprend ce que c’est que prier véritablement, m’a permis de développer une foi à toute épreuve (et c’est vraiment le cas de le dire !)

Je ressens beaucoup d’émotions en vous écrivant cela, parce que je ne l’avais pas vraiment conscientisé de cette manière-là, jusqu’à ce que le flux de l’écriture me conduise à l’écrire dans ce cadre de ces 100 jours…

Je vous dis à demain.

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