mission de vie

J’ai toujours rêvé de richesse. Toujours.

Du plus loin que je m’en souvienne, du haut de mes 5-6 ans, je voulais deux choses.

Je voulais vivre dans le luxe et je voulais avoir plein d’argent pour qu’il n’y ait plus de pauvres dans le monde.

Et puis, comme tout le monde, j’ai grandi. Et comme presque tout le monde, j’ai renoncé à mes rêves. J’ai fait des études. J’ai trouvé du travail. Je me suis mariée. J’ai eu un enfant. 

C’est cet enfant, mon fils chéri (et peut-être aussi l’approche de la trentaine) qui m’a reconnectée avec mes véritables objectifs dans la vie. C’était un enfant très (très très très) tonique et il est venu me réveiller de ma torpeur. Pour lui, pour la Vie, pour moi, je ne pouvais pas renoncer. Je ne pouvais plus me contenter de si peu alors que j’avais envie au fond de moi de si grand.

Alors je m’y suis remise. Enfin, pas exactement. Je me suis juste réapproprié mon premier rêve : vivre dans le luxe. A cette époque-là, même si je suivais une thérapie, personne ne m’avait parlé d’apporter ma contribution au monde. Ce n’était pas conscient bien sûr, mais je pense qu’il y avait dans ma tête quelque chose comme « tout ou rien » : soit je supprime la misère sur la planète toute seule avec mes petits bras musclés, soit je ne fais rien. Du coup, cette dimension est restée enfouie.

Alors j’ai cherché comment m’enrichir « à la force du poignet », c’est-à-dire dans la lutte, la revendication pour obtenir ce que je voulais. J’ai fait un soi-disant super investissement immobilier. Ce fut un échec retentissant, qui m’a appauvrie (et stressée) pour des années.

Heureusement, comme je n’ai pas les 2 pieds dans le même sabot (encore une magnifique croyance limitante à l’oeuvre : « si on se bouge suffisamment le popotin, on y arrive »), j’ai continué à chercher et cette fois-ci, j’ai découvert le concept de loi d’attraction. 

Whah !! Ce concept a révolutionné ma vie. J’ai découvert à quel point j’avais créé ma vie et à quel point j’étais responsable de tout ce qui s’y passait. Quelle puissance transformatrice incroyable, quel bonheur, quelle libération ! Je me suis mise à orienter mes pensées et mes actions sur mes objectifs. Et le succès a été au rendez-vous. Il a été d’autant plus fort qu’entre temps j’avais aussi croisé la notion de mission de vie et je m’employais à m’aligner sur ce que je sentais juste pour moi, sur ce qui me faisait vibrer, sur ce que j’aimais apporter autour de moi. Bref, ma vraie vie commençait enfin.

Mais cela ne m’a pas apporté pour autant la paix du coeur, la paix de l’esprit. Il y avait encore des hauts et des bas. Des bas vraiment très bas. Je vivais confortablement, je faisais les choix qui me plaisaient. Je suivais le flux de la vie et les indications de mes guides. Mais il manquait encore quelque chose, un « je ne sais quoi » que je n’arrivais pas à définir.

Il me manquait la deuxième partie de mon rêve. 

Je l’ai découvert avec le livre Vivre dans la Grandeur, dont je vous ai déjà parlé il y a quelques semaines. Cet ouvrage est vraiment une mine d’or si vous voulez vraiment vivre selon votre mission de vie, selon votre raison d’être.

Avec ce livre que j’ai ouvert une nouvelle période de ma vie, centrée sur « la force du coeur ». Et c’est cela qui amène tout naturellement la paix de l’esprit. 

Avec ce livre, je me suis totalement reconnectée aux rêves de la petite Gaëlle, en répondant à une seule et unique question, que je reproduis ici :

Qu’est-ce que je prétends ne pas savoir ?

> Alors que mes parents, l’école, les institutions et l’environnement socio-culturel dans lequel j’ai baigné ont tous des idées sur ce qui est le mieux pour moi, je sais dans mon coeur ce qu’est mon idéal et j’arrête de prétendre ne pas savoir ce qu’est vraiment mon désir de coeur.

Avec ce livre, j’ai affiné ma vision du luxe. Moins centrée sur le confort et plus sur mes essentiels : vivre dans la nature, être avec mes enfants, me sentir libre, retrouver la générosité dont je m’étais coupée avec le temps et l’éducation que j’ai reçue (chacun sa m…, chacun pour soi). 

Avec ce livre, j’ai renoué avec la deuxième partie de mon rêve, de manière concrète, en le mettant en oeuvre jour après jour.

Un alignement puissant que je vous souhaite vous aussi de mettre en oeuvre, en prenant le temps de répondre à cette simple question : « qu’est-ce que je prétends ne pas savoir ? »

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  1. […] Et comment on fait ça ? En répondant à une simple question, disponible ici. […]

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