Hier, dans le premier article consacré à ce lieu de pouvoir qui sommeille en vous et qui n’attend que vous lui donniez des « ordres », nous avons évoqué le fait que nous nous sentons parfois démuni quand nos sommes confrontés à des épreuves, qu’elles nous touchent directement ou bien qu’elles touchent nos proches ou même qu’il s’agissent d’événements du monde qui nous font souffrir dans notre humanité. Et même si nous ne sommes pas touchés de plein fouet, même si tous nos besoins matériels sont satisfaits et que nous avons de nombreuses sources de distraction, il nous arrive de nous interroger sur le sens de la vie.

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Je vais aujourd’hui vous apporter des réponses concrètes parce que je vous ai dit aussi qu’il y avait un refuge, un remède, un lieu de pouvoir que rien ni personne ne pouvait nous enlever.

 

Premier principe : Comprendre le fonctionnement de la vie

Vous avez déjà sans doute senti qu’il existait autre chose que la réalité matérielle immédiatement accessible avec vos sens. Vous en avez peut-être même fait l’expérience, en regardant un coucher de soleil, en vous promenant en silence dans la nature, en contemplant une oeuvre d’art ou même en faisant l’amour, ou encore dans une réunion professionnelle où vous vous sentiez parfaitement à votre place, ou bien dans un moment où vous pouviez constater une synchronicité parfaite entre deux événements pourtant apparemment indépendants. Ce sont aussi ces moments où l’on se sent relié à plus grand que soi, quand on sent que « tout est juste » que « tout est à sa place » et que l’on ne veut rien d’autre que ce qui est en train de se produire, là, ici et maintenant.

 

Vous n’êtes pas le seul, pas la seule à ressentir cela. Plus de 95% de la population mondiale croient en l’existence d’une force supérieure, que plus de la moitié appellent Dieu. Devant un tel chiffre, la véritable question n’est pas de savoir si ce quelque chose existe mais beaucoup plus ce que ce quelque chose signifie dans notre vie. Et comment nous la prenons en compte, comment nous interagissons avec elle.

 

Deuxième principe : Il existe un Champ, une Toile qui unit tout ce qui est vivant

Les physiciens quantiques ont démontré à la fin du XXème siècle l’existence d’un champ d’énergie qui existe au-delà de la réalité matérielle immédiatement perceptible, qui se situe partout et toujours, indépendamment du temps et de l’espace. C’est cette force qui nous unit à tout ce qui est vivant en ce monde, c’est cette force qui nous fait nous sentir reliés aux autres et qui nous fait souffrir quand les autres souffrent et nous réjouir quand ils sont en joie. Et c’est dans ce champ, « cet esprit est la matrice de toute chose » » dont parle Max Planck, considéré comme le père de la physique quantique que sont créés tous les événements de ce monde.

 

 

Et cette force que nous pouvons aujourd’hui appelé le Champ, elle porte d’autres noms selon nos sensibilités. Les indiens Hopi évoquent de l’idée d’une toile en parlant de l’énergie de la femme araignée qui baignait le monde, d’autres scientifiques ont baptisés cette force Syntropie, d’autres aiment parler de la Source, ou bien évidemment, de Dieu.

 

Ce Champ fonctionne comme un miroir qui nous permet de grandir en conscience. Il reflète fidèlement qui nous sommes à l’intérieur, il reflète nos véritables croyances (et nous pas celles que nous aimons croire que nous avons) en les transformant en événements extérieurs : dans nos relations, dans notre job, sur notre compte en banque, dans nos rues, dans nos cités et à l’extérieur de nos frontières. Le champ transforme ce qui est à l’intérieur de nous en événements extérieurs pour nous les donner à voir, pour nous permettre de nous rendre compte de qui nous sommes vraiment, au-delà de l’image que nous voulons (nous) donner de nous même. 

 

Tout ce que nous faisons, nous le faisons pour faire l’expérience de notre croyance. Chacun d’entre nous dépose dans le monde quelque chose afin de pouvoir le voir, afin d’en faire l’expérience. Parfois consciemment, parfois subconsciemment. La conscience qui s’attend à voir, faire, ressentir quelque chose crée alors cette chose qu’elle ressent « par anticipation ». 

 

Mais nous créons aussi en observant. Si nous voyons les choses à ravers le filtre de la séparation, de la colère, de la douleur et de la haine, alors le miroir quantique nous renvoie ces émotions en créant des conflits dans notre famille, des maladies dans notre corps et la guerre entre les nations.

 

Nous observons ce que nous créons et nous créons ce que nous observons. Cercle vicieux ou vertueux selon que nous mettons notre conscience dans ce cercle ou que nous le subissons subconsciemment, selon la manière dont nous dirigeons notre pensée et nos observations ou bien selon que nous nous laissons diriger par elles.

 

Le monde nous donne à voir ce qui est en nous en le manifestant sous une forme extérieure reconnaissable. Et quand nous observons ce qui est créé, nous lui donnons toute sa puissance.

 

Cela pourrait sembler extrêmement déprimant, mais voici la seconde révélation libératrice : nous parlons le langage du Champ ! Nous imprimons « naturellement » notre marque et créons le monde dans lequel nous vivons. Il nous faut aujourd’hui reconnaître notre habileté à parler le langage du Champ et à prendre la responsabilité de ce que nous y déposons. 

 

Nous verrons demain dans la suite de cet article quelles sont les implications de cette révélation pour vous permettre d’accéder à ce lieu de pouvoir où vous pouvez tout transformer.

 

A demain !

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