Voici le 2ème jour du Défi « 100 jours pour ouvrir son coeur à la Vie » et hier, je vous ai parlé de l’Oracle de Marie, et de très nombreuses personnes m’ont dit qu’elles ne le connaissaient pas et m’ont demandé de le présenter donc le voici !

C’est un oracle qu’on m’a fait découvrir en 2015 et que je me suis empressée d’acheter parce que c’est la période où j’ai commencé à canaliser Marie. 

Donc non, ce n’est pas moi qui l’ai réalisé comme on me le demande parfois. J’aurais adoré le faire, mais non !

C’est un jeu de 44 cartes, avec son livret d’explication, qui propose après chaque interprétation une méditation de guérison. Ce que j’aime bien dans cet oracle c’est qu’il emmène vers la foi et l’amour. Pas l’amour amoureux, l’amour relation même si on le réduit souvent à ça, mais l’amour en tant que force de vie, cet amour qui correspond à l’expérience de Dieu. 

Mais il ne fait pas que ça, il est tout sauf béni-oui-oui. Il met le doigt sur l’épreuve que nous traversons, nous invite à y plonger pleinement, non pas dans une exaltation de la souffrance mais dans l’idée de bénéficier pleinement de cette expérience qui est à vivre et à transcender pour en trouver le sens et pour guérir ce qui est à guérir, ici et maintenant. Et c’est ce qui est proposé ensuite avec le processus de guérison qui va avec chaque carte.

Même si je sais canaliser, j’aime beaucoup tirer régulièrement une carte de ce jeu pour élargir mon horizon, recevoir les réponses à mes questionnements d’une manière différente, prendre du recul, explorer plus en profondeur et avec un autre regard ce que je vis. 

Et je l’adooooooore ! Parce qu’à chaque fois il tombe pile poil et les méditations me sont d’un grand réconfort au quotidien dans les jours qui suivent le tirage d’une carte.

Si vous sentez que cet Oracle pourrait aussi vous apporter de l’aide dans votre quotidien, je vous mets ici le lien pour vous le procurer.

 

Aujourd’hui, je vous écrit en réponse à des questions que l’on me pose souvent autour de la notion du don. Faut-il donner ? Que faut-il donner ? Quand arrêter de donner ? J’ai envie de tout donner gratuitement, je n’aime pas me faire payer…

 

Il y plusieurs choses dans tout ça. D’abord la question de donner. 

 

J’oppose en général donner et offrir. 

 

Offrir est à donner ce que recevoir est à prendre, pour faire un comparaison qui est parlante en général. 

 

 

Quand on donne, on ne se pose pas la question de l’interlocuteur. C’est-à-dire qu’on suppose que l’autre est OK pour recevoir ce que l’on a envie de lui donner, mais on ne lui demande pas du tout son avis. Le social, l’humanitaire entrent souvent dans cette catégorie : on suppose que «ça» est bon pour «machin» et on va lui donner ça de la façon qu’on a décidé de lui donner.

 

Offrir, c’est témoigner. Offrir c’est dire : tiens regarde, moi je fais ça comme ça et si tu veux, si ça t’intéresse, je te l’apprends. Et l’autre est libre de recevoir ça ou pas. Soyez même assuré de quelque chose. Si vraiment vous vibrez quelque chose très fort, les autres auront envie d’apprendre ce quelque chose, automatiquement.

 

C’est aussi faire confiance que l’autre a toutes les ressources en lui pour trouver ce dont il besoin, sans votre intermédiaire, et que s’il a besoin de votre intermédiaire, il saura vous le faire savoir, en d’autres mots, il vous demander comment faire, il vous demandera votre aide.

 

Si vous voulez aller plus loin et creuser cette idée, ainsi que celle, plus générale, de la contribution, voici deux articles du blog qui peuvent vous y aider :

>> Comment apporter sa contribution : lire ici

>> Ne soyez pas utile, soyez vrai : à lire en cliquant ici

 

Dans ce discours prononcé à l’université de Stanford en 2005, Steve Jobs, fondateur d’Apple et de Pixar, partage avec nous 3 histoires qui ont marqué sa carrière, prestigieuse comme on sait.

>> Suivez ce lien pour regarder cette intervention

Et pourtant, ça n’a pas toujours été le cas, comme vous le verrez ! Avec son témoignage, Steve Jobs nous invite à nous laisser guider par notre curiosité et notre intuition : en résumé, «faites ce que vous aimez, tirez-en le meilleur, et même si vous vous sentez guidé hors de sentiers battus, continuez votre chemin».

 

 

Si cela vous parait difficile, regardez chaque échec comme le prélude à une plus grande réussite encore. Si vous aimez ce que vous faites, vous aurez la force de continuer. Nous mourrons tous, alors il est inutile de ne pas faire ce que notre coeur nous dicte. Faites ce que vous aimez, et faites-le bien : votre temps est limité, ne le gâchez pas en vivant une vie qui n’est pas la vôtre !

 

Je me rends compte que nous avons parlé de la prière et plus largement de comment interagir avec le Champ, l’Hologramme quantique, la Source, la Force, la Syntropie, pour reprendre les différents mots de vocabulaire que l’on utilise pour parler de cette force d’Amour qui nous pousse individuellement et collectivement vers notre plus parfaite Réalisation. Mais mon mot préféré pour parler de cet Amour qui est partout et en tout reste Dieu.

 

Et pourtant, ça n’a pas toujours été le cas… 

 

Tout d’abord, parce que pendant longtemps, Dieu me rappelait de trop mauvais souvenirs. Ayant eu une enfance baignée de morale catholique avec catéchisme, première communion, confirmation, communion solennelle, etc, cela me faisait penser à tous ces moments où toutes ces personnes qui étaient sensées m’apporter des réponses à mes questions existentielles brillaient par leur non-réponse justement ou bien par des réponses complètement à côté de la plaque pour la petite fille que j’étais alors. 

 

Puis j’ai grandi et quand j’ai commencé à m’intéresser à la spiritualité, j’aimais parler de l’univers, comme dans l’expression « commandes à l’univers », ou « mettre dans l’univers ». Quand je me suis formée à l’approche de l’Alignement, mon formateur parlait de Syntropie, cette force dont parlent certains physiciens quantiques pour évoquer la force de vie, la force qui pousse chacun d’entre nous vers sa complète réalisation. J’aime bien aussi cette notion de Champ, ce champ d’énergie dans lequel nous baignons et qui nous relie aux événements de ce monde, avec l’idée que nous sommes à la fois ce Champ et dans ce champ. J’emploie le mot de « Champ » lorsque je ressens le besoin de mettre l’accent sur le fait que cette énergie d’amour est partout, qu’elle nous entoure et qu’en même temps nous en faisons partie.

 

 

Et puis, au fil de mes lectures, de mes expérimentations personnelles et du suivi des personnes que j’accompagne depuis 2010, j’ai développé une approche spirituelle fondée sur l’expérience. Aujourd’hui, ma compréhension du divin vient de mon propre voyage intérieur. Au fil de mes pratiques, j’ai acquis la conviction que Dieu était en tout et pour tous, qu’il est ce que les physiciens quantiques appellent le Champ. Je suis Dieu, tu es Dieu, nous sommes Dieu. Comme le vent, les arbres, l’océan, les animaux, les nuages, les arcs-en-ciel et le soleil. J’ai aussi réalisé que Dieu est amour. Dieu tel que je le comprends et que je le vis au quotidien est partout, en tout et est simplement l’amour.

 

Et pour parler de cette force d’amour, j’ai besoin d’un mot sacré, de ce mot sacré à mes yeux : Dieu. 

 

Comme Elizabeth Gilbert le dit si bien dans son livre « mange, prie, aime », je la cite « il me faut un nom, un vrai nom pour pleinement sentir cette présence singulière ». Et cette présence singulière se vit, comme je le disais tout à l’heure. C’est une expérience, qu’Elizabeth Gilbert décrit à merveille quelques lignes plus bas, je la cite à nouveau : « Dieu ne vit pas dans un texte sacré dogmatique ni ne siège sur un lointain trône céleste mais demeure au contraire tout près de nous – bien plus que nous ne l’imaginons, respirant dans notre propre coeur. Dieu est une expérience de l’amour suprême. » Voilà en quoi je crois et c’est ce dont je parle quand je parle de Dieu.

 

Je vous souhaite de trouver votre mot pour exprimer et cultiver dans votre coeur votre lien à la force d’Amour.

Nous poursuivons notre mini-feuilleton « comment changer sa vie en (seulement) une heure par jour ». Je vous ai déjà parlé des 2 premiers temps de cette heure que je consacre chaque jour à devenir encore davantage qui je suis vraiment.

 

Aujourd’hui, je voudrais vous parler du moment que je préfère : mon moment de prière.

 

Je sais que le terme « prière » n’est pas très à la mode, tandis que celui de méditation reçoit davantage de faveur. 

 

J’ai longtemps médité et maintenant je préfère la prière.

 

Mais quelles sont les différences entre les deux ?

 

“La prière, c’est parler à l’Univers et la méditation, c’est l’écouter.”

 

Je ne suis pas tout à fait d’accord avec cette phrase, alors pour cela qu’il m’a semblé important de faire un point sur cette question.

 

L’objectif premier de la médiation est de calmer le mental. C’est comme dire « Pouce » à tout ce qui se passe dans notre tête pour faire une pause et revenir à soi. Et quand on sait que pas moins de 60 000 pensées naissent et meurent dans notre tête CHAQUE JOUR, on comprend à quel point c’est nécessaire de pouvoir appuyer sur le bouton Pause de temps en temps. Qu’on utilise, la respiration, une musique ou d’autres techniques pour méditer, qu’est-ce qu’il se passe ? Il y a de la place pour que les informations du monde de l’esprit arrivent. C’est en ce sens que l’on peut dire que la méditation, c’est écouter l’Univers.

 

 

De son côté, la prière, si on la voit uniquement comme une supplication, va en effet de soi vers Dieu. On est dans la demande. Mais pour moi, elle est bien plus large que cela. Prier, ce n’est pas seulement demander. C’est avant tout parler à Dieu, comme on écrirait un journal intime. C’est se présenter devant Dieu avec la nudité de l’Etoile (pour ceux qui connaissent un peu le Tarot de Marseille). 

 

Pourquoi lui parler d’ailleurs parce que Dieu sait déjà ce qu’on est venu lui dire ou lui demander ? Mais en réalité, c’est nous-même qui avons besoin d’entendre ce que nous avons à lui dire. Pour conscientiser ce que nous pensons, ce que nous vivons, ce que nous ressentons, donc ce que nous avons besoin de guérir. Mais ça ne s’arrête pas là. La rencontre avec Dieu n’est pas un simple refuge spirituel. L’attitude de la prière est plutôt celle d’aller chercher au plus près de la source ce qui cherche à se manifester à travers nous, afin d’accomplir la volonté de Dieu. Et la volonté de Dieu, c’est vivre pleinement l’incarnation dans la destinée humaine, c’est nous permettre d’embrasser pleinement notre condition humaine. La prière est donc plutôt un tremplin qui nous propulse, avec élan, dans la réalité de nos existences. 

 

Maintenant que nous avons parlé de la gratitude, le premier temps fort de mon heure de développement personnel et spirituel, venons-en au deuxième temps fort, à savoir le fait d’interroger un ou plusieurs guides spirituels.

 

Pourquoi cette pratique ?

 

Lors de décisions importantes à prendre, vous aurez peut-être envie de vous sentir guidé par la vie, d’entendre la réponse de la « petite voix » qui sait mieux que vous ce qui est bon pour vous. Vous pouvez avoir envie de chercher à rencontrer la partie de vous-même la plus sage et la plus aimante du monde – la partie qui donne un sens et un but à votre vie. 

 

Vous pouvez avoir des réponses à vos questions en pratiquant la méditation ou la prière, mais vous pouvez aussi vous aider d’autre manière. Vous pouvez avoir recours à des jeux de cartes tels que Tarot, Oracles, cartes des anges… Choisissez soigneusement un jeu qui vous plait et posez régulièrement vos questions. Mais surtout, appliquez les réponses qui vous sont délivrées ! 

 

 

C’est d’ailleurs lors d’une méditation que j’ai reçu un message auquel je ne m’attendais pas du tout, m’invitant à me connecter à Marie et à canaliser ses messages : c’est ainsi que j’ai canalisé 365 textes de Marie, que j’ai réunis en un livre afin de les publier et les offrir au monde.

 

Aujourd’hui, j’interroge Marie dès que je me trouve confrontée à un dilemme un peu épineux ou tout simplement lorsque j’ai besoin d’éclairages sur ma vie, lorsque j’éprouve le besoin de demander sur quel sujet porter mon attention pour la suite de mon parcours spirituel.

 

Vous pouvez aussi choisir de vous « connecter » directement au monde de l’Esprit pour obtenir de vraies réponses aux questions que vous vous posez. Sachez que vous avez la possibilité d’accéder à des informations que vous ne pouvez pas avoir avec votre mental, d’accéder aux réponses à vos préoccupations les plus importantes et les plus urgentes, là où elles se trouvent : dans le grand réservoir du savoir universel, au sein même du plan divin. 

 

Et il existe des techniques spécifiques pour parvenir à entendre la voix des guides spirituels, des techniques qui vous donnent accès à des conseils fiables pour mener votre barque en tout sérénité sur les eaux parfois tumultueuses de la vie. Je ne peux vous en dire plus ici à ce sujet, sachez simplement que ça existe et que c’est à la portée de tous.