Dans mon dernier article, je vous partageai deux manières de réorganiser votre vie pour qu’elle corresponde en tout point à ce que vous désirez vivre.

>> Cliquez ici si vous ne l’avez pas lu.

 

Si je vous disai aussi dans la newsletter d’hier que tout commence toujours par une décision, il faut savoir que l’étape qui suit la décision consiste à agir.

 

En effet, une vraie décision est TOUJOURS suivie d’un plan d’action, aussi simple soit-il. Par exemple si je décide de boire une verre d’eau, je vais me diriger vers la cuisine, prendre un verre, ouvrir le robinet, remplir le verre puis le porter à mes lèvres et boire. Tout ceci est un plan d’action.

 

Evidemment, plus mon objectif est ambitieux et plus ma décision implique de sortir de ma zone de confort, plus mon plan d’action va se complexifier.

 

S’il n’y a pas de passage à l’action, ce n’est pas une vraie décision, cela reste une intention.

Comme dans « un jour, j’arrêterai de fumer » ou bien « un jour, mon prince viendra… ». Je ne sais pas pour vous, mais moi je l’attends toujours ;-)

Parce que je n’ai pas encore décidé d’attirer à moi la personne qui correspond à la relation que j’ai envie de vivre en guérissant les blessures d’amour qui m’en empêchent.

 

Pourquoi ça ? Parce que ce n’est pas dans mes priorités, tout simplement.

 

En effet, pour réorganiser sa vie efficacement, pour créer une vie qui nous ressemble et ne pas tout laisser tomber parce que le chantier est trop gros ou parce qu’à vouloir essayer de tout faire on n’arrive à rien et on se décourage, il nous faut procéder étape par étape. Y aller en douceur, un pas à la fois, un jour à la fois, dans l’amour de soi.

Et une des manières de cultiver l’amour de soi (il y en a d’autres, que je vous détaille dans cette série d’articles) et d’être gentil avec soi-même, c’est de se fixer des objectifs atteignables.

 

 

Des objectifs atteignables en termes de temps.

Des objectifs atteignables en termes de taille.

 

C’est ainsi qu’un des gages réussite lorsqu’on se fixe un objectif ambitieux, c’est de le décomposer en toutes petites étapes facilement réalisables, que ce soit parce qu’elles ne nous demandent pas de nous mobiliser pendant des heures d’affilée ou parce qu’on peut les faire dans un avenir très proche.

 

 

Et pour organiser tout ça dans une ligne de temps, il y a la technique du 5-4-3-2-1 go !!

J’ai trouvé cette technique dans un livre sur le Bullet Journal (j’ai commencé un Bullet Journal en début d’année : c’est le sujet – normalement – de mon prochain article).

 

En quoi ça consiste ?

D’abord on liste ses objectifs.

Pour les plus gros, on les décompose en petites étapes.

On obtient une liste d’objectifs et de sous-objectifs.

 

Puis on les classe de la manière suivante :

Les objectifs que vous voulez accomplir en 5 ans.

Les objectifs à atteindre en 4 mois.

Les objectifs à réaliser en 3 semaines.

Les objectifs à mettre en oeuvre dans 2 jours.

Les objectifs que l’on fera dans une heure. 

 

Astuce à ne pas oublier : mettre une date car dans 5 ans ça restera toujours 5 ans tandis que si nous sommes le 20 avril 2023, dans 5 ans c’est le 20 avril 2028. 

 

Se fixer une durée longue pour un objectif très ambitieux est une super tactique ! Premièrement, ça nous fait déjà moins peur : « ouf j’ai 5 ans pour affronter mes peurs et changer mes croyances limitantes ! » Deuxièmement, cela me permet de prendre le temps de les décomposer en sous-objectifs réalisables. En résumé, cela rend mon objectif atteignable.

 

Un des trucs que j’ai appris avec Franck Nicolas, c’est que l’on sur-estime ce que l’on peut faire en un ou deux ans, mais que l’on sous-estime ce que l’on peut accomplir en 5 ou 10 ans. 

 

Pour terminer avec le 5-4-3-2-1 go, soyez gentil avec vous-même : vos objectifs ne seront peut-être pas accomplis exactement dans le délai qui leur a été imparti, mais l’idée est de mettre en route le processus consistant à définir la quantité de temps et d’énergie dont vos objectifs ont besoin pour être menés à bien, dans leur totalité et individuellement.

 

Enjoy !!

 

Marc Chagall est un de mes peintres préférés. 

Alors lorsque je suis tombée sur cette phrase au fil de mes lectures, je n’ai pu m’empêcher d’avoir envie de vous (re)partager la méthode que j’utilise depuis 2017 pour colorer chaque jour un peu plus ma vie avec ma propre palette de couleurs.

 

 

J’en ai aussi une deuxième, qui est arrivée plus récemment dans ma vie et qui est en quelque sorte la version « light » de la précédent.

La version light

La deuxième étant plus exigeante, celle-ci peut être un bon point de départ pour démarrer, pour vous entrainer en quelque sorte. 

La version light est aussi d’une efficacité redoutable pour savoir sur quoi mettre l’accent les prochains jours et prochaines semaines : elle va vous permettre de faire le focus sur ce qui est important pour vous en ce moment et vous donner la satisfaction d’atteindre des objectifs à votre portée et à court terme. 

Voici comment procéder

> Prenez 4 feuilles de papier et inscrivez sur chacune de ces feuilles les « titres » suivants : Mon corps. Ma maison. Mes relations. Mon travail.

> Sur la première feuille, intitulée « Mon Corps », écrivez « Voici ce que je désire à propos de mon corps » puis listez rapidement, sans réfléchir, ce qui est vient à l’esprit. Cette liste doit être courte (3-4 items) et spontanée, vous aurez ainsi plus de chances de ressentir de la joie à l’évocation de ces désirs. Et si ces désirs vous mettent en joie, vous trouverez en vous l’élan et l’énergie de les transformer en objectifs pour faire de ces désirs une réalité.

> Notez ensuite pourquoi vous désirez ces choses. Là encore, ne cherchez pas à intellectualiser ou à justifier ces désirs, écrivez simplement ce que vous ressentez à leur propos et ce que ça vous ferait vivre comme expérience agréable. Là encore, ce ne doit pas être très long, pour rester dans l’énergie du désir pur et joyeux.

> Passez à l’action pour créer ce que vous désirez.

Avec cette méthode « light », n’essayez pas de noter tout ce que vous voulez dans l’absolu dans ces 4 domaines (ça c’est pour la version ultime) : contentez-vous d’écrire ce qui vous vient immédiatement à l’esprit. Peut-être que dans un ou plusieurs domaines il n’y aura qu’un ou deux éléments dans votre liste. C’est OK. Ce processus est là pour vous aider à focaliser votre attention sur les domaines les plus importants de votre vie en ce moment, afin de les réaliser dans les prochaines semaines. 

 

 

La version « ultime »

Cette méthode prend plus de temps à faire : une bonne occupation pour votre week-end de Pâques et ainsi vous placer dans l’énergie de la Résurrection, comme une manière de naître à nouveau, de naître à votre vraie vie.

Elle va nécessiter des changements plus profonds et sur le plus long terme, c’est pour cela qu’elle est parfaitement adaptée pour si vous souhaitez savoir comment vous réaligner en profondeur.

Voici comment procéder

> Prenez 4 feuilles de papier (ou plutôt 4 tas de feuilles) et inscrivez sur chacune de ces feuilles les « titres » suivants : Moi. Mes relations. Mon temps. Mon espace.

> Chacune de ces 4 domaines vont ensuite être précisés en sous-domaines, de la manière suivante.

– MOI : Santé – Sommeil – Alimentation – Poids – Silhouette – Look – Vêtements et Accessoires – Développement Personnel – Vie Spirituelle
MES RELATIONS : Couple – Enfants – Famille d’origine – Amis et Copains – Collègues – Réseaux.
MON TEMPS : Mission de vie – Travail > Argent – Projets et Apprentissages – Loisirs et Voyages

MON ESPACE : Habitation – Ameublement – Équipement ménager – Audio-Visuel – Informatique et Communication – Modes de Déplacement.

> Pour chaque aspect du domaine « Moi »,  projetez-vous à un moment dans le futur où vous vivez votre Vraie Vie. Imaginez où est-ce que vous en serez le jour où tous ces désirs seront satisfaits ? Incluez tout ce qui existe maintenant dans votre vie et qui fait déjà partie de votre Vraie Vie. 

> Très important : écrivez des phrases complètes et au conditionnel.

> Pour chacun des aspects, posez-vos des questions comme :
Si je vivais ma Vraie Vie,…
– je serais…

– je ferais…
– j’aurais…
– je ferais l’expérience de…
– j’aurais les moyens de…
– je créerais…
– j’irais…
– je ne me laisserais plus…
– je consacrerais la plus grande partie de mes ressources à… -…

> Faites la même chose pour chaque aspect des 3 autres domaines, dans l’ordre ! : MES RELATIONS ; Ensuite, C – MON TEMPS ; Et enfin, D – MON ESPACE.

> Passez à l’action pour créer ce que vous désirez.

Cette méthode ultime pour vivre sa vraie vie, pour colorer notre vie avec nos couleurs d’amour comme le dit Marc Chagall, est un processus, un cheminement car il s’agit de devenir capable dans sa tête d’aligner votre vie actuelle sur ce que vous avez envie de faire, d’être, d’avoir.

Alors allez-y en douceur, étape après étape, en commençant par les choses qui vous mettent en joie et en alternant les objectifs qui vous semblent faciles et ceux qui vous demandent plus de temps et de changements.

Ce que cette méthode ultime vous offre également, c’est le moyen de vous connaître vraiment. Vous verrez avec le temps que vous avez mis des choses sur le papier qui ne vous donnent plus d’enthousiasme lorsqu’il s’agit de passer à l’action : c’était sans doute sans doute des désirs intellectuels et pas de désirs qui émanaient de votre coeur. De la même manière, nous évoluons avec le temps, nous affinons nos désirs, il est donc important de refaire cet exercice régulièrement : 3 fois par an est un bon rythme, et il doit se faire au minimum tous les 6 mois, pour garder votre cohérence interne et réadapter votre plan d’action à qui vous devenez au fil du temps. 

Autre avantage de faire cet exercice régulièrement : vous vous rendez compte que vous avancez, vous pouvez vous approprier vos progrès. 

N’oubliez pas de les célébrer, d’ailleurs (valable aussi pour la méthode light) !

 

Mes conseils

Si la seconde vous semble trop complexe ou trop exigeante, commencez par la première.

Si vous faites partie des ambitieux qui ont envie de jouer avec la méthode ultime, j’ai un cadeau pour vous.

Je développe cette méthode en détail dans un e-book que j’ai le grand plaisir de vous offrir aujourd’hui.

J’y ai ajouté deux outils supplémentaires pour vous aider à aller vers votre vraie vie. Il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous pour y accéder.

> Suivez ce lien pour recevoir le guide Mes 2 outils magiques pour vivre sa vraie vie 

 

Je vous souhaite un excellent week-end de Pâques.

Suite à mon dernier article intitulé « trop occupée à courir après le bonheur ? », une personne m’a demandé comment j’avais le temps de faire tout ça, ou autrement dit « comment ça se faisait que j’avais AUTANT de moments de bonheur » ?

 

Si vous ne l’avez pas encore lu, il est dispo ici :

https://185s6atqrn.preview.infomaniak.website/trop-occupee-a-courir-apres-le-bonheur/

 

Et la réponse est extrêmement simple.

 

C’est d’abord une décision. 

 

Ou plutôt une double décision.

Tout d’abord, la décision de voir que ces moments de bonheur existent.

 

 

La deuxième, c’est de décider d’en mettre davantage au fil des jours.

 

Et comme je le disais dans cet article qui date un peu maintenant : le bonheur, c’est comme les tiroirs à petites culottes. Ce que je veux dire par là, c’est que, puisque vous n’avez que 24h dans une journée, si chacune de vos journées ne comporte pas suffisamment de moments de bonheur, il vous faut d’abord enlever les activités qui ne vous rendent pas heureux pour les remplacer par des choses qui vous mettent en joie.

 

Voici maintenant comment vous pouvez opérer ce tri sélectif dans votre vie :

 

1. Choisissez une période de 15 jours, pour que ce soit suffisamment représentatif de votre vie.

 

2. Pendant ces 15 jours, prenez un soin tout particulier à noter tout ce que vous faites chaque jour, heure par heure (vous pouvez mettre préciser à la demi-heure, voire au quart d’heure près, c’est encore plus efficace).

 

3. Une fois ces 15 jours terminés, notez chaque activité avec des étoiles, de 1 à 5. Comme sur TripAdvisor, 5 étoiles ce sont les activités qui vous rendent heureux, 1 étoile ce qui ne vous apporte aucune satisfaction. 

 

4. Et puis vous observez : si vous avez une majorité de moins de 3 étoiles, il est urgent d’agir !! 

 

Notamment si votre job n’est pas 4 ou 5 étoiles, posez-vous la question : pourquoi vous donnez 8 heures de votre vie 5 jours par semaine à une activité que vous ne kiffez pas ?

 

Comment agir, concrètement ?

 

5. Enlevez tout ce qui ne vous comble pas, d’une manière ou d’une autre. Même si au départ vous ne voyez pas comment faire… Si vous êtes fermement décidé à mettre à la poubelle quelque chose qui ne vous rend pas heureux pour le remplacer par quelque chose qui vous tient à coeur et que vous gardez l’esprit et le coeur ouvert pour que ça se passe, la vie va vous offrir une ouverture, c’est certain !!

 

Mais si vous restez focus sur « c’est pas possible, je vois pas comment », la vie vous donnera raison aussi et vous resterez avec de l’insatisfaction (beaucoup trop) dans votre vie et dans votre coeur.

 

Je vous souhaite de belles séances de tri sélectif.

De temps en temps, j’aime bien vous offrir l’occasion de (re) d’anciens articles pour approfondir un sujet donné.

Voici aujourd’hui les 7 étapes pour créer la vie de vos rêves.

 

Etape n°1Tout commence par une décision… 

Si vous avez envie vous aussi de commencer un chemin vers l’Abondance, d’avoir une vie matérielle aussi riche que votre vie spirituelle, si vous voulez vous sentir aligné sur le plan divin, il y a une première étape essentielle. Indispensable. Et c’est parce qu’elle est généralement négligée que les gens ne parviennent pas à créer ce qu’ils veulent dans leur vie. 

Cette première étape, ce n’est pas de l’action. Elle est uniquement dans la tête. C’est la décision. La décision est souvent confondue avec l’intention. Demain, j’arrête de fumer… Je vais perdre 5 kilos… J’aimerais faire un métier que j’aime vraiment… Je voudrais arrêter de crier sur mes enfants… Un jour, mon prince viendra… Tout ça, ce sont des intentions. On en a envie, mais on ne met rien en place. C’est à cela que l’on reconnais la décision. Une fois que la décision est prise, elle s’accompagne obligatoirement d’un plan d’action. Quand on prend une vraie décision, on s’engage à mobilier ses ressources et son temps pour atteindre son objectif. 

 

Etape n°2 – Savoir où vous voulez aller

« Il n’est pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas » où il va disait Sénèque. Vous avez donc besoin de clarifier vos désirs. Mon petit jeu préféré pour cela, c’est celui des « 4 domaines de ma vraie vie ».

>> Suivez ce lien pour y jouer vous aussi

 

 

Etape n°3 – Transformez vos rêves en objectifs et passez à l’action

Alors là, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle !! La mauvaise, c’est que si vous restez assis dans votre canapé, il ne va pas se passer grand chose. Maintenant que tout est sur le papier (grâce aux 4 premières étapes), vous êtes prêt pour la suite. Mais la suite elle dépend de vous… 

La suite dépend de la manière dont vous allez passer à l’action. A ce stade, vous devez réorganiser votre temps et mobiliser vos ressources pour aller chaque jour un peu plus vers la réalisation de votre objectif. Même si pour le moment vous ne maitrisez pas tous les paramètres. Même s’il y a des choses qui vous semblent impossibles. Même s’il y a des trucs que vous pensez (pour le moment) irréalisables. Cela n’a aucune importance. Faites chaque jour ce qui est à votre portée. Et les miracles s’accompliront, je vous le garantis ! 

C’est quand j’ai commencé à passer une heure par jour à ma vraie vie que tout a basculé… ce que j’essayais en vain d’atteindre par l’effort s’est enfin manifesté : parce que j’ai fait différemment. J’ai travaillé sur moi et j’ai mis en place de toutes petites actions chaque jour dans la direction de mes rêves. C’est à votre portée aussi, essayez et vous verrez ! 

 

Etape n°4 – Développez votre foi

C’est cette étape qui est à mon sens la plus difficile puisqu’il s’agit de croire en ce que l’on ne voit pas encore. Quand vous semez une graine, il se passe un certain temps avant que les premières pousses vertes ne sortent de terre. Et pourtant vous continuez d’arroser tous les jours : il ne vous viendrait pas à l’idée de gratter la terre pour vérifier que la graine a germé. Vous plantez, vous arrosez et vous attendez. Tout processus prend du temps. Et ce temps est directement proportionnel à notre foi. 

>> Cliquez ici pour savoir comment cultiver une foi qui déplace les montagnes

 

 

Etape n°5 – S’autoriser à recevoir : le processus créatif

Votre boulot, c’est d’y croire et d’agir. Point. Autant agir dépend de vous, mais croire, cela implique qu’il y a une partie qui vous échappe. C’est s’ouvrir aux miracles. S’ouvrir aux miracles est une attitude juste à trouver, qui est parfois très subtile. Elle s’apparente au lâcher-prise, qu’il ne faut pas confondre avec laisser faire. Cela consiste à suivre le processus créatif, en mettant en oeuvre tout ce qui est en notre pouvoir ici et maintenant, tout en sortant de la volonté de contrôle. Ce processus créatif suit 3 étapes, étapes que vous pouvez accompagner consciemment et activement afin de co-créer avec Dieu : demander, croire, recevoir.

Un livre pour entrer pleinement dans ce processus créatif : Demandez et vous recevrez, écrit par Esther et Jerry Hicks (ma lecture du moment).

 

Un (super) cadeau dans cet article

 

Etape n°6 – Maîtriser la loi d’attraction

C’était l’objet de la newsletter de la semaine dernière : comment être tellement en paix et en amour de ses désirs qu’ils se manifestent facilement et automatiquement ?

>> Je vous offre ici ma chronique du film Le Secret

 

Etape n°7 – Etre reconnaissant pour tout ce que l’on a déjà : la gratitude attitude

Voici maintenant une des notions-clés de l’Abondance. En effet, je ne manque jamais de parler de cette notion qui rend la vie si douce. J’ai compris à quel point cette attitude était fondamentale quand je me suis intéressée aux mécanismes de l’Abondance. En effet, s’il y a des divergences chez les auteurs que j’ai étudiés, ils sont tous d’accord sur une chose : l’importance de la gratitude. Je me suis donc penchée sur la question et si je l’ai considérée comme une pratique parmi d’autres au départ, l’intégrer dans ma vie a été une révélation et le point de départ d’une autre dimension. 

>> Encore un cadeau : suivez ce lien pour connaître les 4 attitudes de gratitude à cultiver chaque jour, et même télécharger le guide correspondant

 

 

Pour conclure : n’oubliez pas de faire régulièrement des bilans pour pouvoir célébrer vos réussites !!

J’ai lu récemment la phrase suivante (dans Demandez et vous recevrez, écrit par Esther et Jerry Hicks) : « certaines personnes sont tellement occupées à se créer une vie de bonheur, qu’elles passent à côté des moments de bonheur qu’elles vivent réellement ».

 

Cette phrase m’a percutée assez fort pour qu’elle résonne encore dans ma tête et revienne chaque jour me faire un « dring dring ».

 

Bon ok, je vais m’y attarder, ai-je répondu.

 

C’est vrai que ces derniers temps, je me suis assez souvent sentie un peu comme le hamster dans sa roue, avec l’envie d’en sortir, mais sans savoir comment faire.

 

Pourtant, j’ai plein de moments de bonheur :

  • quand je prends un bain (avec des huiles essentielles)
  • quand je prie ou que je médite (avec ou sans huiles essentielles ;-)
  • quand je vais me promener avec ma fille
  • quand je m’offre un verre de vin
  • quand je lis
  • quand je brode la deuxième chaussette de Noël (je vous en ai parlé précédemment)
  • quand je « plaid-chocolat-chaud-Netflix » (si si c’est un verbe – en plus la saison revient)
  • quand je me baigne dans la piscine (définitivement plus la saison)
  • quand je joue à un jeu de société avec mes enfants
  • quand je ne ne fais rien dans le jardin

 

Mais j’avais encore trop tendance à les considérer comme des moments de « récompense » parce que j’ai bien travaillé, ou bien avancé dans ma to-do-list… Et pas comme des moments à part entière de ma vie.

 

Alors j’ai changé mon regard et réorganisé mon emploi du temps pour intégrer pleinement ces moments de bonheur et ne plus les faire passer « en second ».

 

Et vous savez quoi ? Je me sens beaucoup plus légère !!

 

Ce changement de manière de considérer les choses m’a fait penser à un petit jeu auquel je m’étais amusée il y a bien longtemps, quand j’ai commencé le développement personnel : la liste des choses que j’avais envie de faire avant de mourir. On peut aussi la nommer «  liste de projets de longue vie » car on sait que conserver des projets à réaliser permet de vivre plus longtemps et en meilleure santé. Ben oui, quand on n’a plus rien à accomplir, il ne nous reste plus qu’à mourir.

 

C’est amusant car je me suis rendue compte, en relisant cette liste bien des années après, que certains projets étaient réalisés, d’autres étaient en cours tandis que d’autres étaient devenus complètement obsolètes… Et qu’enfin certains n’étaient pas réalisés mais restaient bien vivants dans mon esprit.

 

Alors j’ai mis cette liste à jour et je l’ai consignée dans ce carnet.

 

 

Et vous, c’est comment vos moments de bonheur ?

Et sur votre liste des choses que vous souhaitez faire l’expérience avant de mourir, il y a quoi ?

Il est sans doute plus facile d’être dans la joie lorsque l’on jeûne que lors d’une période de famine. 

 

Même chose lors d’une rupture amoureuse. Lorsqu’une relation se termine, on ne souffre pas de la même manière selon que l’on quitte ou qu’on est quitté.

 

Tout simplement parce la première situation est un choix tandis que la deuxième est subie. 

 

En effet, la souffrance est plus vive lorsque nous nous sentons impuissants, lorsqu’on a l’impression que l’on n’est pas responsable de ce qui nous arrive.

 

 

 

C’est à ce moment-à que cette petite phrase vient à notre secours.

 

Elle nous permet d’accueillir ce qui est.

Elle nous permet de redevenir sujet de l’expérience que l’on vit et non plus le jouet de quelqu’un ou d’une situation extérieure. 

Elle nous permet de faire le choix de la suite des événements.

Elle nous permet aussi de repérer les synchronicités de la vie, même quand elles ne semblent pas jouer en notre faveur.

 

En effet, il est fréquent de se réjouir lorsqu’on voit les portes s’ouvrir comme par miracle, les choses s’enchaîner fluidement les unes après les autres et nous conduire aisément vers notre objectif. 

A l’inverse, quand tout se ferme, quand rien ne fonctionne comme on le souhaiterait, quand la vie semble répondre « non » à nos demandes, on a tendance à râler. En tout cas, il est rare que l’on nomme cela « synchronicité ».

 

Et pourtant, il s’agit exactement de la même chose.

Dans les deux cas, l’Univers nous montre le chemin. 

 

Soit nous sommes sur la bonne route, et tout roule ! Soit on fait fausse route et l’Univers déploie des trésors d’ingéniosité pour nous le montrer.

Si on regarde bien, notre chemin est jalonné de poteaux indicateurs qui nous indiquent : oui, continue par là et non, ce n’est pas la bonne voie.

 

Notre job, c’est de les repérer. Puis de choisir la manière dont nous allons y réagir. 

  • est-ce que je vais choisir la facilité ou la difficulté ? 
  • est-ce que je vais refuser une opportunité (parce que j’ai trop peur, parce que c’est l’inconnu ou parce que ça semble trop beau ?)
  • est-ce que je vais m’arrêter en chemin parce que je ne vois pas « comment » je vais y arriver (alors qu’il me sera montré, mais seulement quelques kilomètres plus tard) ?
  • est-ce que je vais ignorer ces précieuses indications de l’Univers parce que « je veux que ça se passe comme ça et pas comme ça » ?
  • est-ce que je vais m’engager en suivant mon intuition ?
  • est-ce que je vais suivre le même chemin que tout le monde ?
  • est-ce que je vais écouter les conseils de mon voisin (« va par là, ça a marché pour moi ») ?
  • est-ce que je vais accepter de revenir en arrière parce que force m’est de reconnaître que je me suis trompée ?
  • est-ce que je vais me pardonner de ne pas avoir prêté attention avant aux panneaux ?
  • est-ce que je vais être capable d’aimer le chemin qui m’est proposé ?

 

Comme vous le voyez, nous sommes encore et sans cesse ramenés à notre libre-arbitre, à notre capacité à faire des choix, à la manière dont nous interagissons avec ce qui est nous donné à vivre.

 

Alors, que choisissez-vous ? 

 

Tic tac tic tac tic tac…

Aujourd’hui je voudrais vous parler de ceci :

 

 

Qu’est-ce que c’est ?

Quelque chose qui m’a coupé le souffle lorsque j’ai compris de quoi il s’agissait.

Chaque petit rond représente une semaine. Et la totalité de ce dessin, c’est le nombre de semaines que compte la vie d’une personne qui vit 90 ans.

On se dit souvent qu’on a le temps, qu’on fera ça demain.

Et le lendemain pareil.

Sans s’en rendre compte, une semaine est passée.

Un petit rond en moins pour faire ce qui est vraiment important, ce qui nous tient vraiment à coeur.

Mais au fait, c’est quoi ce qui vous tient vraiment à coeur ?

Qu’est-ce qui est réellement important pour vous ?

Je vous invite à le lister, ici et maintenant.

Pas ce soir.

Pas demain.

Pas le week-en prochain.

Maintenant.

Si vous avez du mal à ressentir ce qui est important pour vous, voici un cadeau :

>> Cliquez ici pour télécharger le guide « Mes 2 outils magiques pour réaligner ma vie sur ma vraie vie »

 

En plein réalignement sur ma plus haute intention, qui est celle de devenir une millionnaire philanthrope, je réaffirme actuellement mes « routines » développement personnel et spiritualité.

 

Qu’est-ce que j’entends par là ?

 

En plus de passer à l’action concrètement, dans la matière, en me fixant des objectifs et en mettant tout en oeuvre pour les atteindre, je demande l’aide de « plus grand que moi ».

 

Je prends conscience que je ne suis pas la seule à agir pour la manifestation de mon intention : Dieu agit de concert avec moi, ainsi que cette même intention qui cherche à prendre vie à travers moi.

 

Et pour aller dans le sens du plan divin, de la manifestation de ce qui est appelé à advenir, je mets mon attention dans tout ce qui se joue derrière ma prière afin de non seulement demander et agir pour créer l’oeuvre de ma vie, mais aussi m’autoriser à la recevoir.

 

Voici comment ça se passe.

Voici comment appuyer sur les leviers de la manifestation des désirs de votre coeur.

 

 

1. demander. Il s’agit de faire savoir à l’univers ce que l’on veut. Cela nécessite que vous demandiez ce que vous voulez vous vraiment. Et là, il n’y a pas de limites, c’est comme si vous aviez le monde entier sous forme de catalogue et c’est à vous de choisir ce que vous voulez, car c’est vous qui passez votre commande à l’univers.

 

2. croire. Imaginez que ce que vous venez de commander est déjà à vous, ayez une foi inébranlable dans la livraison de votre commande et l’univers se réorganisera pour vous apporter ce que vous voulez. Parfois on ne s’autorise pas à dire ce que l’on veut car on ne sait pas comment ça va arriver, on se dit «ça ne sert à rien d’y penser puisque je ne vois pas comment ça peut m’arriver». Mais laissez la logistique à l’univers, laissez-le se réorganiser comme il le souhaite pour vous livrer ce que vous avez commandé. Puisque vous ne pouvez savoir à l’avance de quelle manière arrivera ce que vous avez demandé, laissez-faire. Il vous suffira de l’observer quand ça arrivera, tout simplement ! Peu importe comment l’univers va se réorganisera pour vous, vous le verrez bien au moment venu. Supprimez tout doute et cultivez votre foi, c’est tout ce que vous avez à faire.

 

3. recevoir. Pour recevoir, commencez à vous réjouir dès maintenant, ressentez tout de suite la joie que vous ressentirez quand vous aurez vraiment ce que vous avez commandé. Il s’agit de se mettre dans la fréquence de ce que l’on veut, pas seulement la pensée mais l’émotion correspondante. Car c’est l’émotion qui la sous-tend qui fait arriver plus vite à vous votre commande. Pour soutenir la force mentale nécessaire à vos pensées les plus positives, appuyez-vous le bien-être que vous éprouvez quand vous êtes dans des émotions agréables comme la joie. Cherchez à ressentir le plus profondément possible les émotions que vous aurez quand vous recevrez ce que vous avez envie : cherchez la maison que vous voulez acheter, aller la visiter, faites tout ce qui peut vous aider à ressentir les émotions que vous ressentirez au moment où ça sera là.  Vous pourriez alors être inspiré sur la bonne action à accomplir ou rencontrer la bonne personne… Donnez l’occasion à l’univers de se réorganiser de la meilleure et de la rapide façon qui soit. Car si l’on agit de concert avec ce que l’univers essaie de produire, c’est magique, on se sent porté par une énergie inépuisable. L’univers aime la vitesse, quand l’élan est là, quand le mouvement intuitif vous conduit, agissez : c’est ça votre boulot.

 

Je vous souhaite de bons moments dans la conscience de votre pouvoir créateur, et de belles mises en action.

Suite à mon article de la semaine dernière intitulé « Les 11 signes de la maturité spirituelle », j’ai eu envie de (re)partager avec vous ma vision de la spiritualité et de vous interroger sur votre vision à vous.

 

Qu’est-ce que ça représente pour vous la spiritualité ? Quelle importance a-t-elle pour vous ? Comment la vivez-vous ?

 

 

Pour moi, avoir une vie spirituelle riche, ce n’est pas se créer des rituels hors du temps, même s’ils peuvent avoir de l’importance lorsque nous avons besoin d’être guidés, soutenus, lorsque nous avons besoin de nous assurer que nous n’avons pas dévié de notre chemin : il est alors essentiel de se mettre à l’écoute de la Parole pour repartir dans le jeu de la vie avec l’entrain et l’assurance de celui qui sait qu’il est aligné sur le projet que Dieu a prévu pour lui.

 

Ma vision est plutôt de me vivre comme être spirituel. Au quotidien, dans mes relations, dans mon business, je mets mon attention sur le fait d’incarner l’être d’amour que je suis : avoir un job au service des autres, inspirer, encourager, remercier tous ceux qui croisent mon chemin, du partenaire professionnel à la caissière du magasin, cultiver une relation de personne à personne avec mes enfants… Dans tout ce que je fais, je tente le plus possible d’écouter et mettre en oeuvre ce que la vie cherche à manifester à travers moi.

Si cette vision retient votre attention et que vous avez envie de l’explorer davantage, je vous invite à lire cet article : Ma définition de la spiritualité

 

En parlant de spiritualité, quel(s)mot(s) utilisez-vous ? Car même dans ce domaine, on peut observer des « modes ». Il y a quelques temps, il était de bon ton de parler de « la Source », tandis qu’aujourd’hui, ce sont les termes « l’Invisible » ou « l’Immatériel », qui semblent être en vogue ;-)

Perso, j’utilise le mot « Dieu », mais ça n’a pas toujours été le cas, j’en parle dans cet article.

 

Enfin, pour terminer de nourrir votre réflexion sur le sujet de la spiritualité, je vous propose la lecture suivante : La spiritualité est-elle une illusion ?

 

Bonne fin de journée !!

Finalement je prends plus de temps que prévu pour mettre en place ma nouvelle formule de newsletter ;-)

 

Mais comme j’ai décidé ces derniers temps de me foutre un peu plus la paix (ma marge de progression est assez grande), je prends mon temps et c’est ok.

 

Pour m’aider, j’ai aussi fait appel à mon réservoir de citation : c’est ce que je fais quand j’ai besoin de démarrer et que la page blanche semble me narguer.

 

J’ai donc emprunté au leader spirituel indien Ravi Shankar les 11 signes de la maturité spirituelle et vous en propose une lecture commentée.

 

1/ La maturité spirituelle, c’est lorsque vous arrêtez de vouloir changer les autres et qu’à la place vous vous concentrez à vous changer vous même.

Si je suis blessée par le comportement ou les paroles de quelqu’un, c’est que je suis blessable. Un peu comme quand j’appuie sur mon bras. Si je n’ai rien, je n’ai pas mal. Si j’ai une blessure, qu’elle est un peu infectée alors si j’appuie, ça va me faire mal. Pourtant la pression est la même dans les deux cas. L’autre ne peut pas toujours savoir si là où il appuie il y a déjà une blessure : je peux choisir de le dire et de fréquenter des personnes pour qui ma blessure est entendable, sans pour autant leur donner la mission de me guérir. C’est à moi de faire cette démarche, personne ne peut la faire à ma place.

J’aime beaucoup aussi « utiliser » l’autre pour l’effet miroir qu’il me renvoie. Quand je rencontre quelqu’un que j’admire, je me dis que les qualités de cette personne sont en moi de manière encore un peu trop endormies et qu’il m’appartient de les réveiller. Quand je rencontre quelqu’un que j’ai envie de juger pour un « défaut » qu’elle a, je regarde en moi de quelle manière je suis jugeante mais aussi si ce que je juge n’est pas là en moi (même si j’aimerais tellement ne pas être comme cette personne).

 

 

2 / La maturité spirituelle c’est lorsque vous acceptez les autres tel qu’ils sont.

Ce deuxième signe découle du précédent : lorsque je perçois l’autre comme un accélérateur de mes prises de conscience pour avancer dans l’Amour, alors non seulement je ne veux pas qu’il change, mais je suis ravie qu’il soit tel qu’il est car il me donne l’occasion de voir où j’en suis.

 

3 / La maturité spirituelle c’est de comprendre que chacun a raison de son propre point de vue.

Oh là là !! La fameuse notion de paradigme ! Notre paradigme, c’est la manière dont nous voyons le monde. Et cette manière n’a rien d’objective : elle est construite par l’endroit et la famille où nous venons au monde, l’environnement dans lequel nous vivons, la manière dont nous avons vécu notre enfance et les croyances que nous avons mis en place jour après jour. Nous avons des lunettes qui nous font voir la vie d’une certaine couleur et il y a autant de couleur que d’être humains en quelque sorte. Et parfois il est bien difficile de se dire que si j’avais eu exactement la même vie que telle personne eh bien j’aurais exactement les mêmes lunettes et que si lui avait vécu la même chose que moi, il aurait mon filtre à la place du sien.

La capacité à voir que mon regard sur le monde est par essence subjectif, cette capacité à comprendre que l’autre ne peut pas être différent de ce qu’il est s’appelle la méta-subjectivité. Je ne sais pas s’il y a un ange de la méta-subjectivité, mais je crois qu’on gagnerait à le prier un peu plus souvent ;-)

 

4 / La maturité spirituelle c’est d’apprendre à lâcher prise.

Là aussi 2 petits mots tout simples à comprendre et pourtant, teeeeeeellement difficiles à mettre en oeuvre !

Je ne vais pas développer ce point car je l’ai déjà fait dans un précédent article, que vous retrouverez en suivant ce lien.

 

5/ La maturité spirituelle c’est lorsque, dans vos relations, vous arrêtez d’attendre en retour et que vous donnez juste pour donner.

Cela me fait penser à cette phrase de Neale Walsch, l’auteur de Conversations avec Dieu, qui m’accompagne souvent en ce moment et que j’ai eu la joie de partager avec mon amie Sarah pas plus tard que hier soir : “Quoi que vous fassiez, faites-le avec le désir de servir la vie. Servez les êtres humains avec compassion, et si votre but est de contribuer à leur bien-être et que vous faites cela de votre plein gré, cela rencontrera votre besoin de contribuer, et quand nous donnons de cette manière-là, il devient très difficile et très subtil en fait, de dire qui donne et qui reçoit.”

Car ce qui est incroyable avec cela, c’est que plus vous donnez de cette manière-là, plus vous recevez. En fait, quand vous êtes à ce stade, non seulement vous ne pouvez plus vous empêcher de donner, mais vous avez l’impression de donner teeeeeeellement moins que ce que vous recevez.

Essayez et vous verrez !! C’est magique !

 

6/ La maturité spirituelle c’est d’arrêter d’essayer de prouver au monde à quel point vous êtes intelligent.

Là je dois dire que ça c’est un point qui me touche très fort. J’essaie d’appliquer la maxime « Dieu t’a donné une bouche et deux oreilles, c’est pour écouter deux fois plus et deux fois mieux que tu ne parles », mais je sens que dans mon désir d’être aimer, j’ai souvent besoin de prouver que mon cerveau fonctionne bien et que donc je suis digne être aimée.

 

7/ La maturité spirituelle c’est lorsque vous ne cherchez plus l’approbation des autres.

8 / La maturité spirituelle c’est lorsque vous arrêtez de vous comparer avec les autres.

9/ La maturité spirituelle c’est lorsque vous êtes en paix avec vous même.

Ces trois points pour moi se rejoignent car ils témoignent d’être en paix avec les autres et avec soi. La paix, c’est ne pas vouloir que les choses soient différentes. C’est être OK avec ce qui se passe, que ce soit agréable ou désagréable. C’est accepter ce qui est là.

Sans pour autant se résigner. La résignation est une forme de passivité. La paix, l’acceptation, sont au contraire des notions dynamiques : elles permettent de faire le constat de ce qui est là, en dehors de l’émotionnel, sans chercher à tout prix, dans l’instant, une solution pour ne plus souffrir ou résoudre le problème. Et ce n’est que lorsque l’on est posé pour constater une difficulté, dans l’acceptation de cette réalité qu’alors on peut, dans la paix, aller regarder à la racine de l’épreuve qui nous est proposée.

 

 

10 / La maturité spirituelle c’est lorsque vous savez faire la différence entre vos besoins et vos désirs, et que vous pouvez laisser tomber vos désirs.

Je ne partage pas tout à fait ce point de vue, ou alors c’est une question de mots. En effet, je n’oppose pas besoins et désirs, mais je suis attentive à ce que j’appelle les désirs de mon coeur (ceux qui sont émanation de ma personnalité) et les désirs qui résultent d’un sentiment de d’insatisfaction, de manque, et qui sont là pour guérir une blessure. Ce qui au passage ne fonctionne jamais : on ne peux pas combler un déficit être par de l’avoir.

 

11/ La maturité spirituelle c’est lorsque votre bonheur ne dépend plus de choses matérielles.

Cette notion est aujourd’hui évidente pour moi, même s’il m’a fallu passer par des périodes de dénuement pour m’en rendre compte, pour me rendre compte que je ne manquais jamais de rien, en réalité. 

Lorsque nous notre bonheur ne dépend plus de notre niveau de biens matériels alors on peut se réjouir de tout ce que l’on a, que ce soit peu ou beaucoup. 

Et sans nous en rendre compte, nous possédons déjà beaucoup en Occident… Je me dis souvent en prenant mon thé et en pensant à toutes les actions qui ont dû être menées dans le monde pour que je puisse déguster cette merveilleuse boisson, de la plante à l’eau que j’utilise en passant par la bouilloire et toutes les transactions qui se sont déroulées entre les deux. Gratitude absolue.

 

Pour aller plus loin :

Vous pouvez reprendre chacun de ces « signes » et observer comment il résonne en vous. Y en a-t-il un ou deux qui résonne pas que d’autres et sur lesquels vous auriez envie de mettre davantage de conscience dans les prochains jours ?

C’est ce que je vais faire avec le point n°6.

Et que pouvez-vous faire concrètement pour incarner davantage la proposition qui retient votre attention ?

Je vous souhaite de bons moments à la rencontre de ce qui cherche à germer dans votre coeur.