Suite à mon article de mercredi, de nombreuses personnes m’ont demandé comment faire concrètement pour se donner de l’amour.

 

Voici comment je procède personnellement : je me centre sur mon coeur et je laisse l’amour monter en moi, comme une sorte de sentiment chaleureux qui m’envahit peu à peu. En d’autres mots, je décide de ressentir de l’amour.

 

De la même façon, on peut ressentir de la gratitude dans objet : décider de se sentir reconnaissant, même si on n’a pas de raison particulière pour cela. C’est ce que l’on appelle la gratitude absolue.

 

Mais je sais qu’au début, ce n’est peut-être pas facile et c’est pour ça que je vous ai proposé il y a quelques semaines 4 attitudes de gratitude à cultiver, pour vous entrainer.

 

 

Alors si vous ne parvenez pas ressentir de l’amour en vous et pour vous « comme ça », vous pouvez essayer ceci :

  • lister la liste de vos qualités et penser à ces qualités pour reconnaître et aimer ces qualités en vous
  • vous remémorer des moments, des souvenirs, des situations où vous avez ressenti de l’amour et « transférer » ce sentiment vers vous
  • vous prendre mentalement dans les bras et vous dire « je t’aime » (plein de fois)
  • vous regarder dans glace et vous dire « je t’aime » (plein de fois)
  • penser à des personnes que vous aimez (vos enfants, votre conjoint.e, des amis proches…), ressentez l’amour que vous avez pour elles et comme expliqué plus haut « transférer » ce sentiment vers vous.

 

Peut-être que ça ne sera pas facile ou que vous ne réussirez pas du premier coup alors entrainez-vous, cela guérit bien des blessures émotionnelles et/ou psychiques.

Suite à l’article que j’ai publié lundi, j’ai reçu quelques réponses de la part de mes abonnés et la plupart était surtout en forme d’interrogation : ok pour aller voir ce qui est touché en moi quand je me sens mal dans une relation, mais que faire lorsque les gens sont vraiment méchants avec nous ?

 

A cette question, je vais faire une réponse en 3 temps :

 

1. Vous poser les bonnes questions

> Comme je vous l’ai indiqué l’autre jour, pour comprendre ce qui se joue vraiment.

 

2. Envoyer de l’amour à ceux qui vous agressent

Oui, mais comment ?

J’ai déjà testé à plusieurs reprises la puissance de l’amour sur les désagréments du quotidien… La fois la plus forte c’est le jour où quelques clientes en colère contre moi voulaient s’aller et porte plainte pour manipulation et dérive sectaire car j’avais changé le contenu du programme d’accompagnement auquel elles avaient souscrit. Je pensais sincèrement et des personnes qu’elles étaient en capacité d’accueillir un changement de programme pour mieux suivre le flux de la vie mais je me suis trompée. Je me souviens qu’à l’époque j’avais été touchée par la situation pendant environ une demi-journée puis que j’avais choisi de leur envoyer de la lumière et de l’amour en les remerciant pour cette épreuve qui me permettait de me montrer mon manque de discernement et m’invitait à mieux me positionner professionnellement. Et puis toute cette histoire s’est tassée gentiment, sans aucune conséquence pour moi, je n’en n’ai tout simplement plus jamais entendu parler.

 

Alors attention quand vous faites cela, vous devez être sincère. Il ne s’agit pas d’envoyer de l’amour pour que la situation qui vous embête disparaisse, car là vous êtes dans le contrôle, voire la manipulation. Vous devez être sincère et désintéressé. Sincère dans votre amour et dans votre acceptation de ce que l’épreuve vous fait vivre. D’ailleurs je pense que si ce n’est pas le cas, ça ne fonctionne pas.

 

 

3. Vous envoyez de l’amour à vous

Il y a quelques nuits de cela, j’ai fait une autre découverte, tout aussi extra-ordinaire et puissante ! Le soir précédent, j’avais vécu une contrariété à propos de quelque chose qui allait impacter fort ma vie au quotidien et je me suis sentie découragée. Je me suis réveillée dans la nuit et j’avais du mal à me rendormir car j’étais vraiment embêtée… Cette fois-ci, j’ai ressenti l’élan non pas d’envoyer de l’amour sur cette situation qui me contrariait mais de m’envoyer de l’amour à moi, parce que j’avais vraiment besoin de réconfort. Et je me suis rendormie tranquillement, pour découvrir à mon réveil que la situation avait été résolue, sans même que je ne fasse rien. La personne qui pensait que notre accord initial n’était plus possible s’est finalement renseignée et a vu que l’organisation que nous avions convenue était tout à fait envisageable. Je dois dire que j’en suis encore impressionnée.

 

Tout ça pour vous dire que lorsque l’on vous dit d’envisager telle ou telle situation avec les yeux de l’amour, cela vous concerne vous aussi, et je dirais même que ça vous concerne vous en premier lieu. Alors avant de vouloir aimer la Terre entière, aimez-vous d’abord, je suis certaine que ça débloquera bien plus de choses que vous ne croyez.

 

Comment ouvrir son coeur ? C’est une question que l’on me pose souvent, je vais essayer d’y répondre du mieux possible.

 

Tout comme la dimension spirituelle, c’est un sujet qui n’est pas facile à aborder car l’amour peut être vécu comme la liberté la plus absolue ou comme le pire des enfermements.

 

Tout dépend de ce que l’on appelle l’amour.

 

L’Amour, celui que j’écris avec une majuscule, cela ne veut pas dire qu’on se laisse faire sous prétexte de gentillesse. « Tendre l’autre joue » comme le dit Jésus, ce n’est pas se comporter en victime : c’est indiquer clairement que l’on suivra le chemin de sa vérité, même si l’autre n’est pas d’accord avec ça. C’est suivre sa voie, celle que l’on reconnait comme juste, peu importe les épreuves.

 

L’amour, cela ne veut pas dire se nier et faire passer l’autre avant soi. 

 

Pourquoi est-ce que je dis cela ?

 

Parce qu’en réalité, l’amour, aussi paradoxal que ça puisse paraître, n’a rien à voir avec l’autre. Encore moins avec l’attachement, l’amitié, l’appréciation, le couple, la dépendance affective… Toutes ces notions que l’on confond joyeusement avec l’Amour.

 

L’Amour n’est rien d’autre que la force de vie. Cette puissance qui est à l’origine de toute chose. Le flux de la vie. C’est quelque chose de transcendant. 

 

 

Et on le vit de l’intérieur. Il peut être en relation avec l’extérieur, mais cet extérieur n’est en rien nécessaire à l’Amour.

 

Pour faire cette expérience humaine, il nous faut un support, un déclencheur de cet état d’être : qui peut être l’art, un enfant, Dieu, le sport, un.e amoureux.se… Mais ce « support extérieur » n’est qu’un déclencheur de quelque chose qui est déjà en nous. Ce déclencheur ne crée pas l’Amour : il le révèle, il le met en lumière, il nous permet d’accéder à ce qui est déjà là.

 

C’est pour cela qu’il ne faut pas confondre ressentir l’Amour avec la manière de le manifester. Si vous êtes pleinement dans cette transcendance, alors vous pouvez faire passer l’autre avant vous parce que vous ne ressentez aucun manque, et d’ailleurs vous n’êtes jamais déçu par comportement ultérieur, éventuellement ingrat, de l’autre, puisque vous n’attendez rien de lui. Vous n’êtes pas en train de faire quelque chose pour l’autre, ni pour vous d’ailleurs, vous êtes dans « ce qui doit être fait ici et maintenant, parce que c’est la vie, votre coeur, cette dimension d’Amour qui vous indique que c’est ce qu’il y a à faire là ». Une même action, celle de faire passer l’autre avant soi, peut être vécue d’une manière totalement différente si vous n’êtes pas dans cette dimension transcendantale.

 

Et parfois, ce n’est pas simple sur le moment de distinguer les deux. Parfois, sur le moment, on a l’impression qu’on y est, qu’on fait les choses de manière désintéressée, dans cet « ici et maintenant ». Mais il y a quand même un premier indice. Quand on a l’impression de faire les choses pour l’autre, on sent déjà qu’il y un petit quelque chose de désaligné. La personne qui agit en étant mue par cette force d’Amour ne fait pas cela « pour » quelque chose. Ensuite, si on ressent de la frustration, même minime, là on peut se dire à coup sûr qu’on est dans autre chose que l’Amour. Et enfin, « avec tout ce que j’ai fait pour lui »… Si la déception est au rendez-vous après coup, alors on vérifie qu’on n’y était pas.

 

Vous pouvez donc voir 2 personnes faire exactement la même chose, mais dans 2 états d’esprit complètement différents. Ce n’est pas parce que vous faites passer l’autre avant vous que vous êtes dans l’Amour. Parfois oui, et parfois non.

 

Et donc, ça n’est pas parce que vous faites les choses pour vous « en premier » que vous êtes égoïste. Là encore, parfois oui et parfois non. Tout dépend de ce qui vous anime quand vous le faites.

 

Mais alors si ce n’est pas en « faisant » qu’on est dans l’amour, comment le vivre, comment l’expérimenter, comment ouvrir son coeur ?

 

 

Comment contacter cette dimension en soi, puisqu’elle est déjà là ? 

 

Comment s’aligner sur la fréquence d’Amour ?

 

Il s’agit de prendre conscience qu’il est déjà là, en vous et nulle part ailleurs. Ce trésor est en vous. Pas besoin de partir loin. Pas besoin d’acheter quoi que ce soit. Pas besoin de talent particulier. 

 

« La porte est en dedans » comme il est écrit dans l’église de Tréhorenteuc, pas très loin de chez moi, la seule église au monde consacrée au Graal, pour le petit clin d’oeil divin ;-)

 

Il suffit de la pousser…

Comment je le sais ?

Parce qu’elle a changé la mienne !

En effet, je ne manque jamais de parler de cette notion qui rend la vie si douce. C’est même bien plus qu’une pratique : maintenant qu’elle fait partie de ma vie au quotidien, je dirais que c’est une manière de penser à part entière, presque une philosophie de vie.

 

J’ai compris à quel point cette attitude était fondamentale quand je me suis intéressée aux mécanismes de l’Abondance. En effet, s’il y a des divergences chez les auteurs que j’ai étudiés, ils sont tous d’accord sur une chose : l’importance de la gratitude. Je me suis donc penchée sur la question et si je l’ai considérée comme une pratique parmi d’autres au départ, l’intégrer dans ma vie a été une révélation et le point de départ d’une autre dimension.

 

Comment ça fonctionne ?

Une des manières de créer notre vie, notre vraie vie,  pour ne pas dire LA manière de créer ce que nous désirons, c’est de vibrer le plus haut possible, de faire Un avec le Tout, de s’unir à Dieu. Pour cela, il est nécessaire d’être dans une acceptation absolue de tout ce qui se passe, ce qui est créé ou ce qui n’est pas créé, ou plus exactement ce qui n’est pas créé comme nous l’aurions espéré. Ici ont est un cran plus haut qu’accomplir la volonté de Dieu. 

 

 

Un paradoxe ? Non !

Cela peut paraître paradoxal que pour créer ce que nous voulons, il faille d’abord accepter ce qui n’est pas ce que nous voulons. Mais quand on y regarde de plus près, c’est tout à fait cohérent. En fait, il s’agit de s’harmoniser avec ce que Wallace D. Wattles, l’auteur de la Science de l’Enrichissement, appelle la substance sans forme et qui est présente partout autour de nous et en nous (que l’on peut aussi appeler Dieu). S’harmoniser avec cette substance permet de l’imprégner de ce que nous souhaitons. Quand on s’unit à Dieu, que l’on vit en totale harmonie avec le plan divin, alors on peut alors co-créer avec lui : lorsque l’on ne s’oppose plus au plan divin, nos désirs sont les désirs du coeur et tout peut alors se mettre en place.

Ce processus d’harmonisation tient en un seul mot : la gratitude. En d’autres termes, pour s’assurer d’être branché sur la fréquence du plan divin, il est indispensable de se sentir reconnaissant avec tout ce qui s’y passe.

 

La preuve de Masaru Emoto

Je ne résiste pas au plaisir de vous parler ici de Masaru Emoto, ce chercheur japonais reconnu pour ses travaux sur l’eau. Je ne vais pas vous faire ici un cours sur la cristallisation sensible, si ça vous intéresse, vous irez plus loin par vos propres moyens. Pour résumer, Masaru Emoto pense que les pensées et les émotions ont des effets sur l’eau. Pourquoi en particulier sur l’eau ? Parce que ce n’est pas un élément comme les autres : il est le seul à être présent aux trois états (solide, liquide et gazeux), il est indispensable à la vie et compose en grande majorité tous les êtres vivants. En faisant des expériences sur l’eau, Masaru Emoto travaille à démontrer l’influence de l’esprit sur la matière. Il fait donc écouter à de l’eau des musiques différentes, soumet de l’eau à des émotions particulières, met l’eau en contact avec des mots puis en mesure les effet en cristallisant l’eau. Vous avez tous déjà vu des cristaux de neige : il y en a des plus ou moins réguliers. En cristallisant l’eau, Emoto obtient des résultats tout à fait éclairants : plus on a mis l’eau en contact avec des pensées, des mots, des émotions à haute fréquence, plus les cristaux sont réguliers et harmonieux. A l’inverse, plus les fréquences d’exposition sont basses, plus les cristaux semblent désorganisés, certains étant même tronqués. Et devinez avec quelle émotion les cristaux sont les plus harmonieux ? Lorsqu’ils sont exposés aux mots associés suivants : « merci » et « je t’aime ».

 

La loi de l’attraction

Par ailleurs, et on rejoint ici la loi de l’attraction, plus nous montrons de la reconnaissance, plus nous attirons à nous de quoi être reconnaissants : en fait, nous attirons de quoi être reconnaissants à la mesure de la gratitude que nous éprouvons. Pour résumé, si vous émettez des pensées, des émotions, des vibrations de gratitude, alors vous allez recevoir ce qui justifie cette gratitude, à savoir tout ce que vous avez réellement, au fond de vous, envie de recevoir.

 

Cultiver la gratitude, en pratique

Comme vous le verrez dans ce qui suit, la gratitude, ça se cultive, et ceci de plusieurs manières. Ce que je vous propose maintenant, c’est d’aller vraiment l’expérimenter en profondeur, de la ressentir, de la vibrer sincèrement. Car il y a des attitudes plus faciles à adopter que d’autres, vous allez le voir ! 

Je vous propose quatre attitudes de gratitude, pour lesquelles je vous conseille de prendre un peu de temps, pour y penser, voire les noter et les avoir le plus souvent possible à l’esprit. 

 

 

La première attitude, c’est à mon sens la plus facile, c’est de ressentir de la gratitude envers les choses, les situations et les personnes envers lesquelles je me sens reconnaissante. En résumé, tout ce qui est dans ma vie, et qui me semble suffisamment chouette pour que spontanément, j’ai envie de dire «merci». Ce peut être un cadeau auquel vous ne vous attendiez pas, un gros contrat que vous venez de signer, une invitation, un compliment particulièrement touchant, un objet que vous vous offrez… Je vous invite à penser à tout cela comme quelque chose qui enrichit votre vie.

 

La deuxième attitude, c’est quelque chose auquel souvent on ne pense pas, c’est la gratitude envers les situations et les personnes qui enrichissent votre vie et que vous pourriez considérer comme acquises. Des choses qui font tellement partie de notre quotidien qu’on n’y pense plus et qu’on les considère comme acquises, voire dues… Après des années de mariage, on ne pense plus forcément à remercier la vie d’avoir un mari, quand nos enfants grandissent, on ne pense plus forcément à remercier d’avoir eu la joie de devenir parents… De même, dormir dans un lit ou manger à sa faim est quelquechose que nous faisons tous les jours, alors nous ne pensons pas nécessairement à ressentir de la gratitude pour cela. Je me souviens de retour d’un voyage en Egypte de m’être émerveillée de voir l’eau couler quand je tournais le robinet : cet émerveillement n’a duré qu’une journée, alors qu’il pourrait être constant. Et comme tout à l’heure, je vous invite à y penser comme quelque chose qui enrichit votre vie.

 

La troisième attitude de gratitude est peut-être le processus d’harmonisation qui vous semblera le moins évident, et pourtant c’est sans doute le plus important : remercier pour tout ce qui vous a rendu ou vous rend la vie difficile…

Alors là ça vous semble peut-être un peu bizarre, mais pensez aux qualités qu’il vous a fallu développer pour triompher de l’adversité. Ayez en tête que c’est grâce à ces difficultés que vous êtes devenu qui vous êtes aujourd’hui : pensez à dire merci pour qui vous êtes. Raisonner de cette façon, c’est aussi penser en termes de contribution : grâce à ce que vous avez vécu, vous pouvez aider les personnes qui se trouvent sur votre chemin et qui pourraient se trouver dans la difficulté. Vous avez la possibilité d’éprouver de la compassion car vous avez souffert aussi, vous pouvez conseiller puisque vous êtes passé par là. Vous pouvez apporter à ces personnes de l’écoute et du conseil, c’est-à-dire ce dont elles ont besoin. 

Cette troisième attitude de gratitude nous invite à voir la bénédiction cachée dans tout ce qui nous est arrivé de désagréable : si l’on garde sa Vision à l’esprit, alors on regarde ce que l’on peut considérer comme un échec sur le moment comme le prélude à une plus grande réussite encore. Vous vous êtes déjà sûrement dit «ah, cette affaire qui n’a pas fonctionné, sur le moment j’ai été déçue, mais finalement heureusement que je ne me suis pas associée avec ces personnes car aujourd’hui nous ne partageons plus les mêmes valeurs». Votre petit ami vient de rompre, c’est certainement que quelqu’un de plus approprié pour vous vous attend.

C’est aussi lâcher-prise : car qui suis-je pour savoir ce qui est le mieux pour moi ? Considérez l’univers comme votre meilleur partenaire de croissance personnelle et dites merci. Ah oui ! n’oubliez pas de penser à ces difficultés comme quelque chose qui enrichit votre vie.

 

La quatrième attitude est une attitude d’anticipation : Il s’agit de ressentir de la gratitude envers ce que je désire avoir dans ma vie, comme si je l’avais déjà. Faisant cela, nous pouvons également remercier pour tous nos désirs, même s’ils sont pour le moment frustrés, car ce sont ces désirs qui nous conduisent sur le chemin de notre évolution. Sentez-vous maintenant comme vous vous sentiriez si vous toutes les choses, les situations, les personnes auxquels vous aspirez faisaient déjà partie de votre vie, ressentez le même sentiment de gratitude que ce qui est proposé dans la première attitude de gratitude, c’est-à-dire remercier pour ce que vous avez déjà, vibrez cette gratitude que vous ressentez à l’idée de toutes les choses chouettes de votre vie. Imaginez-vous plein de gratitude au volant de votre nouvelle voiture, vivant une relation amoureuse harmonieuse, récoltant les fruits de votre travail

Encore une fois, il s’agit ici d’attirer à vous la justification de votre état. Car avec ce sentiment, vous avez en quelque sorte «accepté» ce que vous désirez, vous êtes donc totalement ouvert à recevoir, et l’univers ne peut que vous donner ce que vous êtes prêt à recevoir. Pour terminer, pensez à ces désirs comme quelque chose qui enrichit votre vie.

 

Voilà, vous pouvez constater que la gratitude a plusieurs facettes, que vous pouvez expérimenter tour à tour, de manière à vous harmoniser chaque jours davantage avec la fréquence de création de l’univers, et ainsi attirer à vous ce que vous souhaitez vivre.

 

De la tête au coeur

Au départ, il faut en effet un peu d’entrainement pour ressentir cette gratitude. C’est comme un nouveau comportement que l’on adopte, cela ne vient pas du jour au lendemain : c’est pour cela que je parle de « cultiver ». Cela sera peut-être un peu comportementaliste au début, mais au fur et à mesure, non seulement vous y prendrez goût parce que vous verrez que ça fait énormément de bien de ressentir de la gratitude mais ensuite cela deviendra une seconde nature. Vous appréhenderez la vie comme un cadeau, en vous levant avec à l’esprit « quel cadeau la vie va me faire aujourd’hui, j’ai hâtée de le découvrir ». A ce moment-là, vous saurez que vous avez fait le travail qui consiste à passer de la tête au coeur.

Pour aller plus loin que les quatre attitudes que je vous propose ci-dessus, vous pouvez au bout d’un moment vous entrainer à ressentir de la gratitude sans objet. C’est ce que l’on appelle la gratitude absolue. On se sent reconnaissant, mais sans avoir besoin d’un support pour notre reconnaissance, on est dans la gratitude sans raison particulière. Vous le verrez aussi, c’est d’une puissance phénoménale et vous entraine vers l’émerveillement quotidien, vers ce que je pourrais nommer la grâce divine.

 

> Vous voulez conserver ce trésor (je peux vous assurer que c’en est un) ? Je vous l’offre dans un guide PDF

La première étape vers l'amour inconditionnel

Hier après-midi, je m’entretenais avec une personne qui souhaitait s’inscrire à mon coaching et elle m’a dit une phrase qui a beaucoup résonné en moi.

Quand je lui ai posé la question : « pourquoi est-ce que tu souhaites que je t’accompagne sur les 6 prochains mois, qu’est-ce qui t’a donné envie de ce coaching ? », elle m’a répondu : « ton authenticité ».

Et c’était vraiment un beau cadeau pour moi que de recevoir cela. 

Parce que cette phrase témoigne qu’une très vieille et très profonde blessure est maintenant guérie en moi : si je peux être moi, même avec des personnes qui ne me connaissent que par web interposé, whahouh !! 

Si vous me connaissez depuis un bout de temps, vous savez que j’ai toujours eu mon franc-parler, que je ne me suis jamais gênée ni pour dire ce que je pensais, ni pour dire tout haut ce que tout le monde pensait tout bas : mes ex-beaux-parents s’en souviennent encore ;-)

Mais je ne peux pas dire que j’étais authentique dans le sens de « montrer qui on est vraiment ». J’avais peur. Et j’avais honte, comme je vous le disais la semaine dernière.

Dans mon chemin d’amour, j’ai d’abord choisi des personnes avec qui j’avais des affinités particulières pour m’ouvrir peu à peu et montrer le plus intime de moi. Des personnes qui recherchaient elles aussi des amies auprès de qui s’ouvrir et se livrer sans fard, sans crainte d’être jugées, mais au contraire avec la certitude d’êtres accueillies. 

Et c’est là que j’ai pu commencer à être authentique dans mes relations, jusqu’à ce que ça transparaisse même sur le net, en tout cas dans le ressenti de Caroline que j’avais hier au téléphone…

Vous savez, dans le domaine de la spiritualité, on entend souvent parler de l’amour inconditionnel. On voudrait être capable de donner de l’amour inconditionnel, d’aimer sans jugement.

Mais dans cette quête, n’oublions pas que notre besoin d’amour est double. Nous avons besoin d’aimer ET d’être aimé. Nous avons besoin d’aimer inconditionnellement ET d’être aimé inconditionnellement.

 

 

Alors peut-être que vous pouvez choisir de faire un pas vers l’amour inconditionnel en vous ouvrant à recevoir cet amour inconditionnel : vous ouvrir à être aimé.e pour qui vous êtes vraiment, être aimé.e tout simplement parce que vous êtes, parce que vous exister.

Y a-t-il des personnes dans votre entourage auprès de qui vous pourriez ouvrir votre coeur ? 

Si oui, que diriez-vous de faire un pas vers l’authenticité en leur confiant quelque chose d’important pour vous aujourd’hui ?

Si non, que diriez-vous de prendre la décision de faire entrer de telles personnes dans votre vie ?

Ce pourrait bien être aussi des personnes que vous pourrez aimer inconditionnellement…

Je vous souhaite de bons moments authentiques.

Comment guérir votre blessure la plus profonde

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais je ne vous ai pas écrit vendredi comme promis.

En effet, je dois bien reconnaître que le défi des 100 jours étant terminé, ma motivation était moindre pour vous écrire. Et puis aussi, il n’y avait plus vraiment de « focus » sur un sujet précis hormis « vous conduire vers Dieu ».

Et sur ce sujet, je vous avoue que ces 4 derniers jours ont été en dents de scie. J’étais tiraillée avec d’un côté l’envie de créer un vrai accompagnement, donc payant, et de l’autre tout ce que je souhaite donner gratuitement au fil des jours, grâce à cette newsletter.

Oui, ces 4 derniers jours, je me suis heurtée à plein de vieilles croyances, que j’avais travaillées et que je pensais vraiment derrière moi. En fait, dans ces situations-là, ce n’est pas que l’on « retombe », c’est simplement que les croyances étaient guéries jusqu’à une certaine profondeur et que la vie nous amène à nous aimer plus profondément encore, plus intensément, plus fort, plus intimement.

Sont donc ré-apparues en special guest star :
• Le fameux « pour qui tu te prends » cher à tous les enseignants spirituels, thérapeutes et autres « accompagnants de vie »
• La honte de n’en être « que là où j’en suis » après tant d’années d’introspection et de travail sur moi. La honte est en effet une très vieille copine qui je traine depuis l’enfant et dont je ne suis capable de parler que depuis 2 ans environ. Ben oui, parce que quand on a honte, ben on a même honte d’avoir honte.

D’ailleurs voici un truc pour reconnaître votre blessure la plus profonde. La mienne, vous l’aurez compris, c’est la honte d’être qui je suis.

Pour reconnaître votre blessure la plus douloureuse, il suffit de regarder quelle stratégie vous mettez en place dans votre vie. Votre stratégie ultime, c’est de faire en sorte que personne, absolument personne, ne remarque cette blessure chez vous. Toute votre énergie est tournée vers le fait de cacher ce truc. Là, vous le tenez, ce qui demande à être le plus conscientisé et le plus mis en lumière et le plus aimé chez vous.

 

 

J’ai eu droit aussi à une compagne assez inhabituelle : la peur. En effet, celle-là est généralement assez peu présente chez moi, mes envies sont en générale « plus fortes » que la peur qu’elles génèrent.

Alors face à toutes ces émotions, au lieu d’y aller à fond les ballons comme je fais d’habitude, je me suis observée et écoutée. J’ai décidé en conscience de ne pas passer par-dessus, de ne pas « y aller quand même ».

J’ai respecté que je n’étais pas prête. J’ai respecté ma honte et mon sentiment de ne pas être assez bien pour ça.

Je n’ai pas non plus voulu interroger mes guides, pour ne pas prendre une décision sur des critères externes. J’ai préféré attendre de me sentir alignée émotionnellement sur leur guidancee. Ben oui, parce quand dans un moment de prière, me sont apparus comme dans une sorte diaporama de nombreux guides, mais que je n’ai pas tous « reconnus ». Il y avait avec certitude Jésus, Saint-Michel et la petite Thérèse, tous les autres étant certainement là pour me montrer que je n’étais pas seule.

Mais attention ! Cela ne veut pas dire que j’étais dans le « laisser faire ». J’ai pas dit, « ben non j’y vais pas, tant pis, on verra plus tard ». Je me suis observée. J’ai entendu mes émotions. J’ai écouté mon petit serrement au niveau du plexus solaire.

Et les larmes ont commencé à couler. Comme je n’en n’avais pas versé depuis plusieurs années.

Au milieu de mes larmes, j’ai prié, prié, prié en demandant de l’aide pour accomplir ce que cette force d’amour qui fait tourner la Terre, les étoiles et battre le coeur humain cherche à manifester à travers moi.

J’ai donné de l’amour à tous ces émotions enfouies.

Et c’est ainsi que j’ai traversé cette mini-nuit noire de l’âme, en quelque sorte.

Alors oui, maintenant je suis prête. Prête à vous conduire vers Dieu, jour après jour, avec cette newsletter.

Je vous souhaite une excellente journée.

Comment ne plus se sentir étranger à la vie

 

Très honnêtement, je ne savais pas trop par quoi commencer mon article ce matin parce qu’hier, c’était une journée un peu off pour moi, passée à faire des travaux dans la maison de mon amoureux. 

Du coup, je n’ai pas vraiment mis ma conscience sur mon chemin vers ma grandeur et ma véritable place, ni même fait mon « exercice » de l’après-midi, j’ai juste gardé ma méditation du matin et ma prière du soir.

Et bien sûr, la vie a fait son oeuvre et m’a apporté la réponse !

Je suis abonnée à la newsletter de Jean-Philippe Policieux, qui traduit fidèlement les pensées quotidiennes de Neale Walsch, et j’ai eu envie de vous partager le message que j’ai reçu ce matin car elle m’a fait penser à ce que je vous ai partagé hier, à propos de ne faire qu’un avec cette force de vie mystérieuse qui coule dans nos veines.

Voici donc le réflexion que nous propose aujourd’hui Neale Walsch :

En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez…
que toute la vie est animée par une énergie unique et fantastique,
qui est l’essence de tout ce qui est, vous inclus.

N’est-ce pas incroyable ? Donc, puisque cette essence est qui vous êtes
et ce dont vous êtes fait, elle ne peut évidemment pas vous quitter.
Et de manière moins évidente, elle peut être merveilleusement utile.

Elle peut vous apporter la paix dans des moments de stress,
la force dans des moments de faiblesse,
le courage dans les moments de peur,
la sagesse dans les moments de confusion,
le pardon dans les moments de colère,
et l’amour dans tous les moments de la vie.

Tout ce que vous avez à faire est de savoir que c’est vrai,
et cela sera vrai pour vous, dès maintenant.

Je trouve ça génial, pas vous ?

Avec tout mon amour, votre ami… Neale

Je peux vraiment vous l’assurer, lorsque vous ne vous sentirez plus séparé de cette essence, lorsque vous vous sentirez comme dans une relation d’amour avec cette essence, elle vous le rendra et vous apportera tout ce que votre coeur désire, bien au-delà de vos espérances.

Je vous souhaite une excellente journée.

Comment manifester les désirs de son coeur

 

Suite à mon article d’hier, de nombreux lecteurs m’ont interpellée sur les désirs et il m’a paru important de faire un point sur ceux-ci.

J’avais déjà écrit là-dessus et cet article rejoint ce que je disais hier à propos de la gratitude, la foi, l’espérance car il commence par « En Dieu, mets ta joie et il comblera les désirs de ton coeur. »

>> Voir cet article

Je vous retrouve demain, je vous en dirai plus sur mes avancées de ces derniers jours, suite notamment à la pratique de la méditation de Connexion au Coeur du Champ.

Ouvrir son coeur à l’argent

 

Je suis vraiment ravie de vous retrouver d’autant que je vous livre depuis quelques jours du « très authentique », sans recul ni retenue, juste du partage…

Voici donc comme je vous le disais ce que j’ai mis en place pour guérir la blessure de ma relation à l’argent.

J’ai tiré une carte de l’Oracle de Marie selon ma méthode habituelle : je brasse les cartes en demandant quelle facette de Notre-Dame est la plus appropriée pour m’aider, quel message ai-je besoin d’entendre en ce moment et quel processus de guérison me serait le plus bénéfique, le tout pour guérir ma blessure liée à l’argent.

Je reçois « Notre Dame qui envoie les anges », dont le message est le suivant : je suis aidée et soutenue, pour peu que je demande de l’aide. Mais plus spécifiquement, voici ce qui a retenu mon attention et qui me semble en lien avec ma question : « Il vous est demandé de faire appel à l’énergie angélique pour qu’elle vous aide immédiatement dans votre vie, parce que certaines blessures guériront plus rapidement grâce à son intervention. La Sainte Mère aimerait que ces blessures se referment afin que vous puissiez continuer à servir et épauler les autres ».

Je pratique la méditation de guérison qui correspond à cette carte tous les soirs avant de m’endormir. Le premier soir, les mêmes larmes que lorsque je me suis reconnectée à la véritable contribution que j’ai envie d’offrir au monde sont arrivées, depuis c’est plus calme…

Le matin, au lever, je pratique la méditation de Connexion au Coeur du Champ, avec l’idée que je fais un avec l’argent et un avec mes désirs.

Car voici ce qui m’est venu : quand on désire quelque chose, c’est parce qu’on le voit, qu’on ne l’a pas dans sa vie, qu’on s’en sent séparé et alors on veut l’attirer à soi. Mais si on renverse la vapeur, on peut aussi se dire que si on désire quelque chose, c’est qu’une partie de ce désir vibre avec qui l’on est, que si je veux attirer l’objet de mon désir, celui-ci veut aussi être attiré par moi en quelque sorte. Il n’est donc pas séparé de moi, mais bien uni à moi. Sauf que si je le vois séparé, je le repousse et si je le vois uni à moi, il a envie de se rapprocher de moi.

Comme la gratitude, la foi, l’espérance, peuvent entrer dans nos coeurs si on choisit de les y mettre, je suppose que c’est la même chose pour tout, y compris l’argent. 

Je vous invite donc, vous aussi, à ouvrir votre coeur à l’argent, comme vous avez décidé d’ouvrir votre coeur à la vie, il y a maintenant 77 jours.

A demain.

Mieux se connaitre pour mieux s’aimer et être aimé.e

 

Suite à des demandes des abonnés à ma newsletter, je vous disais hier que j’allais partager deux outils qui ont fonctionné pour moi et qui m’ont permis de nouer une relation de couple heureuse après 5 ans de célibat.

Je vous parlai hier du premier, The Work de Byron Katie.

Voici le deuxième. 

En fait ce n’est pas vraiment un outil à proprement parler mais plutôt d’un état d’esprit, d’une conscience, qui permet de faire les bons choix et de savoir à quoi dire « oui » et à quoi dire « non ». Une manière d’être qui permet de se respecter. 

Je veux parler de la connaissance de soi.

Il y a plusieurs manières d’y parvenir. 

La thérapie par exemple, et cela m’a fait pensé à une interview d’Isabelle Adjani que j’avais lue dans Pyschologies Magazine de février 2010. 

Voici ce qu’elle dit : “L’analyse aide à se rapprocher de soi. On entend souvent dire que l’analyse vous change. Mais non, ça ne vous change pas, ça vous rend à vous. Vous ne devenez pas quelqu’un d’autre, c’est la personne que vous étiez avant qui était une autre. On peut avoir une sorte de désillusion pas toujours facile à vivre lorsque l’on découvre qui l’on est. On se dit : « Voilà, c’est donc moi et il va falloir vivre avec. ». Mais à partir de là, on va pouvoir prendre les vraies décisions. Dire : « Je sais qui je suis et donc, j’aime ça, je n’aime pas ça, ceci me rend heureuse et cela malheureuse. » Des pans de sa vie tombent, les masques aussi. On change d’amis, il y a des gens avec qui on ne peut plus continuer, ni l’amitié ni le travail, et on accepte la perte. On apprend ce qui est bon pour soi. C’est fou ce que l’on peut s’habituer à vivre ce qui n’est pas bon pour soi ! « .

L’introspection est aussi un bon moyen de se connaître. Il s’agit de s’entrainer à sentir, à chaque fois que vous faites quelque chose, si ça vous convient ou non. Et ceci pour tout, même les choses les plus « anodines » de la vie quotidienne, celles qu’on ne remet pas en question à priori, tout simplement parce que comme le dit Isabelle Adjani, on s’habitue trop souvent à vivre des choses que l’on n’a pas envie de vivre.

Quelques exemples :

  • est-ce que j’aime les réveillons du 1er de l’an ? Si je découvre que non, est-ce que je me sens libre de décliner les invitations ?
  • Maman m’invite à déjeuner dimanche mais j’ai prévu autre chose qui me fait plus envie, qu’est-ce que je décide ?
  • des amis m’invitent à sortir mais en y réfléchissant, je m’aperçois que je préfèrerais rester dans mon lit à bouquiner. Qu’est-ce que je fais ?
  • je n’aime pas mon travail. Est-ce que je considère ça comme une fatalité ou est-ce que je m’autorise à me dire que, peut-être, je pourrais choisir une voie qui me plait vraiment.
  • mon enfant ne veut pas aller à l’école, mais je ne vois pas ce que j’ai comme autre choix que d’aller travailler… Comment faire ?
  • je me rends compte que je n’aime pas être en groupe mais que je préfère les relations de personne à personne : comment est-ce que je réorganise ma vie avec ça ?
  • je n’ai plus envie de manger de la viande, est-ce que je suis à l’aise de le dire ou est-ce que je me force lorsqu’on m’en sert ?

Il ne s’agit évidemment pas de tout envoyer balader par principe mais de reconnaître, situation après situation, ce qui est bon pour soi. Et de respecter ce qui nous rend heureux et ce qui nous rend malheureux, même si ça semble incompréhensible pour quelqu’un d’autre.

Bien sûr, ça ne vient pas du jour au lendemain. Cela se fait petit à petit. Il y a des rechutes, des jours où on se sent capable de se (faire) respecter et d’autres non. Ce n’est pas grave, car s’accepter tel que l’on est fait partie du chemin du respect et de l’amour de soi.

Si vous aussi vous avez envie d’apprendre à mieux vous connaître, pour mieux vous respecter, je vous ai préparé un cahier de 20 exercices pour cela.

>> Cliquez ici pour le télécharger (c’est gratuit)