Est-ce qu’il vous arrive de :

  • croire que la maison doit être rangée et propre pour vous y sentir bien
  • attendre le week-end, les vacances, la fin de la journée, des lendemains qui chantent
  • espérer l’amour inconditionnel et l’approbation de vos parents pour pouvoir être qui vous êtes vraiment
  • caresser l’espoir que vous allez être davantage aimé.e si vous faites ce que vous croyez que les autres attendent de vous
  • penser que vous seriez plus heureux avec x euros de plus sur votre compte en banque

Ou tout simplement vouloir que les choses soient différentes…

Si oui, essayez la chose suivante.

 

Asseyez-vous confortablement. Si vous êtes vraiment fatigué.e, allongez-vous sur votre lit ou vautrez-vous dans votre canapé.

Fermez les yeux.

Allez chercher au fond de vous le souvenir d’un moment heureux, l’image d’un coucher de soleil, ressentez l’amour que vous avez pour quelqu’un qui est dans votre vie, ressentez la gratitude pour ce que vous avez déjà (la santé, un toit sur votre tête, de quoi manger dans votre frigo, des yeux pour voir), pensez à quelque chose de beau.

Restez dans cet état de bien-être 1 minute. Ou plus.

Voilà, vous êtes bien.

Vous n’avez besoin de rien de plus en cet instant. C’est le pouvoir du moment présent.

Et le plus merveilleux, c’est que vous pouvez appuyer sur cet interrupteur plusieurs fois par jour.

Essayez, et vous verrez que votre perception de la vie changera au fil des jours si vous prenez cette délicieuse habitude d’appuyer sur votre interrupteur plusieurs fois par jour. Vous verrez qu’il vous arrivera de moins en mois de croire à une des propositions que j’ai listées plus haut.

Je vous souhaite le meilleur.

Voici quelques jours, je me suis sentie portée, comme cela m’arrive entre une et deux fois par an par une sorte « d’énergie du désencombrement ». Je me sentais comme envahie, submergée par tout ce qu’il y a dans mes placards, tout ce qu’il y a à ranger et nettoyer dans ma maison.

 

Je ne sais pas si vous avez remarqué un truc, mais plus nous possédons de choses, plus nous encombrons notre vie de manière générale, plus il faut s’en occuper. Plus notre maison regorge d’objets, plus il faut les ranger, les nettoyer, ce qui prend du temps et de l’énergie.

 

Alors j’ai fait ce que je fais d’habitude quand je ressens cela : je fais le tour, pièce par pièce, de tout ce que possède, deux fois par an. Et tout ce dont je ne me suis pas servi depuis un an, je m’en débarrasse. Soit je le donne, soit je le vends, soit je le jette (s’il est inutilisable et que je n’ai pas pris le temps de le réparer, c’est que cet objet ne m’est pas si indispensable que ça). Même chose avec les « ça peut servir ». Si ça fait plus d’un an que je ne m’en suis pas servie, il est inutile que je garde un objet qui, manifestement, s’il peut servir, ne me sert pas à moi, mais pourrait être utile pour quelqu’un d’autre.

 

Une fois que j’ai fait ça, il me reste l’essentiel. Ce que j’aime et qui me sert vraiment.

 

C’est reposant pour les yeux et ça demande beaucoup moins de temps de rangement et d’entretien.

 

 

Ce qui est génial, c’est qu’on peut faire ça dans tous les domaines de sa vie ;-)

 

Plus nous avons de relations (notamment toxiques), plus cela nous demande de l’énergie. Plus nous avons d’activités, de loisirs, de divertissement, moins nous avons de temps pour ce qui est nous est vraiment essentiel. Plus nous dépensons d’argent de manière inutile, moins il nous en reste pour ce qui est important.

 

Combien de fois avez-vous éteint la télévision en vous disant « bof, finalement ce film n’était pas si terrible ». En réalité, cette activité vous a éloigné de vous, de qui vous êtes vraiment et a pris 2 heures de votre temps, que vous auriez pu employer à quelque chose qui contribue à satisfaire les désirs de votre coeur. Moins vous avez de temps et d’énergie à dépenser dans ce qui ne vous ressemble pas, plus vous en avez pour vous chérir et avoir une vie que vous aimez vraiment.

 

C’est pour ça que ce grand tri que je fais dans ma maison une à deux fois par an, je l’ai adapté à tout le reste dans ma vie : les relations, les activités, le professionnel. Pour TOUT ce qui est dans ma vie, dans mon emploi du temps, je me pose les questions suivantes :

– est-ce que cela me fait plaisir ?

– est-ce que cela nourrit mon coeur, mon âme ?

– est-ce que cela donne du sens à ma vie ?

S’il y a un oui à l’une des 3 questions, ça reste. S’il y a 3 non, cela n’a pas sa place dans ma vie.

 

Je vous souhaite de bons moments de « tri sélectif ».

Il y a quelques temps, j’ai eu besoin de (re)travailler la question de la dépendance affective et j’ai repris pour cela un des livres (ainsi que les exercices) d’une femme que j’aime beaucoup, Byron Katie.

Mais ce n’est pas de ce sujet précisément dont je voudrais vous parler, c’est juste qu’il m’a donné envie d’aborder une thématique chère à Byron Katie et 3 questions simples mais fondamentales que nous pouvons nous poser dès lors que nous ne nous sentons pas bien dans la vie.

Avez-vous remarqué à quel point nous nous faisons du mal ? A quel point, malgré nos souhaits conscients d’aller de l’avant, on continue plus ou moins subconsciemment à s’embarrasser d’un sac à dos dont la lourdeur nous freine et de nous empêcher d’avancer et dont les lanières nous lacèrent les épaules ?

Comment lâcher concrètement ce sac à dos ? On va d’abord aller voir ce qu’il y a dedans, c’est-à-dire de quoi se compose cette souffrance qui nous pèse.

Si la vie, les événements, les relations avec les autres nous blessent parfois et que nous avons mal, c’est parce que nous n’acceptons pas ce qui nous arrive. En d’autres termes, la souffrance, c’est le décalage entre la réalité, telle qu’on la voit, telle qu’on la vit, et ce qu’on aimerait qu’elle soit à la place.

Maintenant que l’on sait ce qu’il y a dans notre sac à dos, comment faire pour le déposer et repartir plus léger ? En posant 3 questions à propos de la manière dont nous percevons cette réalité qui nous fait si mal.

 

 

Question n°1 : Est-ce que je suis dans mes affaires ?

Autrement dit : « est-ce que cette situation me concerne moi et uniquement moi ? » Si oui, c’est très simple, cela signifie simplement que je n’ai pas fait mon job et que je peux m’améliorer pour y remédier. Je lâche mon sac dos et je cours m’informer sur les possibilités de changement : augmenter mes compétences, travailler davantage pour atteindre mes objectifs, faire un travail de guérison intérieure…

 

Question n°2 : Est-ce que je suis dans les affaires des autres ?

Autrement dit : est-ce que je ne suis pas en train de juger l’autre personne ? la rendre responsable de mon malheur ? me positionner en victime ? vouloir que l’autre soit différent (plus gentil, plus compréhensif, moins agressif, davantage bienveillant…) ? Alors là, si je reste là-dedans, c’est la souffrance assurée. L’autre est ce qu’il est et point. Il est le fruit de son histoire, son vécu, son système de croyances et je ne peux pas le changer. Aimeriez-vous que l’on vu change ? Non. Ben l’autre c’est pareil, il n’a pas envie qu’on le change. Quand on se rend compte que l’on est dans les affaires des autres, on peut revenir à soi : comment puis-je être davantage « dans mes affaires » dans ce lien à l’autre, c’est-à-dire prendre mes responsabilités et les décisions qui s’imposent ?

 

Question n°3 : Est-ce que je suis dans les affaires de Dieu ?

Autrement dit : est-ce que je suis en train de juger ce qui se passe dans le monde ou la manière dont la société fonctionne ? Mais en fait, qui suis-je pour savoir si telle ou telle situation est « juste » ? Rappelons-nous que nous n’avons qu’une partie des informations dans notre radar, que nous percevons la vie à travers un filtre tout petit : celui de notre existence. Nous n’avons pas accès à l’ensemble du plan divin et c’est doute pour cela que nous n’en comprenons pas la pertinence… Là encore, lorsque l’on se situe dans les affaires de Dieu, le seul moyen de sortir de la souffrance est de revenir à ses affaires : au lieu de juger le manque d’amour ambiant, et si j’en profitait pour nourrir ma propre capacité d’amour, pour devenir moi-même une meilleure personne, pour mettre (enfin) en oeuvre ma mission de vie ?

 

Ces 3 questions éminemment salutaires me font aussi penser aux 3 cercles de Stephen Covey. Petite info au passage : Stephen Covey est un auteur génial pour toutes les entrepreneurs et porteurs de projets de manière générale. Il a écrit d’excellents ouvrages sur la gestion du temps, l’état d’esprit de la réussite, le leadership… Fin de la parenthèse sur les livres de Stephen Covey. Voici maintenant sa théorie des 3 cercles.

• Le cercle de contrôle désigne tout ce sur quoi vous avez du pouvoir. Ce premier cercle, c’est vous. Vous avez la possibilité d’agir sur vous-même : vous pouvez augmentez vos compétences, vous pouvez changer votre vision du monde et votre perception de ce qui vous entoure, vous pouvez améliorez votre manière d’être avec les personnes qui sont proches de vous, vous pouvez choisir toutes les activités que vous faites et/ou la manière de les faire. C’est ici que vous devez agir en premier et ce cercle doit toujours constituer votre priorité. Dès que vous vivez une expérience désagréable, c’est ici qu’il faut revenir.

• Le cercle d’influence représente votre sphère d’influence. Ce ne sont pas des choses que vous pouvez contrôler : votre conjoint, votre patron, vos enfants, votre travail… Mais vous pouvez influencer la situation parce que vous êtes en relation avec ces personnes. Vous ne pouvez pas changer les personnes mais vous pouvez changer la relation avec ces personnes en agissant à partir de qui vous êtes.

• Le cercle de préoccupations décrit tout ce qui vous préoccupe, tout ce qui vous soucie, tout ce qui vous ennuie mais sur lequel vous n’avez ni contrôle, ni influence. A vouloir agir ici, on perd son temps et son énergie, on s’épuise en vain.

 

Conclusion : vos affaires et votre cercle de contrôle sont les seuls endroits où vous pouvez agir. Là réside votre pouvoir. C’est à cet endroit, et seulement à cet endroit que vous créez votre vie. Ailleurs, vous la subissez.

Après notre feuilleton de 21 jours, on se retrouve à partir d’aujourd’hui pour notre rythme d’articles habituel.

Aujourd’hui, je voudrais vous partager ma « technique de l’action inspirée », que j’associe à celle de la technique de la baguette magique dont je vous ai parlé dans le programme Renouveau.

 

 

Comme j’ai toujours plein d’idées, j’ai toujours des projets en cours : je ne peux pas m’en empêcher. En tant que chef d’entreprise et maman, j’ai donc toujours une to-do list longue comme le bras.

De quoi se compose cette to-do list ?

– d’une part, elle comprend les toutes dernières étapes de chacune des “baguettes magiques” (une baguette magique par projet important).

– d’autre part, j’y inscris ce dont j’ai besoin de me rappeler dès que j’y pense (cette to do list est donc toujours à portée de mains). Cela me permet de ne rien oublier et de mettre que j’ai dans la tête sur le papier au lieu de me polluer la vie à longueur de journées avec les « et il faut que je pense à ceci, et à cela et encore à cela ».

Chaque matin, je regarde ma liste et au lieu de faire ce qui semble prioritaire ou urgent avec le mental, je me centre, je ferme les yeux, je respire profondément 3 fois et j’ouvre la yeux. Je lis ma liste et je me mets à l’écoute des actions qui m’appellent. Je les fais, et ensuite je les barre de ma liste quand elles sont faites.

Je me suis rendue compte qu’en procédant comme cela, je suis dans le flux de la vie, les informations me viennent facilement, j’ai de l’élan et je suis en joie, plutôt que de faire ce qui semble logique, mais ne me donne pas envie.

Et il est vraiment important de rester attentif.ve à cette idée de joie et d’élan quand on est en train de faire une tâche de la liste.

Je vous donne un exemple. Parfois, quand je suis en train d’écrire un article, je sens que mon attention baisse, que j’ai envie d’autre chose. Et avant d’appliquer cette technique je me disais : « mais non Gaëlle, c’est idiot, il ne te reste que la conclusion à faire, termine et après tu pourras barrer ça sur ta liste et tu passeras à autre chose ».

Depuis que j’applique ma technique, je stoppe. Je fais une pause de quelques minutes, ou je me fais un café ou bien, si je sens que ce n’est pas d’une pause dont j’ai besoin mais de changer d’activité, je reprends ma liste et je pratique de la même façon. Je laisse les tâches me choisir.

En procédant ainsi, je me suis rendue compte que je gagnais énormément en efficacité : là où j’aurais peiné une demi-heure pour rédiger 10 lignes, je le reprends à un autre moment de la journée, ou même un autre jour, et ça ne me demande que 10 minutes, tout simplement parce que je suis de nouveau inspirée ou bien encore parce que en faisant autre chose et en laissant passer du temps, j’ai reçu une information pour faire une conclusion bien plus pertinente. Le fait de n’avoir plus envie d’écrire, c’était une indication divine pour me dire « eh, l’info que tu cherches n’est pas encore arrivée dans ta tête, tu as besoin de regarder ailleurs pour l’avoir ».

Je vous invite à tester vous aussi cette méthode et à noter les synchronicités, les informations que vous recevez ou même encore la manière dont vos problèmes se règlent tout seuls, simplement parce que vous avez suivi le flux de la vie au lieu de vous acharner à tout faire avec vos petits bras musclés.

Vous verrez à que point il est agréable (et parfois très amusant) de suivre les panneaux indicateurs que Dieu met dans notre vie sans que nous nous en rendions compte ;-)

Comme je vous le disais dans un précédent article, j’ai toujours beaucoup de plaisir à partager ma « technique de l’action inspirée ».

 

Comme j’ai toujours plein d’idées, j’ai toujours des projets en cours, je ne peux pas m’en empêcher. En tant que chef d’entreprise et maman, j’ai donc toujours une to-do list longue comme le bras. Cela me permet de ne rien oublier et de mettre que j’ai dans la tête sur le papier au lieu de me polluer la vie à longueur de journées avec les « et il faut que je pense à ceci, et à cela et encore à cela ». Dès qu’une phrase comme celle-ci arrive, je prends la feuille de papier que j’ai toujours à portée de mains et j’écris dessus ce dont j’ai besoin de me rappeler.

 

Et chaque matin, je regarde ma liste et au lieu de faire ce qui semble prioritaire ou urgent avec le mental, je me centre, je ferme les yeux, je respire profondément 3 fois et j’ouvre la yeux. Je lis ma liste et je me mets à l’écoute des actions qui m’appellent. Je les fais, et ensuite je les barre de ma liste quand elles sont faites. 

 

Je me suis rendue compte qu’en procédant comme cela, je suis dans le flux de la vie, les informations me viennent facilement, j’ai de l’élan et je suis en joie, plutôt que de faire ce qui semble logique, mais ne me donne pas envie.

 

Et il est vraiment important de rester attentif.ve à cette idée de joie et d’élan quand on est en train de faire une tâche de la liste. 

 

 

Je vous donne un exemple. Parfois, quand je suis en train d’écrire un article, je sens que mon attention baisse, que j’ai envie d’autre chose. Et avant d’appliquer cette technique je me disais : « mais non Gaëlle, c’est idiot, il ne te reste que la conclusion à faire, termine et après tu pourras barrer ça sur ta liste et tu passeras à autre chose ».

 

Depuis que j’applique ma technique, je stoppe. Je fais une pause de quelques minutes, ou je me fais un café ou bien, si je sens que ce n’est pas d’une pause dont j’ai besoin mais de changer d’activité, je reprends ma liste et je pratique de la même façon. Je laisse les tâches me choisir. 

 

En procédant ainsi, je me suis rendue compte que je gagnais énormément en efficacité : là où j’aurais peiné une demi-heure pour rédiger 10 lignes, je le reprends à un autre moment de la journée, ou même un autre jour, et ça ne me demande que 10 minutes, tout simplement parce que je suis de nouveau inspirée ou bien encore parce que en faisant autre chose et en laissant passer du temps, j’ai reçu une information pour faire une conclusion bien plus pertinente. Le fait de n’avoir plus envie d’écrire, c’était une indication divine pour me dire « eh, l’info que tu cherches n’est pas encore arrivée dans ta tête, tu as besoin de regarder ailleurs pour l’avoir ». 

 

Je vous invite à tester vous aussi cette méthode et à noter les synchronicités, les informations que vous recevez ou même encore la manière dont vos problèmes se règlent tout seuls, simplement parce que vous avez suivi le flux de la vie au lieu de vous acharner à tout faire avec vos petits bras musclés.

Vous verrez à que point il est agréable (et parfois très amusant) de suivre les panneaux indicateurs que Dieu met dans notre vie sans que nous nous en rendions compte ;-)

Après la semaine de folie que je viens de vivre en décidant de tourner la page des formations en ligne et les proposant à prix libre, je reviens vers vous ce matin avec une énergie nouvelle, plus douce, libérée de ce poids du marketing et de la vente.

 

Une page se tourne, une nouvelle période et ça m’a donné idée de me choisir un nouveau mot-phare et j’ai eu envie de partager ça avec vous.

 

Comme mon objectif dans cette newsletter, c’est de vous donner tous mes trucs et astuces « développement personnel et spiritualité » ou comment vivre pleinement sa vie dans toutes ses dimensions, je fais circuler cette pépite que j’ai trouvé à l’automne 2018 sur le site de Manon Lavoie, M comme Muses.

 

Le mot-phare est un mot qu’on se choisit, à des moments-clés de notre vie : ça peut être à l’occasion de la nouvelle année, lorsqu’on a un objectif ambitieux, ou simplement lorsqu’on sent qu’on change de niveau dans sa vie.

 

Ce mot-phare est là pour nous guider, nous servir de balise, de repère, quand notre objectif ambitieux nous amène à traverser des tempêtes émotionnelles ou que tout ne se passe pas comme nous le voudrions, ou pas aussi vite que nous le voudrions. Mais il est là pour aussi pour nous ressourcer, nous permettre de reprendre contact avec nous-même, et nous aimer encore plus.

 

 

Pour bien ancrer ce mot-phare que l’on se choisit pour garder le cap, on peut l’afficher chez soi sur un post-it (à un endroit stratégique où vous le verrez plusieurs fois par jour) ou encore mieux, s’en faire un Vision Board, un tableau, une carte mentale, un marque-page illustré… Enfin bref, la technique qui vous plait pour vous l’approprier pleinement.

 

Je me suis choisi un mot-phare en novembre 2018, juste après avoir découvert le concept et ça m’a d’autant plus « parlé » et donner envie de tester l’idée que je commençais une nouvelle période de ma vie : je décidai de mettre fin à 18 mois de nomadisme et de me réinstaller en Bretagne.

 

Ce mot-phare m’a accompagnée jusqu’en juillet 2019, où j’ai senti qu’une nouvelle phase de ma vie s’ouvrait et il m’est apparu que mon ancien mot-phare n’était plus approprié. 9 mois plus tard (tiens, tiens…), avec cette page qui se tourne, je ressens le besoin d’en choisir un nouveau et c’est ce que je vais faire aujourd’hui.

 

Cette idée vous parle aussi ?

>> Suivez ce lien pour choisir vous aussi votre mot-phare

C’est 100% gratuit, Manon Lavoie n’est même pas au courant que je vous parle d’elle aujourd’hui.

 

Mon message du jour vaut son pesant de cacahuètes, alors je vous invite vraiment à ne pas passer à côté. Cet unique conseil vous offre la possibilité de changer radicalement votre vie.

 

On me demande souvent à quel moment ma vie a changé, si c’est dû à un déclic, une pratique thérapeutique ou bien à un événement particulier. 

 

Et je réponds toujours la même chose. Ma vie a vraiment fait une bascule décisive du côté du bonheur lorsque j’ai commencé à consacrer une heure par jour à mon développement personnel.

 

Vous vous demandez peut-être ce que je faisais pendant cette heure-là ?

• je lisais un chapitre du livre la Science de l’Enrichissement. Au-delà d’un titre un peu racoleur c’est le seul ouvrage philosophique et spirituel sur l’abondance que je connaisse. Et je lisais en prenant des notes, en réécrivant les phrases avec mes mots à moi, en essayant de voir si j’appliquais ou non correctement les notions dans ma vie…

• je pratiquais la gratitude : je notais entre trois et cinq choses pour lesquelles je me sentais reconnaissante

• je passais une commande à l’univers

• je méditais sur mon Vision Board.

 

 

Si cela vous inspire, vous savez maintenant quoi faire concrètement pour aligner votre vie sur votre vraie, en y consacrant seulement une heure par jour.

 

Mais vous vous demandez peut-être maintenant de quel livre je voulais parler dans le titre de cet article.

 

Le livre indispensable à avoir chez vous. Le voici. Il s’agit de VOTRE livre. Je l’appelle le Dream Book, parce que cette expression anglaise me fait rêver. C’est avec ce Dream Book que je faisais mon heure de développement personnel par jour (et que je continue quand je me sens stagner dans ma vie ou bien que j’ai un objectif d’importance).

 

Pourquoi ce livre est d’une telle puissance ? Tout simplement parce que c’est vous qui allez l’écrire ! Rassurez-vous, c’est tout à fait faisable et complètement à votre portée. Je vous donne toutes les indications ici : 

>> suivez ce lien pour accéder à la méthode du Dream Book

 

Pourquoi c’est important de se foutre la paix

 

Je vous souhaites dores et déjà un excellent début de semaine !

Quelles décisions allez-vous prendre ? Quelles actions ambitieuses allez-vous mettre en oeuvre ? 

Mais le plus important : qu’allez-vous faire pour prendre soin de vous, dans toutes vos dimensions ?

En effet, je parlais il y a quelques jours avec Véronique, une personne que je coache. Elle vit de gros changements dans sa vie personnelle, et elle me disait « du coup, je me sens coupable car je n’avance pas dans mes projets ». Ce à quoi je lui ai répondu : « et si tu te foutais la paix un peu ? »

Cette formulation était là pour la faire réagir bien sûr, mais elle n’était pas sans fondement. Bien sûr qu’il est important de se fixer des objectifs, de prendre les décisions qui s’imposent lorsque l’on veut voir de vrais changements dans sa vie, d’agir concrètement dans la matière. Mais je suis persuadée qu’il est tout aussi important de faire des pauses et de prendre soin de soi.

Faire des pauses pour faire un bilan de là où on en est sur le chemin vers ses objectifs. Faire des pauses pour célébrer ses réussites, quelles qu’elles soient. Célébrez vos réussites à la hauteur de ce qu’elles vous ont permis de traverser. Ce que quelqu’un d’autre considèrera comme un petit pas ne sait pas ce que ce petit pas vous a coûté. 

Et prendre soin de soi.

 

Vous n’atteindrez pas plus vite vos objectifs si vous « cravachez » au détriment de votre bien-être.

 

Pourquoi est-ce que je dis ça ? Tout simplement parce que vous êtes dans une énergie de défi, de lutte, de performance, vous vous battez contre la réalité, si vous ne vous respectez pas suffisamment, il y a toute une partie de vous qui souffre, toute une partie de vous contre laquelle vous vous battez. Et vous n’êtes pas dans l’amour.

Or ce que j’appelle le plan divin, ou Dieu, ou encore la matrice universelle, le Champ… est Tout Amour.

Pour faire court, vous ne pouvez créer de concert avec la force d’amour qui vous pousse vers votre réalisation si vous ne vous aimez pas vous même. D’abord. En priorité.

Vous comprenez mieux pourquoi je conseillais à Véronique de ne pas se mettre la pression à propos de son objectif, mais au contraire de faire une pause de quelques jours ? Une pause pour se célébrer de tous les changements déjà accompli et une pause pour prendre soin d’elle.

Comment augmenter son taux vibratoire ?

 

Je suis heureuse de vous adresser ce petit mot aujourd’hui pour vous confier ma nouvelle technique favorite pour à la fois augmenter mon taux vibratoire et cultiver ma foi.

Vous vous souvenez peut-être qu’il y a quelques jours, à la suite d’un épisode « down », j’ai tiré une carte de l’Oracle de Marie et qu’est sortie Notre-Dame du Feu-Sacré, porteuse d’un message magnifique : l’invitation à jeter dans le feu sacré de la purification tout ce qui n’est pas amour de Dieu et désir de le servir.

Depuis, chaque fois que je sens que je suis en basse vibration (colère, déception, découragement, fatigue…), je prends le temps de m’imaginer que je jette dans le feu sacré tout ce qui n’est pas en lien avec une vibration d’amour. Et à la place, je demande à Dieu de me guider, pour me connecter à sa force d’amour et pour mieux le servir.

Et vous, quelle est votre technique préférée pour changer votre vibration ?

Je vous souhaite un excellent week-end.

PS : mais peut-être que vous aimeriez d’autres trucs et astuces pour augmenter vos vibrations et retrouver une énergie positive ? Je vous offre mon “cahier pour les jours de pluie” : cliquez ici pour y accéder.

Apprendre à recevoir

 

La grâce n’est pas tant une supplication qu’une autorisation à recevoir. Ressentir la grâce, c’est prendre conscience de la présence de Dieu parmi nous, ou plus exactement en nous. La grâce, c’est Dieu qui se donne dans nos vies. Et recevoir la grâce divine, c’est s’autoriser à recevoir ce cadeau, à l’accepter sans condition, sans se sentir redevable envers qui que ce soit ou quoi que ce soit. 

Si recevoir la grâce nous conduit aux frontières de la transcendance, elle nous permet aussi par effet miroir d’accepter pleinement la dualité dans ce qu’elle a de limitant et de nous accepter totalement, avec nos peines, nos blessures, notre passé, nos souffrances sans vouloir rien changer de ce qui est.

Avez-vous ressentir des moments de grâce dans votre vie ? Je vous invite à prendre un moment pour y penser.

On parle souvent de la grâce comme d’un cadeau divin, qui arrive sans qu’on l’ait demandé. S’il est vrai qu’on ne peut l’exiger, mais je pense que c’est un sentiment que l’on peut cultiver en soi, grâce à un regard d’émerveillement sur la vie mais surtout en changeant de manière de vivre le « recevoir ».

Puisque la grâce est le fait de recevoir de manière inconditionnelle, je vous invite aussi à interroger votre capacité à recevoir : êtes-vous de ces personnes qui acceptent facilement les cadeaux ou bien de celles qui disent « oh mais il ne fallait pas ! » ? Êtes-vous de ceux qui pensent, plus ou moins consciemment que « à vaincre sans péril on triomphe sans gloire » ? Pensez-vous devoir mériter ce que vous recevez, que ce soit par le travail, l’énergie, l’effort d’une quelconque manière ?

Si vous souhaitez recevoir de la vie, il vous faut d’abord accepter de recevoir, vous autoriser à recevoir, sans contrepartie, juste parce que vous êtes qui vous êtes. C’est aussi apprendre à vous donner à vous-même ce dont vous avez besoin, sans exiger de l’autre qu’il le fasse ou pire encore, sans attendre de l’autre qu’il devine vos besoins et les satisfasse. 

Alors que diriez-vous de faire le point sur les notions de donner et de recevoir ?

Je vous souhaite un bon moment avec vous-même.

A demain.