Vous avez le droit d’être belle

 

Je vais encore être brève aujourd’hui et pour cause, je suis en vadrouille !

Ce dont je voudrais vous parler aujourd’hui, c’est de la journée que j’ai passée avec Hasnia, ma coach beauté.

Vous vous demandez peut-être ce que cela vient faire dans les 100 jours ouvrir son coeur à la vie, ou encore quel rapport ça a avec ce qui m’anime depuis quelques jours, à savoir le fait de me connecter avec ma grandeur.

Lisez la suite, vous comprendrez mieux.

Ce coaching beauté a commencé par le vêtement : Hasnia m’a fait une sélection de vêtements que j’ai essayé, à la fois pour sentir comment je me sentais dedans mais aussi comment je me voyais dans le miroir avec certains looks. 

Et cet « exercice », qui était aussi un vrai moment de plaisir, m’a permis d’aller plus loin dans la connaissance de moi, dans l’exploration de différentes émotions. Me trouver belle dans la glace, bénéficier de la présence d’une personne qui était là aux petits soins rien que pour moi, a remué beaucoup de choses en moi. Il faut dire aussi qu’après avoir passé plus de 4 ans à materner à la maison, c’est-à-dire plus de 4 ans en pantalon de yoga et pull douillet (sauf pour mes vidéos), la différence était de taille.

Socrate disait : « connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les dieux ». Et c’est en accédant à cette facette de moi que je me suis rendue compte à quel point accéder à la beauté fait aussi partie d’accéder à qui je suis vraiment, au même que n’importe quelle expérience faite en conscience.

 

Quelle que soit l’expérience que vous faites, elle vous permet d’accéder à la conscience de ce que vous ressentez, de ce que vous vivez avec cette expérience. Elle vous permet donc d’accéder à la conscience de qui vous êtes et de qui vous n’êtes pas. Elle vous permet de faire l’expérience de la séparation donc par effet-miroir l’expérience de l’unité.

 

Toute expérience va vous permettre soit de vous aimer, c’est-à-dire de mettre en lumière ce qui est guéri, complet, plein, en vous, soit de prendre conscience d’une blessure, de quelque chose de sombre, de non guéri, de souffrant. Et ce faisant, vous accédez à la possibilité de le guérir, donc de grandir en amour de vous.

Tout n’est qu’une question de conscience, la conscience que vous mettez à regarder les expériences que vous vivez. 

Hier, en me regardant dans la glace et en bénéficiant du regard d’une personne pleine de conseils et de bienveillance, j’ai découvert une aspiration à me sentir belle, pas uniquement à regarder de la beauté autour de moi, j’ai découvert un nouvel aspect de ma personnalité à aimer, j’ai découvert que je pouvais apporter un regard bienveillant sur mon corps et plus largement sur moi-même. J’ai découvert que certaines blessures anciennes étaient maintenant guéries, donc que mon coeur était plus ouvert à toute une partie de moi ;-)

Quelles que soient les expériences que vous allez faire aujourd’hui, je vous souhaite de les faire en conscience et de grandir en amour de vous.

Comment développer votre créativité ?

Hier, j’ai rajouté un moment de pure détente à mon exercice d’écriture automatique de l’après-midi !

Je me suis fait un dessin pour me connecter mentalement à qui je suis et à ma grandeur : ça tombe bien, le G de Gaëlle, c’est aussi le G de grandeur ;-)

Voici mon oeuvre :

 

 

Si vous aussi, vous souhaitez mêler le développement personnel et la créativité, je vous livre une jolie pépite. 

Il s’agit de l’ouvrage La vie fait à la main – Quête de sens et créativité, écrit par Anne-Marie Jobin. C’est un des livres que j’adore, mais Anne-Marie Jobin en a écrit de nombreux autres, avec un même fil conducteur : comment se servir de sa créativité (dessin, écriture, collage, chant, danse…) pour avancer sur son chemin personnel.

En effet, la créativité est une manière de plonger en soi afin de toucher à l’inconscient d’une manière différente afin d’y résoudre nos multiples conflits intérieurs, tant émotifs qu’existentiels. C’est une façon de se reconnecter avec sa vie intérieure pour prendre de meilleures décisions, plus fidèles à votre nature.

La vie fait à la main vous sera d’un excellent support pour démarrer une nouvelle phase de votre vie, ou démarrer un nouveau projet, mais un de ses autres ouvrages, Le Journal Créatif sera plus adapté à une pratique quotidienne. Contrairement à celui qui tient un journal intime, celui qui tien un journal créatif réalise les exercices proposés en faisant appel non pas au rationnel mais à l’inconscient. Par le biais de l’écriture, le dessin, la peinture et le collage, vous êtes invité à explorer votre ressenti réel et guidé vers des réponses aux questions qui l’habitent, qu’elles visent l’accomplissement de soi ou la résolution de problèmes. Cet ouvrage vous explique les bases, les techniques et toutes les applications de la méthode, qui pour plusieurs constitue un véritable outil de vie. 

Si cela vous tente, si vous vous sentez « appelé.e » à développer votre créativité d’une manière ou d’une autre, foncez sur l’un ou l’autre de ces livres et vous vous surprendrez à recevoir ce que la vie vous propose, à éveiller ce qu’il y a de plus riche en vous et à tracer votre chemin dans le plus grand respect de vous-même.

Une nouvelle pratique spirituelle à la portée de tous

 

Voici quelques jours maintenant que je me questionne sur le sujet de l’argent et la contribution et que j’ai décidé de mettre ma conscience pour la fin de ces 100 jours sur ma grandeur, ma vraie dimension, être à ma hauteur véritable… Et tous ces questionnements pourraient se résumer en une seule question finalement : « qu’est-ce que je suis invitée à apporter au monde, ici et maintenant ? ».

Et bingo !! La réponse est arrivée.

C’est d’ailleurs là une magnifique leçon de la vie, inscrite dans les Evangiles. « Demandez, et l’on vous donnera. Cherchez, et vous trouverez. Frappez, et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvre à celui qui frappe ».

Si vous n’avez pas encore trouvé de réponse à vos questions les plus existentielles, c’est que vous n’avez pas assez cherché. Parfois, bien sûr, on peut se décourager, et c’est important d’accueillir les moments de découragement. Ces moments de découragement sont peut-être aussi une invitation : à faire une pause pour permettre à d’autres informations d’arriver, une invitation à penser différemment, une invitation à se remettre en question, une invitation à demander de l’aide plutôt que chercher soi-même, une invitation à prendre une autre direction.

Ecoutez, et vous saurez. Observez ce que la vie cherche à manifester à travers vous et vous aurez les réponses à vos questions.

Il n’y a que si vous décidez de ne pas avoir de réponses à vos questions que vous n’en n’aurez pas.

J’étais exactement à cet endroit-là, en train de me demander « qu’est-ce que Dieu cherche à manifester à travers moi ici et maintenant ? », lors qu’au cours d’une discussion avec un de mes clients, Edward, médecin homéopathe, j’ai reçu ma réponse.

Cela fait maintenant presqu’un an que j’ai commencé à recevoir des informations sur les onctions sacrées et sur le fait qu’elles peuvent tout à fait prendre leur place dans notre vie spirituelle aux côté de la méditation, de la prière, de la connexion aux guides. C’est aussi au cours de cette même période que j’ai affiné ma mission de vie au service du spirituel et ce que j’avais à apporter à nos contemporains qui se tournent de plus en plus vers cette « autre dimension ».

Mais il manquait un truc.

Comment je le savais, qu’il manquait un truc ? Ben parce que ça marchait pas franchement bien : des personnes étaient intéressées par l’idée, mais dès qu’il s’agissait d’acheter les huiles essentielles nécessaires à les donner, il n’y avait plus personne. Lorsque j’ai proposé une formation pour donner ces onctions, je n’ai pas eu suffisamment d’inscrit. La personne avec qui je devais m’associer pour donner ces formations s’est désengagée.

Pourtant, comme j’avais été « divinement guidée » vers les huiles essentielles, j’ai persévéré, j’ai continué à les utiliser pour moi, à en parler. Je suis aussi restée ouverte aux informations qui pouvaient se présenter.

Et justement, c’est alors que j’étais dans cette vigilance à « qu’est-ce que je suis invitée à mettre dans le monde ? » que le chaînon manquant s’est formé, comme par magie, sous mes yeux.

Edward m’a parlé de l’homéosiniatrie, une pensée développée par des médecins qui ont mis en relation homéopathie et médecine chinoise : les indications cliniques des principaux points d’acupuncture y sont associés à celle des remèdes homéopathiques et des remèdes lithothérapiques, organothérapiques, phytothérapique et gemmothérapiques. Il est alors possible de sélectionner des points sur lesquels sera appliquée une « stimulation » afin de rétablir, chez le patient, un équilibre dont la perturbation est génératrice de l’état en cours. 

Si j’applique cette méthode localisée reposant sur le principe que c’est un point du corps qui appelle le remède, alors cela veut dire qu’une seule goutte  d’huile essentielle appliquée sur un endroit précis en résonance développe au mieux ses effets.

Whahouh !! Cela n’avait l’air de rien sur le moment mais ça changeait tout pour moi : pour bénéficier d’une onction, plus besoin de trouver quelqu’un pour vous la donner. Non seulement c’est plus pratique, mais cela me semblait aussi plus juste.

Je pense en effet que nous sommes arrivés, dans l’histoire de l’humanité, au stade où c’est à chacun d’entre nous d’ouvrir la porte vers le divin, de cultiver notre lien au divin, de manière individuelle, personnelle et intime, en lieu et place des prêtres et intercesseurs qui contribuent à nous faire croire que nous sommes séparés de Dieu, cultivant ainsi une théologie de la séparation au lieu de nous permettre de nous imprégner de la théologie de l’unité. A mon sens tout l’objet d’une vie spirituelle riche est de vivre la séparation de la dualité dans la conscience de ce qui unit tout ce qui est.

C’est ainsi que j’ai mis au monde, simplement en suivant ce que la vie (ou Dieu) me montrait, le concept d’auto-onction sacrée : un pratique spirituelle renouvelée, à la fois autonome et transmissible.

Avec cette information tout le travail que j’avais fait depuis plusieurs mois prenait enfin toute sa dimension (et moi avec !). 

Je vais maintenant m’appliquer à diffuser cette idée, et je verrai quelle sera la réponse de la vie !

C’est la fin des promos

 

Comme je vous en parle depuis quelques jours maintenant, vous savez que j’ai commencé un travail de réflexion et de conscientisation autour de questions qui sont liées entre elles : l’argent, la contribution que j’aimerais offrir au monde, ma place dans le monde, exprimer qui je suis vraiment. En effet, l’argent est un puissant révélateur de notre manière d’interagir avec les autres, de là où on en est dans son rapport à la vie, à l’incarnation. Je m’émerveille chaque jour de ce que ce « truc » vient me révéler de moi. Comme quoi, tout est bon dans la vie pour en apprendre sur soi-même et grandir en amour de soi.

Hier, dans un de mes moments d’introspection sur ces questions, un petit mot est venu me heurter : valeur. Quelles sont mes valeurs ? Ai-je de la valeur ? Comment est-ce que je mesure ma valeur ? Comment est-ce que je quantifie ma valeur ? La valeur de qui je suis, mais aussi la valeur de ce que je fais ? Evidemment les deux sont liées. Si je n’ose pas facturer mes services « à leur juste valeur », eh bien ça veut dire que je ne m’accorde pas de valeur, si les autres ne veulent pas payer mes services « à leur juste valeur », eh bien ça veut dire que moi non plus je ne reconnais pas la valeur que je crois avoir. En effet, je ne peux pas demander aux autres de reconnaître ce que je ne reconnais pas moi-même. 

A ce sujet, je me suis rendue compte que ces derniers temps, je faisais souvent des « promos », comme si le « vrai prix » était trop élevé. Comme si ce que je proposais ne méritait pas le prix que je trouvait juste au départ.

J’ai donc décidé qu’il était temps que ça cesse. 

Et vous, quand vous décidez de vos tarifs, est-ce que vous trouvez toujours un moyen de faire une réduction, une promo, voire d’offrir vos services gratuitement ?

Et qu’est-ce que cette situation dit de vous ?

Je vous retrouve demain avec un tout nouvel exercice pour vous faire avancer dans votre relation à l’argent.

 

Voici voici voilou, on se retrouve comme convenu pour le dernier quart de notre défi « 100 jours pour ouvrir son coeur à la vie ». Comme je vous l’annonçais hier, je me suis rendue compte que j’avais encore un blessure liée à l’argent proprement dit.

En effet, si je vis confortablement aujourd’hui alors que c’est loin d’avoir toujours été le cas et si j’ai une foi totale dans le fait que l’argent arrive quand j’en ai besoin, un léger différend avec un ami à propos de l’argent m’a mis la puce à l’oreille et je me suis rendue compte qu’il y avait là quelque chose d’important à régler.

Tout d’abord, la première prise de conscience importante était qu’il s’agissait d’une blessure. Il ne s’agissait plus de travailler ma capacité à générer de l’argent, ça c’est ce que j’ai guérir il y a plus de 15 ans et que je transmets dans mon programme Vivre l’Abondance. Il s’agit d’une blessure liée à la relation avec l’argent. 

Dès que j’ai mis le doigt sur le terme « blessure », les souvenirs et les larmes ont afflué. Enfant, je n’avais pas le droit d’avoir ce que je désirais. Non que je manquais de jouets, mais c’étaient mes parents qui décidaient quoi nous acheter. Ma soeur et moi n’étions pas consultées sur ce qui nous ferait plaisir. En général, ce que nous recevions était chouette, je ne me souviens pas trouvé un jouet moche ou inapproprié, mais lorsque nous formulions un désir, la réponse était « non ». Just pour le principe de « si tu réclames, tu n’auras pas ». 

Plus profondément, cela signifie « mes désirs ne sont pas reconnus, mes désirs n’ont pas de valeur ». Donc « qui je suis » n’est pas reconnu. Je ne peux être vue et reconnue telle que je suis vraiment.

Autre point important : prendre conscience qu’il s’agissait d’une blessure a pu aussi m’apaiser et cesser ces petites voix que j’entends encore (trop) souvent : « mais enfin, toi qui connais la loi d’attraction, toi qui as une telle confiance dans vie, toi qui sait générer en quelques heures ce dont tu as besoin, comment se fait-il que tu restes à ce niveau de confort, à ce niveau d’acceptabilité ? ». En observant qu’il s’agissait d’une blessure, j’ai cessé de me juger, j’ai accepté cette faille en moi. Et j’ai commencé à accéder à la possibilité de la guérir.

Ce qui m’a ensuite permis de comprendre que mon problème n’avait donc rien à voir avec la loi d’attraction, avec le professionnel, avec la mission de vie, ou avec le faire en général… Mais avec l’être. 

Et ce qui est venu, c’est l’idée non pas de place, mais de hauteur, de grandeur, de dimension. Comme si je me sentais sur mon axe (je me sens à ma place dans ce je fais), mais pas à la bonne hauteur. 

Mon problème n’est pas d’attirer suffisamment d’argent pour vivre, mon problème est de ne pas attirer les sommes d’argent qui correspondent à la contribution que j’ai envie d’apporter au monde. J’avais d’ailleurs complètement mis de côté cet aspect de ma vie…

Renouer avec mes désirs importants de contribution m’ont à nouveau fait venir les larmes. Je touchais-là quelque chose d’important. En allant sur les sites web qui correspondent à « quels dons je ferais si j’étais millionnaire », je me suis sentie touchée au coeur et pleine de frissons. Je renouais avec une dimension importante de qui je suis. 

Une dimension interdite quand j’étais petite, bien sûr.

Une dimension que j’avais commencé à toucher du doigt en 2013-2014, quand j’ai commencé à avoir du succès sur le web.

Une dimension qui s’est « rétractée » ensuite et que j’ai mise de côté pour me consacrer à ma fille.

Une dimension que j’avais oublié jour après jour.

Mais elle est là pourtant, en moi, elle cherche depuis toujours à se manifester à travers moi, et elle refait surface aujourd’hui. Youpi ! Yapluka !

Voilà pour le diagnostic, dès demain je vous dirai ce que j’ai commencé à mettre en place pour guérir ma blessure et nourrir cette dimension de grandeur malmenée.

A demain !

quand les blessures remontent à la surface, c’est qu’il est temps de les guérir

 

Je vous partageais hier qu’il y encore quelques jours, je ne savais pas trop sur quoi j’allais mettre mon focus pour la suite du défi « 100 jours pour ouvrir son coeur à la vie », hormis suivre ce qui se passe dans ma vie lorsque je mets de l’attention sur ce qui se passe dans mon coeur et sur la manière dont je peux encore plus et mieux me donner de l’amour, bien sûr.

Et puis l’autre soir, j’ai eu un différend avec un ami au sujet de l’argent (un immense merci à lui, il se reconnaîtra) et je me suis dit qu’il y avait là anguille sous roche.

En effet, à ce sujet, j’ai vécu beaucoup de choses dans ma vie :

  • peu de moyens dans mon enfance (un seul salaire et une « interdiction du plaisir » assez générale véhiculée principalement par ma mère)
  • dans la norme financière lorsque j’étais salariée
  • un peu plus d’aisance quand j’ai créé ma première entreprise
  • la dégringolade et la grande pauvreté quand celle-ci s’est mise à ne plus fonctionner : minima sociaux pendant 2 ans, j’ai vécu dans un véritable taudis sans cuisine et sans salle de bains avec mon fils qui avait 4 ans à l’époque
  • j’ai ensuite remonté peu à peu la pente en étudiant les mécanismes de l’Abondance, période pendant laquelle je me suis aussi formée à la relation d’aide
  • j’ai connu le succès en 2013-2014 avec le développement de mon activité en ligne, notamment autour des programmes Vivre l’Abondance ainsi que mon programme d’accompagnement aux thérapeutes qui souhaitaient développer leur activité
  • depuis 2015, je vis à nouveau confortablement, mais sans plus… 

Et je m’accommodais de cette situation, sans trop voir ce qu’il y avait derrière. Je sentais bien pourtant que je n’exprimais pas toute ma puissance, que si j’avais une vision claire de la vie, quelque chose clochait quand même dans ma vie professionnelle : manque de fil directeur, manque de direction, envie de faire plein de choses mais dans des directions différentes, des appels du divin mais des difficultés à les mettre dans la matière de manière claire et intelligible.

Ce désaccord au sujet de l’argent m’a mis la puce à l’oreille : je me suis dit qu’il était temps d’aller voir plus profondément que ce que j’avais déjà fait cette question. De la traiter en profondeur, non pas au niveau de ce qu’il y à faire, ou à comprendre ou de la manière d’être à adopter pour vivre l’Abondance mais de la considérer du point de vue de la blessure originelle par rapport à l’argent.

Quelque chose était blessé en moi sinon je n’aurais pas réagi ainsi avec mon ami. Je n’aurais pas été touchée. 

Et j’ai décidé d’aller voir quoi.

C’est donc mes découvertes à ce sujet que je vais partager avec vous dans la suite de nos 100 jours.

A demain !

quoi faire pour la suite ?

 

En ce jour n°74 du défi « 100 jours pour ouvrir son coeur à la vie », il me reste environ un quart de ce projet à accomplir.

J’ai partagé avec vous mon évolution et ce qui se passe simplement lorsqu’on met sa conscience sur un point fort. 

• Il y a eu le démarrage, avec la guidance de Notre-Dame de la Divine-Présence

• Il y a eu un cap important, autour des 30 jours où j’ai failli tout laissé tombé

• Il y a eu l’épisode avec ma fille, difficile mais ô combien riche en prise de conscience

• Il y a eu les grandes décisions de la rentrée pour être plus douce avec moi et plus respectueuse de mes rythmes

• Il y a eu le bilan à mi-parcours

• Il y a eu la mise en place de l’atelier « les 7 habitudes pour se sentir divinement guidé.e » avec la création de la méditation de connexion au coeur du Champ

Et il y a quelques jours je vous ai partagé que sans m’y attendre, le fait de porter mon attention sur mon coeur m’avait permis de m’ouvrir au fait d’accueillir un homme dans ma vie.

Je ne savais donc pas trop à quoi j’allais me consacrer pour la suite de ces 100 jours.

Mais l’autre soir, suite à un différent avec un ami, j’ai trouvé ce que j’allais partager avec vous les prochains jours.

Je vous en dirai plus dès demain !

Bon week-end.

une grande annonce à vous faire

 

Lorsque je me suis lancé ce défi de 100 jours pour ouvrir davantage mon coeur, mon objectif était de sentir davantage l’amour imprégner mes pensées, mes émotions, mes paroles et mes actions. J’avais vraiment envie de devenir davantage ce canal d’amour divin que nous sommes en réalité.

Aujourd’hui, je sens bien que je chemine vers ce nouvel état d’être, tranquillement, tout simplement parce que je mets ma conscience dessus. En effet, lorsque l’on fait le focus sur cette intelligence aimante, sur cet amour intelligent qui est à la fois en nous et tout autour de nous, alors cette force se rapproche aussi de nous.

Mais je n’avais absolument pas conscience qu’il y aurait un « double effet Kiss cool »…

Et ce double effet Kiss cool, c’est que j’ai rencontré quelqu’un ou plus exactement re-rencontré quelqu’un… 

Il s’agit d’un ami que je fréquente depuis plus années maintenant, à qui j’avais toujours dit non pour des tas de bonnes mauvaises raisons. Et il y a quelques semaines maintenant, j’ai osé dire oui à un homme qui est très différent des hommes que je fréquente d’habitude (ou plutôt que je fréquentais, vu que je suis célibataire depuis la naissance de ma fille), mais avec qui je me sens extrêmement bien.

Et ce que je trouve génial, c’est je ne suis pas sur un petit nuage complètement déconnecté de la réalité comme quand on est « amoureux », il n’y a pas cet état second dans lequel on est peu débile, il y a juste la découverte, le plaisir, le bonheur, la simplicité, la complicité. L’amour en fait ;-)

Voilà ce que j’avais envie de partager avec vous aujourd’hui ;-)

On se retrouve demain !

Faire son coming out spirituel

 

A peine ai-je posté mon article d’hier que je me suis rendue compte que j’avais oublié de vous parler de quelque chose d’extrêmement important dans mon parcours.

La rencontre avec Marie bien sûr !

En 2015, à la faveur d’une méditation, j’ai reçu un message auquel je ne m’attendais pas : « canaliser Marie ». Comme je me demandais ce que ce message voulait dire (et que je n’avais pas vraiment envie d’y aller…), je l’ai ignoré. Oui oui, vous avez bien lu, j’ai fait comme si je n’avais pas entendu. Jusqu’à ce que la vie me rattrape, et ceci à deux reprises, et que j’accepte cette invitation divine, malgré les résistances de mon mental.

Il m’a fallu d’abord l’apprivoiser, comprendre l’archétype qu’elle représente vraiment, au-delà des représentations que l’on peut en avoir. Et voici ce que j’ai découvert.

Marie n’est pas qu’une mère, elle ne se réduit pas à l’archétype de la maternité qui lui colle à la peau. Elle est au contraire l’archétype de la femme, l’archétype de la femme créatrice dans toutes ses dimensions.

Porter et enfanter le fils de Dieu est en réalité une métaphore. C’est la métaphore de ce que nous avons de plus précieux en nous : nos rêves, nos projets, nos idées, nos talents, nos qualités… Nous avons le choix d’accepter ou pas ces cadeaux de la vie. Dans de nombreux tableaux de l’Annonciation, l’archange Gabriel se trouve pratiquement aux pieds de Marie, en tout cas il s’incline devant elle, humblement. Elle a le choix d’accepter ou de refuser cet enfant.

Marie a choisi d’accepter le cadeau et de le mettre au monde. Elle vous invite à faire de même avec ce qui constitue le plus intime de qui vous êtes, avec le fruit de vos entrailles : tous les projets, toutes idées que vous avez envie de réaliser. Marie n’a pas eu besoin d’homme pour concevoir cet enfant, cela signifie que la réalisation de vos rêves ne dépend que de vous. Que vient faire Joseph ici alors ? Il représente le fait que tout est prévu pour que votre projet soit accueilli dans le monde dans les meilleurs conditions possibles, que le contexte vous sera forcément favorable, même si vous ne voyez pas comment.

Du temps de Marie, avoir un mari était nécessaire pour que les apparences soient sauves, mais il ne joue aucun rôle dans la conception de l’enfant. D’ailleurs, si le contexte n’était pas favorable pour la bonne marche de votre projet, il n’aurait pas germé dans votre tête. Mais ce n’est que lorsque vous acceptez de mettre votre projet dans le monde que l’univers se réorganise et se réaligne pour lui permettre de naître dans les meilleures conditions : accepter votre créativité revêt une composante de foi en vous-même et en la vie.

Vous avez à l’intérieur de vous de nombreuses qualités, de nombreux talents, de nombreuses idées, qu’il vous appartient de refuser ou au contraire d’accueillir et d’offrir au monde. Et si vous décidez de dire oui, toutes les bonnes conditions seront réunies pour que ce projet qui émane du plus profond de vous voit le jour le plus merveilleusement possible.

C’est ainsi que je me suis rapprochée d’elle, que j’ai pu l’accueillir dans mon coeur et transmettre son message.

La canaliser jour après jour m’a changé de l’intérieur : Marie m’a redonné ma puissance. Non pas la puissance qui permet d’agir sur les choses, mais la puissance d’accepter ce qui est. La puissance que l’on ressent lorsque l’on accueille chaque épreuve de la vie non pas comme une épreuve justement, mais comme une occasion d’aller regarder ce qui est blessé en nous, avec les yeux de l’amour. Car ce n’est que lorsqu’on accepte nos blessures que l’on accède à la possibilité de les guérir. La douleur est là pour nous faire prendre conscience de la blessure et la transformer.

Chaque fois que vous vivez une expérience désagréable, pensez-y : ce n’est qu’une invitation à grandir en amour. En amour de vous, en amour des autres, en amour de Dieu, en amour de la vie.

Je vous souhaite sincèrement « d’accueillir Marie » en vous…

 

Pour vous y aider, je vous offre l’image ci-dessous, que vous pouvez télécharger et diffuser à votre guise.

 

Précisions sur l'Espérance

 

Hier je vous ai parlé de la notion d’espérance et elle a continué à faire son chemin en moi depuis… Et je comprends pourquoi c’est une notion si chère à mon coeur.

Elle me donne l’impression d’être soutenue, guidée, entourée, encouragée, protégée par quelque chose de plus grand que moi. Comme si une sorte de « force invisible amie » guidait mes pas mais aussi répondait à mes demandes. Les solutions qui se font jour de manière inattendue, les synchronicités, l’argent qui arrive au moment où j’en ai besoin, la sensation de bien-être que j’éprouve spontanément, le détail qui attire mon attention et me ravit le coeur, l’émerveillement que je ressens lorsque je suis dans le moment présent… Voilà les manières dont je vis cette force invisible amie, que j’appelle Dieu, à la fois par commodité et à la fois parce que ce nom donne un caractère encore plus sacré et magnifique à ce que je ressens dans ces moments-là, moments qui agissent comme une infusion, colorant de lumière et de douceur la toile de fond de ma vie et de qui je suis, jour après jour.

Vous écrire cela me fait penser à ce petit tableau que j’ai réalisé au printemps dernier et qui symbolisent cet état d’esprit. Je vous le partage avec plaisir.

 

 

Mais vous vous demandez peut-être comment j’en suis arrivée là, comment j’ai fait pour parvenir à ressentir cela, alors que j’étais il y a encore quelques années très angoissée, en colère contre la vie et triste de ce qui se passait dans le monde. Cela se traduisait par un fond dépressif, des périodes « up » dans lesquelles je faisais beaucoup et des périodes « down » où je pleurais beaucoup. Et beaucoup beaucoup d’insomnies, tournant et retournant dans ma tête la somme de mes insatisfactions.

Me remémorer ce tableau et vous le partager me renvoie quelques temps en arrière et me permet de mesurer le chemin parcouru, ainsi que les étapes.

Les tout premiers pas dans cette direction, ça a été avec le fait de passer commande à l’univers : ce furent mes premiers contacts avec la spiritualité. J’ai appris à demander et à recevoir sans que cela dépende uniquement de moi.

Puis ce processus s’est accentué lorsque j’ai appris à me connecter à l’intuition et à interroger les guides spirituels. Leur donnant la parole, ils ont ainsi peu à peu pris de la place dans ma vie : la guidance divine s’est installée, comme une véritable relation.

L’adoption du « principe de gratitude » a ensuite été une étape cruciale. Je l’ai d’abord pratiquée de manière intellectuelle en quelque sorte, en écrivant 5 phrases de gratitude tous les jours dans mon cahier. Et puis c’est devenu une habitude subconsciente que de me sentir reconnaissante pour tout ce que considérait comme agréable dans ma vie. 

Enfin, la découverte de la prière et son extra-ordinaire puissance lorsque l’on comprend ce que c’est que prier véritablement, m’a permis de développer une foi à toute épreuve (et c’est vraiment le cas de le dire !)

Je ressens beaucoup d’émotions en vous écrivant cela, parce que je ne l’avais pas vraiment conscientisé de cette manière-là, jusqu’à ce que le flux de l’écriture me conduise à l’écrire dans ce cadre de ces 100 jours…

Je vous dis à demain.