Vous voyez, je suis en forme ce matin, j’ai trouvé un titre méga-accrocheur !

Je voudrais donc vous parler aujourd’hui d’un sujet très grave. Celui de l’épilation chez les femmes.

;-)

 

Pourquoi est-ce un sujet si « grave » ? Parce qu’il est très symptomatique de notre manière de penser. Ou plutôt de notre incapacité à penser par nous-même et à faire les choix qui nous ressemblent, qui nous conviennent, dans lesquels on se sent bien, indépendamment du regard des autres.

Il y a quelques années, il fallait s’épiler sous les bras. Absolument. Les (rares) femmes qui sont venues sur un plateau télé avec des poils ont fait l’objet de railleries avec une rare violence (ben oui, c’est un vrai sujet, aussi important que la faim dans le monde et ça mérite vraiment qu’on s’y attarde, n’est-ce pas ?).

Puis quelques femmes ont osé dire que ça n’était pas normal, qu’on pouvait sortir avec ses poils sans se faire fustiger.

 

 

Maintenant c’est l’inverse. On est sensées arborer ses poils sinon on essuie la critique de celle qui ne s’assume pas.

Et c’est en train de devenir la même chose pour les cheveux blancs : quand on est dans le milieu du développement personnel et de la spiritualité, on est tellement épanouies avec nos cheveux blancs que si on les colore, ça craint vraiment pour nous : c’est qu’on a rien compris à ce qu’on enseigne…

D’ici quelques temps, ça va être le soutien-gorge. Le mouvement du no-bra gagne et c’est super pour celles qui découvrent que sans, c’est vachement plus confortable, pour celles qui osent dire et montrer que des seins, ce sont de la chair vivante et des tétons qui pointent. D’ici quelques temps, la bonne copine (qui a pris des cours de CNV) dira : « quoi ? tu portes encore ce reliquat du patriarcat dira la bonne copine (qui a pris des cours de CNV).

Cela peut sembler anecdotique mais ça ne l’est pas.

 

Sous couvert de se libérer, on passe d’un dogme à l’autre, d’un diktat à l’autre. Imposé par le regard de l’autre.

Sous prétexte de chercher plus de cohérence, on tombe dans une autre incohérence. Celle de ne pas accepter là où on en est dans sa vie, tout simplement. Celle de ne pas accepter nos incohérences.

La cohérence, ce n’est pas un « package » avec tout dedans bien comme il faut. C’est un chemin, un « aller vers », avec des essais-erreurs-tâtonnements, des avancées et des retours en arrière. Et surtout, si elle n’est pas accompagnée d’amour de soi, d’amour de là où on en est, d’amour de qui on est vraiment, d’amour de ses incohérences, ce n’est pas de la cohérence. C’est juste encore et toujours de la violence que l’on se fait.

 

L’amour de soi est la première des cohérences.

Oser expérimenter et choisir ce qui nous convient indépendamment du regard des autres : voici la cohérence qui est la mienne aujourd’hui.

Je vous souhaite une excellente journée, en amour de vous et de votre quête de cohérence.

Vous avez vu, on est déjà au mois de juillet.

Vous avez même peut-être déjà programmé vos vacances…

Mais les vacances, ça sert à quoi en fait ?

 

A se reposer, à faire le point, à faire le vide pour recevoir de nouvelles informations. En effet, on ne peut pas remplir un verre qui est déjà plein et souvent notre quotidien (trop) rempli nous empêche d’avoir accès à notre intuition.

Les vacances, c’est aussi un excellent moment pour se poser et du coup, se poser les bonnes questions ;-)

Voici la bonne question que je vous pose aujourd’hui (rassurez-vous, pas besoin d’attendre les vacances pour vous la poser).

Dans quel état attendez-vous vos vacances ? Est-ce une joyeuse impatience ou est-ce plutôt du style « vivement les vacances, j’en peux plus, faut vraiment que ça s’arrête et avant même que les vacances commencent j’appréhende déjà la rentrée » ?

 

 

Si c’est votre cas, voici un petit exercice à faire sur la plage pour prendre les bonnes décisions à la rentrée.

Prenez 4 feuilles de papier et notez sur chacune d’elle un des 4 domaines suivants :

1 – Moi
Santé • Sommeil • Alimentation • Poids • Silhouette • Look • Vêtements • Accessoires • Développement personnel • Vie spirituelle.

2 – Mes relations
Couple • Enfants • Famille (d’origine) • Amis et copains • Collègues • Réseaux.

3 – Mon temps
Mission • Travail > Argent • Projets et apprentissages • Loisirs et voyages.

4 – Mon espace
Habitation • Ameublement • Équipement ménager • Audiovisuel • Informatique et communication • Modes de déplacement. 

 

Pour chaque aspect de chaque domaine, qu’est-ce que vous aimeriez vivre ?

Pour chacun des aspects, posez-vous des questions comme :

Si je vivais ma Vraie Vie,
– je serais… 

– je ferais…
– j’aurais…
– je ferais l’expérience de…
– j’aurais les moyens de…
– je créerais…
– j’irais…
– je ne me laisserais plus…
– je consacrerais la plus grande partie de mes ressources à… 

– …

 

Faites les choses dans l’ordre : Domaine n°1 – Moi : détaillez chacun des aspects. Pus faites la même chose pour chaque aspect des 3 autres domaines, dans l’ordre : 2 – Mes relations, ensuite, 3 – Mon temps, et enfin, 4 – Mon espace.

Cela va vous prendre du temps, ne faites pas cet exercice en une seule fois : prenez un peu de temps chaque jour pendant plusieurs jours, le temps de bien clarifier ce que vous voulez vraiment. Ce que vous voulez vous, pas ce que vos parents voudraient pour vous, pas ce qui ferait « bien » devant les voisins ou vos collègues de travail. Juste vous. Identifiez les vrais désirs de votre coeur. Il n’y a que pour ceux-là que vous pourrez maintenir la motivation nécessaire à les réaliser. Il n’y a aussi que la manifestation de ceux-là qui vous rendra vraiment heureuse.

Une fois que c’est fait, placez vos 4 feuilles devant vous. Prenez un temps de centrage et fermez les yeux. Rouvrez les yeux et lisez vos 4 feuilles. Notez les désirs qu’il vous semble important de réaliser maintenant. Sentez ceux qui vous appellent, ceux qui cherchent à prendre vie à travers vous, ceux à propos desquels vous pouvez vous dire « il est temps que ce genre de choses m’arrive maintenant ».

Notez-les soigneusement et transformez-les en objectifs, avec des dates. 

Vous avez maintenant votre plan d’action pour les semaines et les mois à venir !

Si le développement personnel fait partie de votre vie, vous avez certainement entendu parler au moins une fois de la loi d’attraction, évidemment ! 

 

Mais connaissez-vous la loi de l’association ? J’en avais déjà entendu parler sous la forme suivante : vos revenus sont égaux à la moyenne des revenus de vos 5 meilleurs amis.

 

J’ai vu récemment une vidéo de Max Piccinini et voici comment il en parle, ce qui précise un peu les choses.

#1. Les 5 personnes avec qui vous passez le plus de temps vous influenceront dans tous les domaines de votre vie.

#2. Vous aurez la moyenne des revenus des 5 personnes avec qui vous passez le plus de temps.

#3. Votre motivation sera la même que la moyenne des 5 personnes avec qui vous passez le plus de temps.

#4. Votre capacité à atteindre vos objectifs et vos rêves sera sérieusement impactée.

#5. Vos croyances en vos capacités et votre style de vie ressembleront drôlement à ceux avec qui vous passez le plus de temps.

 

 

En effet, par le biais de nos neurones-miroirs, nous nous syntonisons sur les personnes avec qui nous sommes en relation. Vous l’avez tous déjà vécu : vous vous sentez bien et vous allez dans un endroit morose, fréquenté par des personnes tristes. Vous devenez triste et morose à votre tour. A l’inverse, le bonheur est contagieux ! N’avez-vous jamais vu ces vidéos où une seule personne arrive, par sa bonne humeur, à faire rire une rame entière de métro ? Non ? Regardez ici !

 

Max Piccinini rajoute donc : “que vous le vouliez ou non, les personnes avec qui vous passez le plus de temps vont impacter votre subconscient, vos pensées, vos croyances et vos actions”. En pensant à cette idée, ne croyez-vous pas qu’il serait temps de vérifier avec qui vous passez du temps aujourd’hui et avec quel type de personnes vous souhaitez passer du temps ? Avez-vous envie de ressembler aux gens que vous fréquentez ? Etes-vous en relation avec des gens qui vous inspirent ou au contraire des gens qui vous tirent vers le bas ? 

 

N’oubliez pas : votre réussite mais aussi et surtout votre bonheur en dépendent. Alors choisissez sagement et intelligemment.

J’ai reçu de nombreux messages de remerciement suite à la prière de l’Espérance que j’ai envoyé mercredi à mes abonnés et ça m’a donné une idée ;-)

Voici donc un petit cadeau de ma part pour la dernière publication du mois de mai, qui est “traditionnellement” le mois de Marie.

 

 

Vous pouvez bien sûr télécharger l’image, l’imprimer, la garder pour vous, l’offrir, etc.

Je vous souhaite une excellente journée.

Dans l’atelier que j’ai donné hier sur l’art et la manière de demander la guérison spirituelle pour les blessures émotionnelles, nous avons à un moment donné abordé la notion de réservoir émotionnel. Et ça m’a donné l’élan de vous écrire un article sur le sujet.

Pour bien comprendre, voici comment ça fonctionne, le réservoir émotionnel.

J’imagine que vous avez un compte en banque. Vous savez qu’il peut arriver qu’il soit en négatif, mais ça ne peut jamais durer bien longtemps. Si vous voulez vivre confortablement, votre compte bancaire doit être en positif. Idem pour votre voiture : si vous voulez rouler, votre réservoir d’essence doit être rempli et quand il n’y en n’a plus assez, vous tombez en panne. 

Pour être bien dans votre vie, pour être heureux, heureuse, c’est la même chose. Votre réservoir émotionnel doit être au-dessus du zéro. Il y a toujours des débits qui pompe votre réservoir émotionnel : quand vous faites des choses que vous n’aimez pas, quand on vous fait des remarques désagréables, quand vous donnez aux autres. Ce qui débite également votre réservoir émotionnel, ce sont les imprévus qui vous rendent la vie difficile : une dispute, une maladie, un deuil, une séparation, des difficultés d’argent ou des dettes, une réorganisation professionnelle qui n’a pas de sens pour vous…

La bonne nouvelle, c’est qu’il y a aussi des crédits : quand vous faites ce que vous aimez, quand on vous soutient, quand on vous offre des cadeaux ou de l’attention, quand vous faites des activités qui ont du sens pour vous, quand vous prenez du temps pour vous, quand vous vous donnez ce dont vous avez besoin.

S’il y a davantage de débits que de crédits, et que cela dure depuis trop longtemps, voici ce qui vous guette : dépression, burn-out, voire maladie…

 

 

Si cette notion vous parle, voici ce que vous pouvez faire. Regarder attentivement l’état actuel de votre réservoir émotionnel, exactement comme le faites avec votre compte bancaire. Prenez une feuille et séparez-là en deux. Notez ce qui est de l’ordre des débits dans une colonne et ce qui est de l’ordre des crédits de l’autre. Si vous sentez que votre réservoir émotionnel flirte dangereusement avec le voyant rouge indiquant qu’il est temps d’aller à la pompe, mettez un soin tout particulier à créditer votre compte émotionnel : 

  1. Supprimez des choses qui se trouvent dans la colonne « débits » : enlevez des relations toxiques de votre carnet d’adresses, cherchez une autre activité professionnelle si celle que vous avez actuellement ne répond pas à vos besoins (c’est 7 h par jour, donc ça fait de sacrés débits si ça ne vous convient pas…), révisez votre logistique si elle est trop énergétivore (faites-vous livrer vos courses au lieu d’y aller, laissez la poussière s’installer, demandez à quelqu’un de prendre vos enfants 2 heures, etc…).
  2. Ajoutez tout ce qui constitue des crédits pour vous : prendre soin de vous, faire des activités que vous aimez, chercher (et surtout trouver, puis mettre en oeuvre) votre mission de vie, entretenir les relations qui vous font du bien (peut-être en avoir moins, mais des relations vraies, authentiques), prendre du temps sans rien de prévu, vous reposer…

Je vous souhaite de merveilleuses prises de conscience !

Voici un article dont le sujet me trotte dans la tête depuis plusieurs jours, depuis que nous avons abordé la question avec une des personnes que je coache en ce moment. Mais ce n’est sans doute pas un hasard, et si le coeur vous en dit, ce dont je vais vous parler maintenant pourrait vous faire une chouette occupation pour votre soirée.

Il s’agit de nos « avant-après ».

 

 

De ces moments où nous avons pris notre courage à deux mains pour changer ce qui devait l’être dans notre vie.

De ces moments où nous avons vécu une expérience forte qui a marqué notre vie pour le meilleur.

Des ces moments (un peu plus longs) où nous nous sommes mis à vivre selon une nouvelle philosophie de vie, plus proche de qui nous sommes vraiment.

Souvent ces moments passent inaperçus.

Même si on a l’habitude de se célébrer lorsqu’on sent qu’on a franchi un cap important, ou bien lorsqu’on a atteinte un objectif cher à notre coeur.

Encore plus quand on n’a pas cette habitude.

De cette discussion avec A., j’ai eu envie de revenir sur ces moments qui ont marqué, changé, influencé ma vie, qu’ils aient un point de départ vers « mon vrai moi » ou bien l’aboutissement de changements intérieurs.

  • Quand j’ai décidé de quitter le salariat et de monter ma première boîte ;
  • Quand j’ai expérimenté la parfaite complicité sexuelle ;
  • Quand je me suis formée à l’approche de l’Alignement ;
  • Quand j’ai lu (et mis en pratique) La Science de l’Enrichissement ;
  • Quand je me suis lancée sur internet ;
  • Quand je me suis réconciliée avec Dieu ;
  • Quand j’ai séjourné pour la première fois de ma vie dans un hôtel 5 étoiles ;
  • Quand je me suis acheté une voiture que j’avais choisie (et arrêté de récupérer les poubelles des autres) ;
  • Quand j’ai mis toutes mes affaires dans un box pour expérimenter le nomadisme ;
  • Quand je me suis mise à pratiquer la prière ;
  • Quand j’ai dit « non » à mes parents ;
  • Quand j’ai commencé à m’aimer vraiment ;
  • Quand j’ai accepté de co-créer ma vie avec mes guides spirituels ;
  • Quand j’ai lu (et mis en pratique) Vivre dans la Grandeur.

Quand je relis tout ça, je me sens fière de moi. Bien sûr, comme tout le monde, je fais des erreurs, j’ai des choses à (me) pardonner, des chagrins à guérir, des deuils à faire, des peurs à surmonter, des défis à relever. Mais je sais que je suis à la hauteur des défis que la vie me lance. Et que peut importe les difficultés, chaque fois que je prends une décision qui va dans sens de me respecter davantage, je suis forcément gagnante.

Une fois cet article terminé, j’irai me faire un petite célébration de tous ces « avant-après », remercier la vie et me remercier moi. Et me donner un p’tit coup d’amour en bonus.

Que diriez-vous de dresser cette liste pour vous-même et en tirer les enseignements qu’une telle liste vous propose ?

Je vous souhaite une excellente soirée.

Je suis toujours en joie quand je partage cet outil qui fait partie des techniques qui ont révolutionné ma vie.

C’est très souvent que l’on me demande (y compris de la part de personnes qui sont des chefs d’entreprise aguerris, avec plusieurs business qui tournent avec plusieurs centaines de milliers d’euros par an) : mais comment tu fais pour faire tout ce que tu fais, avec autant d’énergie et d’enthousiasme en plus.

C’est très simple : j’ai une baguette magique !

Et je vous l’offre aujourd’hui.

>> Cliquez ici pour accéder à cet outil révolutionnaire

 

Et ce n’est pas tout, je vous montre également ce que ça donne avec un exemple concret :

>> Suivez ce lien pour télécharger la démo

100% de mes clients (pas juste ceux qui ont lu le document une fois, hein) qui ont décidé d’appliquer cet outil l’ont adopté !

Alors si vous voulez vous aussi en faire 3 fois plus en 2 fois moins de temps, activez vous aussi votre baguette magique.

On se retrouve demain pour un outil tout aussi magique.

Aujourd’hui j’ai le grand plaisir de vous offrir un outil un peu différent pour continuer à travailler sur vous autour du « message » que nous apporte le virus qui a tant d’impact sur nos vies en ce moment.

 

Rappel

• La fièvre vient questionner notre « je suis », mettre en lumière à la fois notre besoin de liberté individuelle et notre incapacité à vivre pleinement cette liberté : être authentique, exprimer ses besoins et ses ressentis, être conscient de son identité et la montrer.

• La toux est quant à elle un symptôme qui se situe au niveau des poumons, qui est le niveau du chakra du coeur, en lien avec notre capacité et notre besoin d’être en relation. Ce symptôme nous invite à questionner les échanges avec l’autre, le lien du donner-recevoir, la manière de communiquer, mais plus globalement la manière de considérer l’Autre et l’Altérité dans notre vie.

• Enfin, la maladie étant un virus, elle pose la question de l’immunité, là encore questionnant la nature de notre lien à l’autre et notre capacité à être en relation harmonieuse avec l’autre.

 

En complément des outils que je vous ai déjà communiqués ces derniers jours et/ou de vos outils habituels de développement personnel et spirituel, j’aimerais vous parler d’une pratique qui a mes faveurs depuis plus d’un an maintenant.

Je veux parler des onctions sacrées.

Qu’est-ce que c’est ?

 

Une onction est un rituel qui consiste à oindre une personne avec de l’huile sainte ou un baume.

Chez les chrétiens, c’est l’application d’huile sainte sur une personne pour la consacrer à Dieu (baptême, confirmation, ordination, avec le saint chrême) ou lui conférer la grâce de lutter contre le mal (huile des catéchumènes) ou contre la maladie (huile des malades, qu’on appelait autrefois extrême-onction). Sur les 7 sacrements de l’église catholique, 5 sont des onctions : ces onctions sont réalisées par les prêtres et/ou les évêques.

 

Avec le renouveau actuel de la spiritualité en dehors des dogmes et des religions, je suis persuadée que nous sommes appelés à vivre chacun à notre manière notre relation au divin, à incarner de manière personnelle l’église, au sens premier du terme ekklesia qui désigne une assemblée et qui vient du grec ek qui signifie « hors de » et klesis, qui veut dire « appel », c’est-à-dire : l’assemblée de ceux qui se sentent appelés par Dieu.

C’est ainsi qu’il est temps pour chacun de se réapproprier cette équation simple qu’est l’onction sacrée : huile végétale + huile essentielle + bénédiction.

 

Avec la prière, la méditation, la connexion aux guides spirituels, l’onction sacrée est une pratique qui peut prendre toute sa place dans votre quotidien : la fluidité de l’huile qui pénètre la peau en profondeur est la matière qui vous relie à la terre, l’appel à la grâce à travers la prière vous relie au ciel, tandis que l’essence de la plante recueillie lors de sa transformation en huile essentielle fait le lien entre le matériel et le spirituel, symbolise l’union du matériel et du spirituel en vous.

 

On peut donner l’onction, on peut recevoir une onction sacrée. Mais je suis également persuadée que ce renouveau de la spiritualité que nous connaissons actuellement est une invitation à nouer son propre lien à Dieu, au Champ, à la Source, à la Force, à la Syntropie (selon la dénomination qui vous convient le mieux, qui vous permet justement de « faire un » avec cette force d’amour qui nous pousse individuellement et collectivement vers la complète réalisation), sans l’aide de prêtres, d’intercesseurs chamanes ou autres personnes qui pourraient vous faire croire que vous ne pouvez contacter cette force seul.e, renforçant ainsi votre sentiment de séparation alors que tout l’objet d’une vie spirituelle riche est de vivre la séparation de la dualité dans la conscience de ce qui unit tout ce qui est.

 

L’auto-onction sacrée vous permet de cultiver votre lien au divin qui est en vous, qui est vous, que vous êtes en réalité. Une onction en auto-massage, seule ou en complément d’une onction reçue, est un acte d’amour envers votre être dans son entier, dans toutes ses dimensions : matériel/spirituel, corps/coeur/mental/esprit.

En un peu plus d’un an, j’ai canalisé plus d’une trentaine de protocoles d’auto-onctions sacrées, avec des synergies (mélanges d’huiles essentielles) mais aussi avec des huiles essentielles spirituelles. Ces informations sont disponibles aujourd’hui sous la forme de 3 guides, que vous pouvez télécharger en suivant les liens ci-dessous.

>> Volume 1, les synergies : cliquez ici pour le télécharger

>> Volume 2, les huiles essentielles sacrées : cliquez ici pour le télécharger

>> Volume 3, les huiles essentielles féminines : cliquez ici pour le télécharger

 

 

En ce qui concerne l’actualité dont je parlais plus haut, il y a quelques semaines (tiens tiens, comme « par hasard » – intuition, prémonition ?), j’ai aussi ressenti le besoin de tester 2 protocoles d’auto-onctions sacrées : l’un pour libérer le « je suis » (avec les huiles essentielles de Lavande et Petitgrain) et l’autre pour favoriser l’ouverture du coeur (avec les huiles essentielles Rose et Geranium), à appliquer respectivement sur les 3ème et 4ème chakra.

Je vous les offre aujourd’hui.

 

Duo Lavande-Petitgrain – Libération du « je suis »

Pour qui, pour quoi ?

Cette onction de libération émotionnelle est destinée à celles et ceux qui se sentent prisonniers de vieux schémas qui les pousse à reproduire sans cesse les mêmes erreurs. Elle a pour objectif d’aider ceux qui veulent se désidentifier de leur ego souffrant pour retrouver leur dimension divine et lumineuse, leur véritable « je suis ». Le duo Lavande-Petitgrain permet de sortir des limites même de la personnalité pour laisser s’exprimer vraiment l’être d’amour que vous êtes en réalité.

Point d’application

Sur le plexus solaire (3ème chakra), 1 goutte de chaque huile essentielle.

Prière de bénédiction

Dieu d’amour,

Toi qui sais qui je suis vraiment plus que je ne sais moi-même, aide-moi à accéder à ma véritable nature. Permets-moi d’être ta caisse de résonnance. Tu m’as créé.e à ton image, il est temps pour moi de me façonner à ton image, dans la pleine conscience de mon humanité.

Aide-moi à me connaître.

Aide-moi à dire « oui » quand je pense et ressens « oui », aide-moi à dire « non » quand je pense et ressens « non ».

Aide-moi à ouvrir mon coeur et mon esprit à qui je suis vraiment, c’est-à-dire un être de lumière et d’amour.

Aide-moi à lever le voile qui me fait croire séparé.e de ma vie, des autres, de toi.

Guide-moi efficacement afin que je puisse vivre avec la pleine conscience que je suis ton enfant, chaque jour, chaque heure, chaque minute que tu fais.

Il en est ainsi maintenant et à jamais, pour mon plus grand bien et pour le plus grand bien de tous.

 

Duo Rose-Geranium – Ouverture du coeur

Pour qui, pour quoi ?

Cette onction éminemment spirituelle est pour tous ceux qui veulent se connecter à leur coeur, pour tous ceux qui veulent choisir véritablement entre l’Amour et la peur, pour ceux qui veulent accomplir en conscience le plus important voyage de notre vie, celui qui consiste à passer de la tête au coeur.

Point d’application

Sur le coeur (4ème chakra), 1 goutte de chaque huile essentielle.

Prière de bénédiction

Merci d’ouvrir la porte de mon coeur pour laisser l’amour divin s’y déverser. Tu fais de mon coeur ta demeure, je le sais. Aide-moi à me le rappeler, chaque jour, chaque heure, chaque minute.

Merci aussi de m’aider à considérer le bien en toute chose afin que je puisse sortir de la peur et du jugement. Merci de m’aider à regarder ce qui me fait souffrir avec les yeux de l’amour afin que je puisse accéder à la véritable compréhension des choses.

Fais que je me souvienne que tu es tout autant présent dans les épreuves qui me sont proposées que dans les moments de joie. Aide-moi à accepter que ce que je vis comme des épreuves ne sont là que pour m’aider à ouvrir mon coeur encore davantage à l’amour de moi, à l’amour des autres et à ton amour.

Chaque fois que je me sentirai gagné.e par le mal-être ou submergé.e par mes émotions, fais que je me rappelle que je suis ton enfant et que rien ni personne ne saurait me blesser si je ne lui en donne pas l’autorisation.

Aide-moi à choisir la joie, en pleine conscience, chaque jour, chaque heure, chaque minute que tu fais.

Qu’il en soit ainsi, pour mon plus grand bien et pour le plus grand bien de tous.

Permets-moi de ressentir à quel point tu est présent dans ma vie. Permets-moi de voir à quel point tu me guides. Permets-moi de t’accueillir dans mon coeur, afin de vivre la joie de ta présence au quotidien.

Je suis ton enfant, merci de m’aider à me vivre ainsi.

Il en est ainsi maintenant et à jamais, pour mon plus grand bien et pour le plus grand bien de tous.

 

 

Si cette manière de travailler avec les huiles essentielles vous « parle », je suis à votre disposition pour vous aider à les accueillir dans votre vie, que ce soit en accompagnement de votre développement personnel, dans une optique de bien-être.

Vous pouvez prendre directement rendez-vous avec moi et je vous aiderai à savoir quelles sont les huiles les plus adaptées à votre situation du moment. Ces rendez-vous sont gratuits, il vous restera le cas échéant à commander les huiles essentielles dont vous avez besoin.

>> Suivez ce lien pour prendre rendez-vous avec moi

 

Voici avec cet article un nouvel outil pour commencer, ou bien aller plus loin si vous avez déjà commencé dans le travail de conscientisation et de guérison que nous propose d’accomplir le merveilleux virus qui nous conduit à rester chez nous et à regarder ce que nous ne voulons pas voir.

 

Hier, je vous ai proposé d’aller regarder du côté de ce que le symptôme « fièvre », aujourd’hui, nous allons nous intéresser au côté « toux » et « virus », c’est-à-dire tout ce qui concerne la relation à l’Autre et à l’altérité de manière générale.

 

Rappel

• La fièvre vient questionner notre « je suis », mettre en lumière à la fois notre besoin de liberté individuelle et notre incapacité à vivre pleinement cette liberté : être authentique, exprimer ses besoins et ses ressentis, être conscient de son identité et la montrer.

• La toux est quant à elle un symptôme qui se situe au niveau des poumons, qui est le niveau du chakra du coeur, en lien avec notre capacité et notre besoin d’être en relation. Ce symptôme nous invite à questionner les échanges avec l’autre, le lien du donner-recevoir, la manière de communiquer, mais plus globalement la manière de considérer l’Autre et l’Altérité dans notre vie.

• Enfin, la maladie étant un virus, elle pose la question de l’immunité, là encore questionnant la nature de notre lien à l’autre et notre capacité à être en relation harmonieuse avec l’autre.

Le fait que ces deux symptômes soient associés nous donne un message très clair : comment être soi-même dans la relation avec l’Autre, comment considérer l’autre comme un autre moi-même tout en restant moi, en le montrant et en exprimant mes besoins spécifiques.

 

 

Mais avant de vous donner quelques outils, je voudrais également vous rappeler que le fait qu’il s’agisse d’une maladie pour laquelle il n’y a pas de remède. Il nous est bien indiqué ici qu’il nous faut réinventer quelque chose. Que les paradigmes anciens ne fonctionnent plus, que nous devons prendre en considération que le filtre avec lequel nous observons la réalité n’est plus le bon, qu’il nous faut ôter les lunettes que nous avons devant les yeux car elles ne nous permettent plus de voir clairement. Comme le disait Einstein : « On ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensée que celui qui a généré le problème ».

 

Cela veut dire qu’il est vraiment important de faire le travail EN PROFONDEUR. De changer nos paradigmes.

 

Voici aujourd’hui 2 outils pour vous aider à faire ce travail (attention, je ne dis pas que ce sera suffisant, mais un bon point de départ) sur les relations.

>> Cliquez ici pour y accéder à l’outil n°1

>> Cliquez ici pour y accéder à l’outil n°2

 

A demain avec une autre approche pour vous aider d’une autre manière.

Suite à mon article d’hier, je vais vous donner des outils pour commencer, ou bien aller plus loin si vous avez déjà commencé dans le travail de conscientisation et de guérison que nous propose d’accomplir le merveilleux virus qui nous conduit à rester chez nous et à regarder ce que nous ne voulons pas voir.

 

Rappel

• La fièvre vient questionner notre « je suis », mettre en lumière à la fois notre besoin de liberté individuelle et notre incapacité à vivre pleinement cette liberté : être authentique, exprimer ses besoins et ses ressentis, être conscient de son identité et la montrer.

• La toux est quant à elle un symptôme qui se situe au niveau des poumons, qui est le niveau du chakra du coeur, en lien avec notre capacité et notre besoin d’être en relation. Ce symptôme nous invite à questionner les échanges avec l’autre, le lien du donner-recevoir, la manière de communiquer, mais plus globalement la manière de considérer l’Autre et l’Altérité dans notre vie.

• Enfin, la maladie étant un virus, elle pose la question de l’immunité, là encore questionnant la nature de notre lien à l’autre et notre capacité à être en relation harmonieuse avec l’autre.

Le fait que ces deux symptômes soient associés nous donne un message très clair : comment être soi-même dans la relation avec l’Autre, comment considérer l’autre comme un autre moi-même tout en restant moi, en le montrant et en exprimant mes besoins spécifiques.

 

 

Mais avant de vous donner quelques outils, je voudrais également vous rappeler que le fait qu’il s’agisse d’une maladie pour laquelle il n’y a pas de remède. Il nous est bien indiqué ici qu’il nous faut réinventer quelque chose. Que les paradigmes anciens ne fonctionnent plus, que nous devons prendre en considération que le filtre avec lequel nous observons la réalité n’est plus le bon, qu’il nous faut ôter les lunettes que nous avons devant les yeux car elles ne nous permettent plus de voir clairement. Comme le disait Eistein : « On ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensée que celui qui a généré le problème ».

 

Cela veut dire qu’il est vraiment important de faire le travail EN PROFONDEUR. De changer nos paradigmes.

Ce qui veut dire aussi de cesser de nous bercer d’illusion. L’ampleur du phénomène nous invite à prendre encore davantage nos responsabilités. D’arrêter de croire que le problème vient de l’autre. Et là je sais qu’en écrivant ça je ne vais pas encore me faire que des amis. Non vous ne faites pas partie du club des gentils qui n’ont rien à se reprocher parce que vous pratiquez le yoga, parce que vous méditez, parce que vous faites (ou essayez de faire) de la communication non-violente… Non, c’est faux !

 

 

Vous et moi avons de grosses casseroles que nous trimballons derrière nous. Nous nous sommes habitués à leur bruit et nous ne les entendons plus. Mais elles sont là. Prenons-en conscience. Et faisons le travail, humblement, jour après jour, jusqu’à ce que l’Amour le plus pur nous envahisse, jusqu’à ce que nous soyons en paix. Sincèrement. Définitivement. Jusqu’à ce que nous soyons la paix.

 

Et vous pouvez le faire. Cela j’en suis certaine. Gandhi a libéré l’Inde, vous pouvez vous libérer de tout ce qui vous entrave.

Il n’y a pas de rêve impossible, il n’y a que des rêveurs qui manquent d’audace. Soyez audacieux, soyez l’Audace.

Encore une fois, il suffit de 8000 personnes pour changer le monde. Vous avez peut-être déjà entendu parler de ce chiffre. Mais vous vous êtes peut-être aussi mépris sur le modus operandi de ces 8000 personnes. Il ne s’agit pas de 8000 personnes qui se contentent de méditer et de faire Ho’oponopono sans conscience quand ça les arrange de pointer du doigt les « dysfonctionnnements » des autres.

Il s’agit de 8000 personnes qui changent leur paradigme.

 

Faites-en partie !

Enfin, comme promis, voici une modeste contribution pour vous aider à faire ce travail (attention, je ne dis pas que ce sera suffisant), mais un bon point de départ, sur l’authenticité, pour guérir ce « je suis » en souffrance.

>> Cliquez ici pour y accéder

Je vous dis à demain pour un nouvel outil.