A ne surtout pas lire si vous n’êtes pas entrepreneure

Ceci est une lettre ouverte destinée :

  • aux femmes qui veulent faire rimer authenticité et réussite
  • aux mamans qui ne veulent plus choisir entre leur vie de famille et leur business
  • aux femmes pour qui spiritualité et argent ne sont pas des gros mots
  • aux super nanas qui veulent concilier éthique et K€
  • aux entrepreneuses qui veulent à la fois la liberté et la sécurité
  • à celles qui n’osent plus rêver d’être à la fois indépendantes et de générer un revenu régulier

Si vous vous reconnaissez dans l’une ou l’autre de ces phrases, vous pouvez continuer la lecture. Si non, je vous suggère d’attendre la newsletter de demain, plus philosophique.

 

 

Pourquoi cette lettre ouverte ? Parce que je recherche actuellement des femmes entrepreneuses et motivées pour rejoindre mon équipe.

Mais c’est quoi mon équipe, et c’est quoi ce business que je vous propose aujourd’hui ?

Laissez-moi vous raconter comment j’en suis arrivée là.

Le jour où j’ai décidé de suivre la voix de mes guides spirituels qui me guidait vers les onctions sacrées, même si ça me paraissait bizarre et très éloigné du modèle économique que je connaissais, j’ai joué le jeu. J’ai cherché des infos, pour m’informer, voire me former.

Oups !! Tout ce que j’ai trouvé ne me correspondait pas. Mais alors pas du tout. Je ne me voyais absolument pas faire mes mélanges moi-même, mettre en flacons et passer ma vie à la Poste pour les expédier. Ce qui m’anime, c’est de diffuser à grande échelle, de faire connaître, c’est pour cela d’ailleurs que j’adore mon activité en ligne, qui me permet de toucher plein de gens, tout en restant dans mon salon.

 

Bizarre, bizarre, le plan divin aurait-il un bug ? Ou n’avais-je pas les bons yeux pour voir ? A mon avis, plutôt la deuxième ! Alors j’ai demandé à être guidée, à recevoir les bonnes infos et à être capable de les reconnaître.

 

Quelques jours plus tard, j’ai reçu la confirmation que le plan divin n’avait pas de bug. Mon amie Aurélia me re-parle des huiles essentielles doTERRA alors que je n’avais pas prêté attention à ses messages auparavant.

J’ai testé. J’ai été bluffée.

J’ai été bluffée par la qualité des huiles essentielles. En débouchant le flacon de la synergie Console, je me suis dit « whahouh, comment ils ont fait les mecs pour mettre Jésus dans la bouteille ». Console est un mélange d’huiles essentielles qui nous aide à nous connecter à notre capacité d’amour inconditionnel. Que de vieilles blessures j’ai guérie avec ce mélange…

J’ai été bluffée par ce que j’ai trouvé en m’engageant dans cette nouvelle aventure entrepreneuriale pour laquelle j’étais plus que réticente (j’avais passé des années à critiquer le marketing de réseau). Voici les pépites que j’ai trouvées, ce que j’appelle « recevoir au-delà même des espérances » :

  • comment être indépendante tout en travaillant au sein d’une équipe où chacun apporte librement sa contribution
  • comment générer des revenus passifs chaque mois et savoir à l’avance combien je vais gagner le mois prochain (ce qui ne m’était jamais arrivé de toute ma vie d’entrepreneure)
  • comment me simplifier le business en faisant uniquement ce que j’aime (le marketing, la distribution, le paiement étant déjà assuré par ailleurs)

J’ai été bluffée par ce qui se passe quand on décide de dire « oui » à l’aventure que Dieu nous propose. Parfois, il s’agit de s’engager sur un chemin, là où il n’y a même pas de chemin. Cela peut paraître insécurisant de s’engager là où on ne voit pas la moindre petite trace de route, mais ce qui est merveilleux, c’est que lorsque vous faites ne serait-ce que le premier pas, vous vous placez en réalité sur des rails qui vous attendent depuis toujours : ces rails apparaissent au fur et à mesure de votre avancée, mais ils vous sont invisibles tant que vous ne vous engagez pas.

Alors si vous aussi, vous voulez recevoir « au-delà même de vos espérances », je vous invite à écouter ce que votre coeur vous dicte en ce jour.

Si vous avez déjà dû choisir, le coeur brisé, entre vous occuper de vos enfants et gagner votre vie et que ce dilemme n’est plus tenable pour vous ;

Si vous rêvez d’indépendance financière mais que vous ne savez pas par quel bout commencer ;

Si vous voulez vous mettre au service des autres tout en gagnant confortablement votre vie ;

Si vous avez envie de réussir tout en restant vous-même ;

Si vous souhaitez affirmer votre leadership et sortir de l’ombre ;

Sachez que je recherche 6 personnes pour rejoindre mon équipe de conseillères bien-être.

Pourquoi maintenant ? Parce qu’une formation à destination des femmes ambitieuses qui ont envie de réussir et sont décidées à se créer un complément de revenu dès la semaine prochaine commence ce lundi 23 novembre.

Mais attention ! Je ne prendrai pas tout le monde. J’ai besoin de femmes prêtes à réussir, à demander et à recevoir, à oser contacter la grandeur qui est en elle.

Si vous vous reconnaissez dans ce portait, je vous invite à prendre rendez-vous avec moi et je me ferai un plaisir de vous donner tous les renseignements dont vous avez besoin.

>> Cliquez ici pour réserver un moment avec moi

Je vous souhaite une excellente fin de journée et me réjouis de vous retrouver demain avec un super cadeau.

J'ai un message pour vous

Avez-vous pris le temps hier de vous poser pour répondre aux questions que je vous proposais ? Est-ce que ça change la donne par rapport à votre activité professionnelle actuelle ? Ou est-ce que vous êtes déjà à 150% aligné.e sur votre mission de vie ?

Avez-vous ressenti des « appels » de la vie pour quelque chose ? Pas forcément dans la journée d’hier, mais ces dernières semaines ou ces derniers mois… Et que ma piqûre de rappel est venue faire remonter à votre conscience.

Comme promis, aujourd’hui vous parler de 2 appels que j’ai reçus. Et ce qui s’est passé ensuite.

 

 

Le premier, je ne l’ai pas écouté.

C’était en juillet 2015.

Lors d’une méditation avec mon amie Aurélia Dabon, j’entends très clairement dans ma tête « canaliser Marie ». Hein ? Quoi ? C’est quoi ce b…l ? Qu’est-ce que ça vient faire là ? Comme je me demandais ce que ce message voulait dire, et que je n’avais pas vraiment envie d’y aller, je l’ai ignoré. Oui oui, vous avez bien lu, j’ai fait comme si je n’avais pas entendu.

Mais pourquoi est-ce qu’on fait ça ? Pourquoi est-ce qu’on n’écoute pas les petites voix qui sont pourtant très claires ?

Parce qu’on a peur, tout simplement.

Peur de sortir de notre chemin, peur de se tromper, peur du jugement, peur de quitter une activité qui fonctionne déjà.

C’était mon cas. Outre le fait que je ne me sente pas spécialement attirée par l’énergie de Marie (mon enfance catholique ne m’en avait pas vraiment fait une super pub), j’avais une activité centrée sur le développement personnel et ma vie spirituelle restait personnelle, je ne la montrais pas.

Du coup, je n’osais pas montrer cet aspect de moi. Je ne voulais pas couler mon business.

Donc j’ai poursuivi comme si de rien n’était. Mais c’est là que mon business a coulé. Jusqu’à ce que je décide d’écouter, de faire mon « coming-out spirituel » et de réaligner mon activité sur ce que j’ai appelé à l’époque « La Voix de Marie ». Et les clients ont été au rendez-vous. La vie cherchait à manifester quelque chose à travers moi, Dieu me montrait à la fois un besoin et me donnait les clés pour y répondre. En étant son canal, je récoltais au passage de quoi vivre.

L’enseignement de cet épisode est que ce que je redoutais en écoutant ce que le plan divin me dictait est exactement ce qui est arrivé parce que je ne l’écoutais pas !!!

Quelle leçon !!

C’est pour cela que 3 ans plus tard, lorsque j’ai entendu un appel similaire, j’ai écouté.

En décembre 2018, je me sentais très fatiguée et pour moi la fatigue est une signe fort. Non, la fatigue n’est pas une fatalité. Non la fatigue ne fait pas partie de la vie. Quand on est fatigué, c’est qu’on est désaligné. C’est un message qui nous dit que nous ne suivons pas le flux, que l’on lutte à un endroit ou un autre (sans forcément s’en rendre compte), et c’est ce qui nous fatigue.

J’ai donc décidé de prendre de vraies vacances de Noël « off », genre plaid-chocolat chaud-Netflix.

Et c’est en regardant la série The Crown que j’ai commencé à entendre les appels. Comme quoi Dieu utilise tous les canaux disponibles quand il a un message pour nous, y compris Netflix quand c’est le meilleur moyen. A chaque fois qu’il était question dans la série du couronnement d’Elisabeth II et de l’onction qui allait la consacrer en tant que reine, je ressentais des frissons. Et entre temps, une petite voix ne cessait de me murmurer « onctions sacrées ».

Cette fois-ci, j’ai écouté. J’ai dit : « ok, j’entends, même si je ne vois pas ce que ça a à voir avec mon activité de formations en ligne, donnez-moi donc plus d’infos, guidez-moi plus précisément.

Et c’est en restant à l’écoute que j’ai reçu les bonnes infos : mon amie Aurélia Dabon (toujours la même), m’a parlé des huiles essentielles doTERRA et je me suis lancée.

Là aussi, ça m’a demandé de ne pas écouter mes résistances (une qui était costaud, c’était « le marketing de réseau, j’adhère pas »), ça m’a demandé de suivre le flux même si je savais pas bien où ça allait me conduire.

C’est comme ça que j’ai canalisé des protocoles d’onctions sacrées, puis des protocoles d’auto-onctions sacrées (petit ajustement sur le plan divin là encore) et que le succès a été au rendez-vous. Encore une fois parce que je n’ai fait que suivre le chemin : la Vie (ou Dieu) me montrait un besoin, j’y ai répondu (avec mes compétences) et j’y ai trouvé une source de revenus.

Pourquoi est-ce que je vous parle de tout ça ?

Parce que peut-être que l’appel que j’ai entendu il y a près de 2 ans maintenant peut s’adresser à vous aussi aujourd’hui. Ou peut-être pas.

Je vous laisse écouter, sentir si les lignes suivantes vous parlent ou non.

Je cherche aujourd’hui 6 personnes pour rejoindre mon équipe : la première s’inscrit dans quelques minutes, elle a déjà entendu l’appel la semaine dernière, bien avant même que je n’aie l’idée de ce mail ;-).

Dans mon équipe, vous pourrez bénéficier gratuitement (offre valable jusqu’au 30 novembre) d’une formation de Conseiller.ère en Onctions Sacrées.

Si les onctions sacrées ne sont pas pour vous mais que vous souhaitez simplement créer une activité de distribution d’huiles essentielles et faire du bien autour de vous, c’est tout à fait possible aussi. Vous recevrez une formation et du soutien adéquats.

Mais ce n’est pas tout. Si vous êtes entrepreneur.e dans l’âme et que vous voulez démarrer rapidement une activité économique rentable, parce que vous n’êtes pas du genre à traîner, sachez que la semaine prochaine (du 23 au 27 novembre) j’organise une formation pour vous aider à créer votre propre équipe en 5 jours seulement et toucher vos premiers revenus au bout de cette première semaine d’activité.

Maintenant, quoi faire ?

Si vous ne ressentez rien à la lecture de ces lignes, ne bougez pas.

Si vous êtes interpellé.e par ce qui précède, n’hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi via mon calendrier en ligne : cela ne vous engage à rien bien sûr, on prendra juste un moment pour évaluer si cette activité est alignée sur votre mission de vie ou non.

>> Suivez ce lien pour réserver un moment avec moi

Je vous souhaite une excellente journée à l’écoute des appels de la Vie.

plan divin

Cette semaine, je voudrais vous proposer toute une série d’articles – un par jour – pour vous parler de ce que nous sommes invités à faire en ce moment.

 

Je ne vous parlerai pas philosophie mais de ce qu’il vous est possible pour vous d’accomplir au quotidien, de manière concrète – 8 heures par jour (sans vous isoler dans un ashram tibétain).

 

A un moment qui est un véritable tournant dans le devenir de l’humanité, nous devons plus que jamais devenir en conscience les êtres de lumière et d’amour que nous sommes en réalité. Nous ne devons plus laisser nos peurs, nos doutes, nos hontes, nos blessures gouverner nos vies. 

 

Chacun d’entre nous, j’en suis intimement convaincue, est invité à oeuvrer afin de mettre dans sa propre lumière dans le monde.

 

Au-delà de nos prières, méditations, d’augmenter notre taux vibratoire (ce qui a un effet sur notre immunité d’ailleurs), nous avons besoin d’oeuvrer au quotidien.

 

Vivre dans la spiritualité, c’est-à-dire vivre dans la conscience de ce champ d’énergie qui nous entoure et dont nous faisons nous-même partie, c’est aussi choisir de se mettre à son service. Il s’agit de capter quelle place nous occupons et quelle place nous sommes amenés à prendre dans le plan divin. C’est ce que l’on appelle la mission de vie. Prendre consciemment la direction de votre mission de vie et mobiliser chaque jour vos ressources (temps, argent, énergie, compétences) au service du plan divin ne peut vous apporter que des réjouissances sur tous les plans : matériel, émotionnel, intellectuel, spirituel. 

 

Mais attention, cette mission de vie n’a rien d’une soumission à quelque chose « d’extérieur ». 

 

Pour moi, la mission de vie vient au contraire de l’intérieur de nous, elle émane de qui nous sommes et c’est nous qui décidons de ce que nous voulons faire de notre vie. Il ne s’agit donc pas de « trouver sa mission de vie » mais de choisir de donner un sens à sa vie, une direction qui nous fait vibrer. Une fois que l’on a décidé de cette direction de vie, en fonction de qui nous sommes et de ce que nous avons envie d’apporter au monde, il s’agit peu à peu, jour après jour, de réaligner notre vie sur le sens de notre vie, d’éliminer de notre vie tout ce qui ne correspond pas à ce sens, pour notre plus grand bonheur. 

 

Je crois qu’il n’y a pas de sens pré-établi, ni de mission écrite quelque part pour vous car nous ne sommes pas des robots exécutants un plan divin : Dieu veut faire de vous les créateurs du but de votre vie. Si le sens de notre vie était déterminé, nous ne pourrions pas exercer notre libre-arbitre, nous ne pourrions pas mettre en oeuvre ce qui nous caractérise en temps qu’être humain, c’est-à-dire notre capacité à décider. En décidant du but de votre vie, vous décidez qui vous êtes et qui vous voulez devenir. 

 

A la question du but de la vie, il n’y a aucune réponse hormis celle que vous allez décider de donner. Il s’agit de décider et d’exprimer ce qu’est la vie pour vous. Ne cherchez de réponse nulle part ailleurs. Asseyez-vous et décider de la réponse pour vous-même. Ne vous posez pas la question du sens de la vie : décidez de la réponse. 

 

 

Décider de sa mission de vie, ce n’est rien d’autre qu’incarner le héros qui dort en nous, il n’y a pas à être différent ou à coller à une image extérieure ou à devenir quelqu’un d’autre. Il n’y a pas non plus besoin d’attendre d’être meilleur, plus ceci ou moins cela. Il vous appartient de faire briller votre lumière maintenant. Le monde a besoin de votre lumière maintenant. Pas demain. Maintenant. 

 

Si jusqu’à présent, votre vie manque de sens, ce n’est la faute de personne, c’est que vous avez simplement oublié d’en déterminer un, ça veut juste dire que vous n’avez pas décidé ce que vous vouliez vraiment vivre. Si votre vie manque de réalisations, c’est que vous ignorez ce que vous cherchez à réaliser. Si votre vie semble inutile, c’est que vous n’avez pas cherché à en faire un outil ayant son utilité. 

 

Comment faire concrètement ? 

>> Réaliser ce qui est important pour vous 

Votre mission de vie repose sur ce qui important pour vous : vos valeurs, ce que vous aimez faire, ce que vous faites bien, facilement, fluidement et avec bonheur. Quand vous faites ce pour quoi vous êtes vraiment fait, vous n’êtes pas fatigué, vous n’avez pas envie d’arrêter et même, ça vous donne de l’énergie.
Prenez le temps de l’introspection et listez :
quelles sont vos valeurs ?
qu’est-ce qui est important pour vous dans la vie ?
qu’est-ce que vous aimez faire ?
qu’est ce que vous faites facilement ?
qu’est-ce que vous faites avec tellement de bonheur que vous n’avez pas envie de vous arrêter, que vous n’êtes jamais fatigué quand vous le faites, et qu’au contraire faire ce type de choses vous donne de l’énergie 

>> Oser activer vos talents 

Nous n’osons pas toujours voir grand, être brillant, vivre à fond nos talents de peur de faire de l’ombre aux autres. Mais à vouloir être « modeste » (comme si c’était une valeur), on se sent obligé de diminuer ses talents et on finit par être incapable de les voir. À vouloir être modeste, on n’ose pas prendre sa vie en main. À vouloir être modeste, on se diminue et surtout, on ne contribue pas : on développe une culture modeste à l’échelle de sa famille, mais aussi de son bureau, de sa communauté et finalement de son pays. Je vous invite au contraire à prendre conscience de vos « pépites », de ces trésors qui dorment en vous, de vos talents personnels, de ce que vous faites mieux que les autres, de vos compétences particulières (savoir, savoir-faire, savoir-être). 

Là encore, prenez le temps de les lister. 

>> Observer ce que la vie cherche à manifester à travers vous 

Nous sommes trop occupés à essayer de gérer notre vie à coup de to do list, nous sommes accaparés par les multiples sollicitations de la société de loisirs dans laquelle nous vivons, et enfin nous passons le peu de temps libre qui nous reste en dehors de toutes les occupations que nous nous créons à le remplir à l’aide des réseaux sociaux et/ ou de la télévision. En résumé, nous sommes simplement trop occupés… 

Mais si vous vous posez et que vous réfléchissez au but de votre vie, toutes sortes d’idées émergeront dans votre tête. Elle surgiront si rapidement que vous vous demanderez ce qui vous arrive. En peu de temps, si vous continuez de suivre le processus, vous commencerez à faire le tri. Au fil de vos réflexions, vous aurez trouvé ce qui est, pour vous, le but de la vie, votre direction de vie, votre mission de vie. 

Ce jour-là, vous saurez que vous avez toujours su, en réalité. Le jour où vous vous poserez suffisamment pour écouter ce que la vie ou ce que Dieu cherche à manifester à travers vous, vous allez ressentir un appel. Une de vos activités favorites deviendra impérieuse, un rêve d’enfant soigneusement enfoui refera surface, vous regarderez une émission de télévision et vous vous direz « oui, c’est exactement ça que je veux faire », une discussion avec un ami vous fera prendre conscience d’un besoin non satisfait auquel vous savez parfaitement répondre…Il n’y a pas une seule manière de recevoir la réponse, cet appel peut se manifester de multiples façons : à vous d’être dans la vigilance nécessaire pour sentir que c’est cet appel qui se manifeste. 

 

Demain, je vous raconterai comment j’ai reçu ces appels plusieurs fois dans ma vie, comment j’y ai répondu (ou pas) et ce qui s’est passé ensuite.

 

Je vous souhaite une excellente journée.

Une révélation à vous faire

C’est avec beaucoup d’émotions que je vous écris aujourd’hui, après plus d’une semaine de silence.

Silence lié à un gros bouleversement intérieur suivi d’un grand chamboulement intérieur.

En effet, suite à l’annonce de M. Jean Castex rendant obligatoire par décret le port du masque à l’école pour les enfants de 6 ans, j’ai pris une décision radicale.

Celle de quitter la France.

Pourquoi une telle décision, si soudaine ?

En fait pas si soudaine.

Depuis juillet dernier, notre démocratie est mise à mal sans que personne ne s’en alarme. Depuis le 9 juillet 2020, lorsque la loi n°2020-856 organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire indique que « le Premier ministre peut, par décret pris sur le rapport du ministre chargé de la Santé, dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19 […] réglementer l’ouverture au public, y compris les conditions d’accès et de présence, d’une ou de plusieurs catégories d’établissements recevant du public », c’est un principe fondamental des démocraties représentatives qui est délibérément bafoué, je veux parler du principe de séparation des pouvoirs.

Peu à peu depuis juillet, les décisions s’enchainent les unes après les autres, actant chaque fois un peu plus de restriction, de semaine en semaine : masque dans les lieux clos, puis dans les entreprises, ensuite à la rentrée pour les collégiens et lycéens, avant de l’imposer aux plus jeunes : personnel masqué dans les crèches et enfin, masque à l’école pour les plus de 6 ans.

Plus grave encore à mes yeux. Pour faire accepter plus facilement ces restrictions successives, on utilise la technique manipulatoire du biais cognitif : chaque décision est distillée peu à peu dans l’esprit de nos concitoyens quelques jours avant l’annonce officielle, de telle sorte que l’exécutif n’a plus qu’à « entériner » en quelque sorte une réalité déjà ancrée dans le cerveau bien préparé de la population.

Le 29 octobre, M. Jean Castex a demandé au Parlement un vote de confiance, afin de disposer d’un soutien à sa décision de reconfinement. Ce soutien lui a été accordé par l’Assemblée nationale par 399 voix contre 27 (on se demande d’ailleurs au passage ce que les 150 députés non présents ou non représentés avaient de plus urgent à faire ce jour-là pour ne même pas se donner la peine d’être présent ou de se faire représenter). Le Sénat quant à lui s’est prononcé par 178 voix contre, 130 voix pour et 27 abstentions : par ce vote de défiance, le Premier ministre, a vu sa présentation des nouvelles mesures sanitaires rejetée par le Parlement.

Quelle suite a été donnée à ce vote de défiance ? Aucune ! Pas de contre-proposition, pas d’amendement, pas de deuxième lecture. Rien. Ce qui est impensable dans une régime véritablement démocratique.

Le pays des Droits de l’Homme se transforme chaque jour en peu plus en république bananière, dans l’indifférence générale.

 

 

Autre fondement de notre Constitution qui semble balayé d’un revers de la main : le droit au travail. Il a été affirmé pour la première fois en 1848 par la IIe République. Il est également une liberté fondamentale proclamée dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 (article 3) : « Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. » Ce droit au travail a été repris dans le préambule de la Constitution de 1946, qui affirme : “Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi”, et par la Constitution de 1958. La Charte sociale européenne a confirmé ces principes (version 3 mai 1996) : « Toute personne doit avoir la possibilité de gagner sa vie par un travail librement entrepris. »

Si je me suis sentie impactée à chaque nouvelle mesure, tant par la violence de ces décisions que par la manière de « faire passer la pilule » en jouant sur la peur et en usant de techniques manipulatrices, il y en a eu une qui m’a fait l’effet d’un électrochoc.

Celle de faire porter le masque pendant plus de 8 heures à des enfants de 6 ans.

Une nouvelle qui me touche de manière personnelle puisque ma fille va avoir 6 ans en décembre et qu’elle va dans une école démocratique 2 jours par semaine.

Une nouvelle qui me touche encore plus profondément, dans mes valeurs et tout ce en quoi je crois.

Un gouvernement qui s’attaque aux enfants est capable de tout.

A mon avis.

Alors c’est décidé, je n’attendrai pas la prochaine mesure.

Le samedi 31 octobre, j’ai commencé à faire mes cartons, à donner et vendre meubles et effets personnels de manière à ne garder que l’essentiel et déménager à moindre coût, à moindre effort.

Le vendredi 6 novembre, après avoir roulé toute la nuit, nous avons passé la frontière suisse avec ma fille au petit matin.

Pourquoi la Suisse ?

Mon premier critère était que je voulais rester en Europe.

Les deux destinations « sans port de masque » actuelles sont l’Estonie et la Suède. Dans les deux cas, il y a la barrière de la langue et le climat. Mais surtout, l’instruction en famille est interdite en Suède et même si l’école y est sans doute beaucoup moins maltraitante qu’en France, je n’adhère pas à l’idée que mes enfants ne puissent choisir de s’instruire liement. De plus, la Suède est (déjà) à l’heure de la monnaie numérique. En Estonie, l’instruction en famille est tolérée mais réservée à des cas exceptionnels.

C’est ainsi que la destination helvétique s’est imposée : français parlé dans une partie du pays, instruction en famille possible dans certains cantons et mesures anti-civid beaucoup plus mesurées qu’en France.

En Suisse, la réaction est beaucoup plus mesurée et surtout, semble proportionnée à la réalité. A de rares exceptions près, vous ne verrez pas de masques dans les rues.

Le ratio nombre de décès/nombre d’habitants est 6 fois plus élevé qu’en France. Les hôpitaux sont surchargés alors que la Suisse dispose d’un équipement hospitalier de pointe (en France, les hôpitaux sont surchargés tous les hivers).

Et pourtant, ici, pas de panique ni de décisions démesurées et aussi ridicules que le port du masque dans les rues des villages ou lors de promenades en forêt. Des restrictions qui tiennent compte de la réalité économique, comme de la réalité de la maladie. Des décisions prises sur la balance « risque/bénéfice », comme toute décision que tout un chacun prend dans son quotidien.

Je ne dis pas que tout est rose ici ni parfait.

Mes critères essentiels sont respectés, et c’est ce dont j’ai besoin pour vivre en me sentant bien.

J’ai besoin de me sentir libre et j’ai besoin que les choses aient un sens.

 

Et vous, quels sont les critères essentiels sur lesquels vous prenez vos décisions ? Et comment faites-vous pour les respecter ?

 

Une autre action concrète à votre portée

Les temps continuent d’être difficiles et mon petit doigt me dit que ce n’est pas fini. Nous traversons une crise spirituelle majeure et tant que nous n’aurons pas fait le nettoyage de ce qui n’est pas aligné sur le plan divin, elle va continuer.

Dans cet état d’esprit, je prends le temps chaque jour de sentir ce qu’il est juste pour moi de faire ou de ne pas faire, le temps aussi de savoir comment je peux mieux me mettre au service des autres, au service de Dieu.

Un de mes talents étant l’écriture, c’est la raison pour laquelle j’écris ces newsletters.

La semaine dernière, j’ai été inspirée de vous partager la lettre que j’ai adressée au député de la circonscription et aux sénateurs de mon département.

Aujourd’hui, je vous propose une lettre que vous pouvez reprendre à votre compte pour l’envoyer au maire de votre commune. Vous pouvez aussi la diffuser auprès de vos amis s’ils se sentent concernés et souhaitent également interpeller le maire de leur commune.

Attention, il y a un élément de personnalisation au début du 7ème paragraphe (en italique).

 

 

Monsieur le Maire,

Madame la Maire,

Liberté. Egalité. Fraternité. Ces trois mots inscrits sur la façade de la mairie de notre commune, ils sont là depuis si longtemps, nous y sommes si habitués que nous n’y prêtons même plus attention. Et pourtant, ces derniers jours, ils se rappellent presque douloureusement à notre bon souvenir tant la liberté, l’égalité ainsi que la fraternité sont devenues des concepts dénués de réalité dans notre pays.

Liberté. Des millions de Français sont aujourd’hui privé de leur liberté d’exercer le travail de leur choix. Pourtant, ce droit au travail a été affirmé pour la première fois en 1848 par la IIe République. Il est également une liberté fondamentale proclamée dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 (article 3) : « Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. » Ce droit au travail a été repris dans le préambule de la Constitution de 1946, qui affirme : “Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi”, et par la Constitution de 1958. La Charte sociale européenne a confirmé ces principes (version 3 mai 1996) : « Toute personne doit avoir la possibilité de gagner sa vie par un travail librement entrepris. »

Egalité. Artisans et commerçants, qui travaillent du matin au soir, sans compter leurs heures, pour offrir aux habitants de notre commune ce qu’il savent faire de mieux. Que ce soit, un bon pain, une viande savoureuse, de beaux bouquets, un moment pour soi (salons de coiffure, d’esthétique) un moment de convivialité (bars, restaurants)… Sans oublier ceux qui nous prodiguent leurs conseils (maison de la presse, libraires) ou tout simplement nous rendent des services qui facilitent notre quotidien (pressing par exemple). Ceux-là qui font notre joie au quotidien, ceux-là même qui donnent vie au centre de notre commune et qui une fois leur longue journée à offrir le meilleur d’eux-même terminée, doivent s’attaquer au travail administratif que nécessite leur activité, calculer leur charges et, dans la mesure du possible, les payer. Sans qu’il leur reste parfois grand chose une fois ces charges payées et les fournisseurs réglés. Ceux-là doivent fermer boutique.

De l’autre côté, les grandes surfaces, qui bien souvent enlaidissent le paysage de notre commune, où vous ne voyons même plus le sourire d’une caissière (derrière son masque), en attendant de ne plus voir de caissière du tout d’ailleurs, remplacées par des caisses automatiques. Ces même grandes surfaces, qui exercent la pression financière permise par leur puissance auprès des fournisseurs, pour obtenir toujours le coût le plus bas et la marge la plus élevée, celles-là peuvent rester ouvertes.

Fraternité. Quand un million de nos concitoyens a basculé dans la pauvreté ces derniers mois, soit plus que dans l’ensemble de ces 10 dernières années réunies) s’ajoutant encore aux 9 millions de pauvres que comptait déjà la France, on peut légitimement s’interroger sur le sens de ce mot.

C’est la raison pour laquelle je me tourne vers vous aujourd’hui.

En tant qu’habitant (ou commerçant) de la commune de xxx, je vous demande d’agir concrètement afin d’honorer ces 3 mots et leur permettre d’être à nouveau une réalité actuelle dans notre pays. Je vous invite, grâce aux prérogatives qui sont les vôtres, à leur redonner vie, afin que d’essentiels, ils ne deviennent accessoires, dérisoires, voire décoratifs, ou pire encore, relégués au statut de souvenirs d’un passé (pas si) lointain.

Vous avez la possibilité, comme une centaine de maires en France (chiffre estimé à l’heure où je vous écris, mais il semblerait que le nombre augmente de manière exponentielle), de prendre un arrêté municipal afin d’autoriser les commerces de notre commune à réouvrir. 100 maires, sur les 36000 communes que compte la France, cela ne fait peut-être pas grand chose. Mais ils font, c’est certain la joie, la fierté, l’estime de leurs administrés. Ces maires-là sont une ressource sur qui compter en cas de coup dur. C’est aussi ça la fraternité.

Peut-être aussi que vous vous dites que c’est inutile puisque ces arrêtés peuvent être suspendus par le préfet de notre département. Mais vous aurez au moins essayé, vous vous serez servi du pouvoir que vous avez entre les mains, ce pouvoir que les habitants de notre commune vous avons confié. Vous aurez choisi, de rendre hommage à cette devise affichée sur la façade de notre mairie.

Et puis, si avez envie d’aller jusque-là, et de défendre non seulement les commerçants de votre commune, mais aussi ces 3 mots, il vous appartiendra de faire comme Madame Véronique Besse, maire de la commune de Les Herbiers, en Vendée, qui a décidé d’aller jusqu’au tribunal administratif, plaider la validité de son arrêté.

A l’heure où la séparation des pouvoirs entre législatif et exécutif est devenue aussi virtuelle que la liberté, l’égalité et la fraternité, et où le quatrième pouvoir que ne sont plus non plus aujourd’hui les médias, nous avons grand besoin des contre-pouvoirs que peuvent être les élus locaux.

Je compte sur vous. Les habitants de notre commune comptent sur vous.

Merci.

Que se passe-t-il en ce moment ?

Ce que nous vivons actuellement, au niveau collectif, me fait penser à un phénomène qui touche certaines personnes dans leur vie, sur une période plus ou moins longue.

Ce phénomène, c’est la nuit noire de l’âme.

La nuit noire de l’âme, c’est quand tous nos repères s’écroulent les uns après les autres, quand les épreuves se succèdent sans répit car nous sommes invités à reconstruire les fondations de notre vie sur d’autres bases, comme s’il nous fallait en quelque sorte ré-initialiser notre philosophie de vie, notre système de croyances pour installer une nouvelle manière de voir la vie, un autre système de pensée.

 

 

J’avais rédigé un article sur ce sujet il y a quelque temps, vous pouvez le lire ici.

La différence ici, c’est que ce phénomène ne touche pas des personnes, mais semble affecter notre société toute entière, mais je pense que le processus est exactement le même.

Ce n’est donc qu’en adoptant chacun, individuellement, l’attitude qui convient pour transcender une période de nuit noire de l’âme que nous en sortirons, grandis et lumineux.

A ce sujet, je continue d’écrire pour vous proposer « kit de survie pour temps difficile », sous la forme d’un atelier et/ou une formation, je ne sais pas encore tout à fait la forme que cela prendra : je laisse cette idée infuser pour le moment.

Je vous souhaite une excellente journée.

Si vous vous demandez quoi faire concrètement

Je n’ai pas hésité tant que ça avant de vous poster ici cet article trèèèèèèès différente de ce que vous recevez d’habitude.

Je ne vous demande pas d’être d’accord avec moi. Je ne lance pas un débat.

Voici le mail que j’ai adressé à mon député et aux sénateur.trice.s de mon département hier soir. Libre à vous de vous en inspirer. Ou pas. Sentez ce qui est juste dans votre coeur.

 

 

Monsieur le Député,

Madame la Députée,

Monsieur le Sénateur,

Madame la Sénatrice,

En vous écrivant ce soir, un seul mot me vient en tête. Sidération.

Depuis des mois, à chaque nouvelle mesure allant à l’encontre du simple bon sens, à chaque nouvelle mesure grignotant un peu plus notre liberté d’action et de circulation, c’est ce que je ressens. De la sidération. Je dois me pincer pour me convaincre que je ne suis pas en train de faire un cauchemar mais que je vis en France, en 2020, dans une démocratie représentative occidentale.

Ce soir encore, c’est dans un état de sidération que j’écoute le discours de M. Emmanuel Macron annonçant un nouveau confinement, encore plus dur que celui sur lequel spéculaient les médias depuis quelques jours.

Le président affirme dans son allocution « l’économie doit continuer » et « le télétravail doit être privilégié ». Mais de quelle économie parle-t-on ? L’économie n’est pas le seul fait de salariés travaillant depuis un ordinateur, ni celui du secteur du BTP. Elle est également la réalité de millions d’indépendants, artisans, commerçants, qui participent chaque jour à la richesse de notre pays.

M. Macron parle de commerces non essentiels. Y a-t-il aujourd’hui des commerces non essentiels à l’économie ? Si les indépendants, commerçants et artisans qui font chaque mois la déclaration des charges qu’ils doivent à l’Etat et paient les sommes dont leur chiffres d’affaires est ainsi amputé, étaient non essentiels, ils ne se verraient pas ainsi taxés.

Au-delà de ces considérations, j’aimerais vous rappeler que le droit au travail participe de la dignité de l’être humain. Il a été affirmé pour la première fois en 1848 par la IIe République. Il est également une liberté fondamentale proclamée dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 (article 3) : « Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. » Ce droit au travail a été repris dans le préambule de la Constitution de 1946, qui affirme : “Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi”, et par la Constitution de 1958. La Charte sociale européenne a confirmé ces principes (version 3 mai 1996) : « Toute personne doit avoir la possibilité de gagner sa vie par un travail librement entrepris. »

De même, lorsqu’Emmanuel Macron affirme « ma responsabilité est de protéger tous les Français », il oublie qu’un million de nos concitoyens a basculé dans la pauvreté ces dernières semaines.

Alors oui le coronavirus est là. Comme tant d’autres maladies. Comme tant d’autres causes de décès : cardiopathies et AVC, maladies respiratoires, démences, cancers, diabète, accidents de la route, citées ici dans leur ordre décroissant, tels que l’annoncent les chiffres de l’Organisation mondiale de la Santé.

La maladie est là, la mort aussi. Elles font partie de la vie. Elle touchent la plupart du temps des personnes âgées, parfois des personnes plus jeunes et même des enfants et parfois des bébés. La maladie et la mort séparent ceux qui s’aiment, font souffrir ceux qui partent et ceux qui restent, causent des chagrins. Oui, bien sûr.

Mais nous ne pouvons pas arrêter de vivre pour ne pas mourir. Vivre ce n’est pas uniquement « rester en vie ». Nous ne pouvons pas réduire la vie à l’homéostasie du corps physique.

Les propositions de notre président seront débattues et votées demain au Parlement.

Je vous demande donc instamment d’être présent.e (ou de vous faire dûment représenter) demain 29 octobre 2020 à l’Assemblée Nationale/au Sénat afin de représenter les Français et Françaises qui vous ont élu afin de faire valoir leur voix.

Je vous demande de rappeler avec force à notre président, à la fois ce droit au travail mais aussi le principe de séparation des pouvoirs qui est un principe fondamental des démocraties représentatives, ce principe étant mis à mal depuis le 9 juillet 2020, lorsque la loi n°2020-856 du organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire indique que « le Premier ministre peut, par décret pris sur le rapport du ministre chargé de la Santé, dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19 […] réglementer l’ouverture au public, y compris les conditions d’accès et de présence, d’une ou de plusieurs catégories d’établissements recevant du public ».

Je vous demande de porter la voix des Français qui souhaitent prendre en conscience le risque d’être malade et de mourir, comme nous le prenons chaque jour en sortant de chez nous.

Comme l’indique l’article 3 de la Constitution, « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum ». Il est temps aujourd’hui que ce peuple soit entendu par la voix de ses députés et sénateurs et à défaut, consulté par la voie référendaire.

Cordialement.

Suivre ce que la vie nous amène

Comme je vous en parlais vendredi, et notamment depuis mon article de mercredi consacré à ce que nous pouvons changer dans nos vies et ce que que nous ne pouvons pas changer dans nos vies, j’ai eu l’idée de vous préparer un « kit de survie pour les temps difficiles ». Je devais vous en parler ce matin.

Mais comme vous le savez, une de mes manières de me vivre en tant qu’être spirituel, c’est de suivre le flux de la vie. De danser avec ce que la vie m’amène.

Et voici ce que la vie m’amène à propos de ce kit de survie.

1. Plus j’écris sur le sujet, plus je me dis que c’est au moins un atelier que je devrais donner sur le sujet, voire une formation. J’ai donc décidé de prendre le temps de faire quelque chose de vraiment complet, que je vous proposerai sans doute dans les premiers jours de novembre.

2. Comme vous le savez, en plus d’écrire ces articles qui font votre joie 3 fois par semaine (un peu d’auto-congratulation ne fait jamais de mal), et qui seront bientôt disponibles dans la toute nouvelle version du blog Spiritualité dans la Cité, j’ai créé toute une série de protocoles de guérison spirituelle, sous la forme d’auto-onctions sacrées.

Pour ces protocoles, j’utilise les huiles essentielles de la marque doTERRA, les huiles les plus pures et les plus efficaces que je connaisse. Du coup, je les distribue aussi. C’est avec ça que je gagne ma vie aujourd’hui et que je peux vous offrir toutes ces newsletters gratuites ;-)

 

 

Mais quel est le rapport avec « ce que la vie m’amène » ?

Ce que la vie nous amène aujourd’hui, c’est que doTERRA propose pendant 4 jours, jusque jeudi soir 23h59, une génialissime offre promotionnelle « un produit acheté, un produit offert ».

Et comme l’univers entier conspire à notre bonheur, comme le dit Paulo Coelho, il se trouve que 3 de ces offres pourraient tout à fait prendre leur place dans le kit de survie pour les jours difficiles, ce qui va vous permettre de patienter jusqu’à l’atelier ou la formation « complète », qui ne sera disponible que début novembre.

Voici ces offres :

• pour un flacon de la synergie Balance acheté, vous recevez un flacon d’Epinette noire GRATUIT

La synergie Balance est un formidable anti-stress lorsque l’on vit un trop plein d’émotions. Il favorise le sommeil de toutes les personnes qui ont du mal à dormir du fait de leurs pensées incessantes.

Puissant tonique, l’Epinette noire est très réputée en cas de grande fatigue (y compris émotionnelle) ou de coup de pompe. C’est une inconditionnelle des périodes hivernales. Utilisée par les Amérindiens à des fins médicales et spirituelles, elle invite à la relaxation et au calme

• pour un flacon de Néroli acheté, vous recevez un flacon d’Ylang Ylang GRATUIT

L’huile essentielle de Néroli provient des fleurs de l’oranger amer. Son arôme est connu pour favoriser la relaxation et favoriser un sentiment général de bien-être. Pour les femmes qui apprécient son parfum, c’est très beau cadeau de Noël en perspective.

Réputée comme aphrodisiaque, l’Ylang ylang est aussi fréquemment utilisé dans les produits de luxe pour les cheveux et la peau, en raison de son parfum doux et sucré. Elle est également connue pour favoriser le calme et améliorer l’humeur.

• pour un roll-on d’Encens acheté, vous recevez un roll-on de la synergie Motivate + un roll-on de Lavande GRATUITS

L’huile essentielle d’Encens a des bienfaits extraordinaires pour le bien-être général. Dans les périodes particulièrement difficiles de la vie, son parfum enveloppant apporte sérénité et réconfort. Au niveau spirituel, Encens libère de l’agitation et du bavardage mental, favorise les états méditatifs et l’élévation spirituelle, favorisant le lâcher-prise mental et émotionnel.

La synergie Motivate vous aide à libérer vos forces créatrices et à retrouver le courage de croire à nouveau en vous-même. Elle vous permet de retrouver l’énergie et l’inspiration qui vous manquait pour atteindre vos objectifs.

La Lavande est chérie pour son incomparable odeur ainsi que pour ses propriétés thérapeutiques depuis des millénaires. La Lavande est très connue pour ses propriétés apaisantes et relaxantes et sa capacité à apaiser les irritations occasionnelles de la peau. C’est une des 10 huiles essentielles à avoir toujours à portée de mains. Elle apaise les tensions mentales et favorise un sommeil paisible. Lavande travaille l’équilibre de l’âme, elle réduit les influences du mental au profit d’un état émotionnel apaisé.

C’est topissime, n’est-ce pas ?

Si vous sentez que ces huiles essentielles, ainsi que les protocoles d’onction sacrée que je vais vous envoyer pour les utiliser pleinement, pourraient vous faire du bien actuellement, je vous invite à les réserver grâce au formulaire en ligne ci-dessous.

>> Suivez ce lien pour commander vos huiles et recevoir mes cadeaux personnels

Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, je vous enverrai avec votre commande mon guide « Méditer avec bonheur », ainsi que 2 médiations exclusives à utiliser avec l’Epinette noire et Néroli.

Bonne journée !

Comment rendre l’impossible possible

 

Je vous parlais lundi de la technique de la bénédiction, une approche spirituelle de la réalité qui consiste à reconnaître sans jugement ce qui se passe.

En effet, reconnaître ce qui est offre bien souvent l’ouverture nécessaire à l’amorce d’un processus de guérison. Soit la guérison qui conduit à solutionner le problème que l’on a accepté par la bénédiction : on agit à la fois concrètement et sereinement en affirmant un choix depuis qui l’on est vraiment. Soit la guérison qui conduit à accepter ce que l’on ne peut changer, selon la phrase de Marc-Aurèle : « que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre ».

C’est sur cette phrase que je voudrais revenir aujourd’hui.

Comment reconnaître ce qui ne peut être changé et ce qui ne peut pas l’être ? Autrement dit, où commence la résignation là où elle n’a pas lieu d’être ?

En effet, depuis maintenant plus de 10 ans que j’accompagne de nombreuses personnes, d’abord dans mon cabinet de praticienne en relation d’aide, puis en soutien aux clients de mes programmes en ligne, quelque chose ne cesse de me frapper.

La fréquence de la petite phrase « je n’ai pas le choix ».

Il y a aussi sa cousine : « mais tu comprends pas, c’est pas possible ».

Et forcément, si on part de là, rien ne devient possible. On a perdu d’avance, on a démissionné. On pseudo-vérifie le non-choix puisqu’on ne considère même plus la décision que l’on vient de prendre comme un choix. Or un non-choix est un choix. Dire « je n’ai pas le choix », c’est choisir une option.

Une option qui a des conséquences bien plus graves que vous ne l’imaginez. En effet, lorsque vous décidez que vous n’avez pas le choix, vous ne vous considérez plus comme un être humain. Vous vous contentez de réagir au stimulus qui vous est fait, comme un animal, ou un végétal.

Je pense ici en particulier à de nombreux parents qui ont fait le choix, depuis cette rentrée, depuis le port du masque obligatoire pour les collégiens et les lycéens, de proposer à leurs enfants de suivre leurs études à la maison.

Mais je pense surtout à tous ceux, lorsque cette possibilité leur est évoquée, répondent du tac au tac : « mais j’ai pas le choix, faut que j’aille travailler ».

Comme le chantait France Gall : « autant de liberté, pour si peu de bonheur, est-ce que ça vaut la peine ? ».

Non seulement est-ce que ça vaut la peine, mais est-ce que ça n’est pas une insulte à cette partie de l’humanité qui, elle, n’a vraiment qu’un minuscule espace de choix ?

Je pense aux intouchables en Inde… Spirituellement programmés pour ne pas sortir de leur condition. Mortellement en danger s’ils osent le faire.

Je pense à toutes celles qui doivent faire une demi-heure de marche pour aller chercher l’eau nécessaire aux simples besoins vitaux de leur famille.

Et la liste serait longue de tous ceux qui peuvent difficilement accéder à leur espace de liberté, en tout cas bien plus difficilement que nous. Nous qui vivons dans le luxe et le confort sans nous en rendre compte. Nous dont les lois protègent l’intégrité physique. En effet, personne ne va venir chercher votre petite fille pour l’exciser si vous n’êtes pas d’accord. Nous qui pouvons créer librement une entreprise. Sans capital comme c’était le cas il y a encore quelques années. Parlez-en à un cubain ou à quelqu’un qui a vécu il y a 30 ans en URSS.

Nous ne sommes pas des intouchables et pourtant nous nous comportons comme tels. Nous nous comportons comme si nous avons de vraies chaînes aux pieds, alors qu’elles ne sont que dans nos têtes.

Aujourd’hui, avec les décrets qui restreignent chaque jour un peu plus nos actes, nous sommes amenés à prendre conscience de cette liberté dont nous ne faisons pas usage. Comme dans la parabole des talents, si nous ne prenons pas conscience de cette liberté incroyable dont nous jouissons, si nous continuons de nous comporter comme si nous n’étions pas libres, alors un jour prochain, elle nous sera enlevée.

Alors comment détricoter tout ça ?

Dès lors que vous vous dites quelque chose comme « je n’ai pas le choix », prenez-en conscience. Prenez conscience qu’en disant cela, vous faites déjà un choix. Celui de ne plus vous comporter en être humain, celui de troquer votre qualité de sujet pour devenir objet.

Si vous décidez de reprendre votre statut de sujet, dites-vous simplement :

« OK, je ne vois pas d’autre choix. Je n’ai pas conscience des autres choix qui existent. En tout cas, pour le moment, je ne vois pas quels sont les autres choix. » Cela ouvre déjà la portes à ce que d’autres possibles se manifestent.

Si vous souhaitez aller plus loin, demandez-vous ensuite : « comment pourrais-je voir d’autres choix, comment pourrais-je accéder à d’autres possibilités, à d’autres solutions ? »

Et hop, l’air de rien vous mettez votre focus sur la formule magique : « une autre solution ».

Ensuite, laissez-les venir à vous, ces « autres solutions », ces autres choix. Tranquillement. Sans vous presser. Ils ne viendront peut-être pas aujourd’hui. Mais si vous leur laisser de la place disponible dans votre tête, dans votre vie, ils arriveront. Peut-être même plus vite que vous ne l’imaginez.

Souvenez-vous : tout commence par une décision. Tout commence par décider en conscience de l’option que vous choisirez.

Utilisez votre liberté. Redevenez le sujet de votre vie.

Parce qu’après tout, c’est votre vie. Et vous n’en n’avez qu’une.

Une demande particulière

Je vous écris pour vous faire une demande particulière.

Demande particulière que je n’aurais pas osé faire. Mais Olivier Clerc, le créateur des Cercles de Pardon l’a fait alors je me suis dit « pourquoi pas ? ».

Vous l’avez peut-être entendu dans l’actualité, Emmanuel Macron souhaite rendre l’école obligatoire pour tous les enfants à partir de 3 ans et ce, dès la rentrée 2021. Le texte de loi sera présenté le 9 décembre 2020.

Si en France l’instruction est obligatoire depuis la loi Jules Ferry du 28 mars 1882, l’école ne l’est pas. C’est l’instruction qui est obligatoire. La liberté pour les parents d’instruire leurs enfants est un droit dans la plupart pays européens, à l’exception de l’Allemagne, de l’Espagne et de la Suède. C’est une pratique qui est encadrée : les parents sont régulièrement contrôlés par les servies sociaux (qui s’assurent du bien-être matériel de l’enfant) et par l’inspection académique (qui évalue la progression des connaissances et des compétences de l’enfant). Lorsqu’il est constaté un problème, les parents peuvent recevoir une injonction de scolariser.

Les enfants instruits en famille représentent moins de 1% des enfants scolarisés en France. Mais cette pratique est en constante augmentation : 50 000 enfants sont concernés en 2020, contre 41 000 en 2019 et 35 000 en 2018. Depuis le début de l’année scolaire, ce chiffre a beaucoup augmenté, notamment en raison du port du masque rendu obligatoire au collège et au lycée.

Petite précision, mais qui a son importance au vu du contexte actuel. Cette liberté d’instruire est aujourd’hui constitutionnelle. Le Conseil constitutionnel a considéré dans sa décision du 23 novembre 1977 « que le principe de liberté de l’enseignement, qui a notamment été rappelé à l’article 91 de la loi de finances du 31 mars 1931, constitue l’un des principes fondamentaux reconnus par les lois de la République, réaffirmés par le préambule de la Constitution de 1946 et auxquels la Constitution de 1958 a conféré valeur constitutionnelle ».

Pourquoi est-ce que je me sens concernée ?

Parce que dans cette proposition du chef de l’Etat, il y a pas que l’idée de rendre l’école obligatoire. Il y a l’idée de rendre obligatoire l’école de l’Education nationale. Il dit que les écoles hors contrat seront (encore) plus sévèrement contrôlées par l’Etat. Voire fermées. Et les nouveaux projets quasiment impossibles à mettre en place.

Mon fils aîné a été scolarisé jusqu’au collège en école Montessori, dans une école hors contrat à Paris puis dans une école sous contrat à Rennes. Ma fille n’a pas été scolarisée jusqu’à ses 5 ans, âge où elle a commencé à demander à voir des copains. Avant cela, elle avait peur des autres enfants et n’était pas à l’aise avec d’autres adultes que moi. Je lui ai proposé alors d’aller dans une école démocratique (hors contrat, où les apprentissages se font de manière libre, 2 jours par semaine. Elle adore ce lieu où elle et s’épanouit et le reste du temps, elle reste avec moi à la maison et découvre à son rythme l’écrit, les chiffres, les interactions sociales…

C’est la raison pour laquelle je vous propose, comme Olivier Clerc (qui a instruit ses 4 enfants en famille) l’a fait, si vous en avez envie bien sûr, de signet cette pétition pour le maintien du droit d’instruire en famille. Qui est un de nos droits constitutionnels, je le rappelle.

 

 

Je précise que je ne lance pas ici un débat et que je ne répondrai pas personnellement aux objections qui sont (toutes) faites et qui sont toujours les mêmes.

Si vous sentez que c’est juste de signer cette pétition, faites-le.

Si vous sentez que c’est important, diffusez cette pétition le plus largement possible autour de vous : à vos amis, sur les réseaux sociaux, etc.

Si ça ne résonne pas en vous, ne le faites pas.

Si vous êtes entre les deux, renseignez-vous par vous même et faites vous votre opinion en dehors des objections « traditionnelles ». Il y a plein de blogs, pages FB, livres, articles sur le sujet. Et décidez en votre âme et conscience de signer ou pas.

Je vous remercie de m’avoir lue.

>> Voici le lien de la pétition