Aujourd’hui, les Chrétiens fêtent l’Ascension : l’élévation du Christ au ciel, qui symbolise la vie éternelle. Selon la Bible, Jésus mort et ressuscité s’est élevé, quarante jours après Pâques, et a disparu sous les yeux des Apôtres.

 

Je ne suis pas chrétienne au sens strict du terme, dans le sens que je n’appartient à aucune religion en particulier.

 

D’ailleurs je n’ai pas toujours été en paix avec Dieu…

 

Tout d’abord, parce que pendant longtemps, Dieu me rappelait de trop mauvais souvenirs. Ayant eu une enfance baignée de morale catholique avec catéchisme, première communion, confirmation, communion solennelle, etc, cela me faisait penser à tous ces moments où toutes ces personnes qui étaient sensées m’apporter des réponses à mes questions existentielles brillaient par leur non-réponse ou bien par des réponses complètement à côté de la plaque pour la petite fille que j’étais alors.

 

Puis j’ai grandi et quand j’ai commencé à m’intéresser à la spiritualité dans une dimension beaucoup plus large que les enseignements de mon enfance, j’aimais parler de l’univers, comme dans l’expression « commandes à l’univers ».

 

Peu à peu, ma vision de cette « autre dimension » que celle immédiatement accessible par les 5 sens s’est affinée et s’est affirmée : plus je ressentais la Force, la Présence, l’Amour, la Lumière dans mon quotidien, plus l’adjectif divin résonnait en moi.

 

Un jour, j’ai eu besoin non plus d’un adjectif, mais d’un nom. Un nom sacré. En résumé, je m’étais réconciliée avec Dieu.

 

C’est alors tout naturellement que je me suis intéressée aux différents archétypes porteurs d’une facette, d’une couleur, d’une manière d’incarner et/ou de véhiculer Dieu : le Christ, Marie, Saint-Michel, la petite Thérèse…

 

 

Nous relier à ces personnages nous aident à faire l’expérience de Dieu dans notre vie de tous les jours et c’est en cela qu’elles sont précieuses.

 

Comme je vous le disais plus haut, c’est l’Ascension. En ce jour où il s’élève dans le Ciel, son dernier message aux apôtres, il promet de leur envoyer une force, celle de l’Esprit-Saint. Le livre des Actes des Apôtres rapporte que, quarante jours après Pâques, Jésus apparaît une dernière fois à ses disciples et leur annonce : « Vous allez recevoir une force, celle de l’Esprit Saint qui viendra sur vous. Alors vous serez mes témoins (…) jusqu’aux extrémités de la terre ». Après ces paroles, ils le virent s’élever et disparaître à leurs yeux dans une nuée. L’évangile de Luc précise quant à lui que les apôtres « retournèrent à Jérusalem, remplis de joie ».

 

Cette force leur parviendra lors de la Pentecôte, que nous fêterons dans 10 jours.

 

La Pentecôte nous invite à recevoir l’énergie divine qui nous conduit là où nous devons aller, à l’instar des apôtres qui ont reçu l’Esprit-Saint ainsi que les directions où répandre la parole de Jésus, 50 jours après sa mort.

 

C’est pour cela que j’ai imaginé pour vous une soirée, un événement qui vous permettra de vivre cette expérience de ressentir davantage la Force, la Présence, l’Amour, la Lumière…

 

Je vous propose un parcours initiatique en 5 étapes pour Vivre dans le Coeur de Marie.

>> Suivez ce lien pour retrouver tous les détails de cet atelier-événement

 

Marie a joué un grand rôle dans ce temps entre la montée du Christ au Ciel et la descente de l’Esprit sur les apôtres : renforçant leur foi, les soutenant dans la confiance de la promesse qui leur avait été faite. La tradition iconographique la place très souvent au milieu des apôtres lorsque, selon les textes « des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d’eux. Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer”.

 

En ce temps si spécial, Marie nous protège et nous conforte dans notre foi, tout comme elle a été présente pour les disciples de son fils, il y a plus de 2000 ans. Elle nous dit que nous n’avons pas à avoir peur mais à nous laisser simplement guider vers notre destinée.

 

A travers cette soirée-événement, je vous propose de recevoir les messages que vous avez besoin d’entendre pour vivre votre légende personnelle. C’est aussi une invitation à renforcer votre foi en ces temps troublés, où le monde a plus que jamais besoin que nous nous autorisions, individuellement et collectivement, à laisser briller notre lumière, à rester en contact avec l’énergie du coeur, l’énergie de l’amour.

 

Je vous laisse maintenant ressentir si cette soirée du dimanche 23 mai résonne en vous et si vous ressentez l’élan d’y participer :

>> Suivez ce lien pour retrouver tous les détails de cet atelier-événement

Ah ah ah ! J’ai bien ri à la fin de la semaine dernière, quand j’ai reçu des tonnes de réponses aux 2 textes que j’ai simplement partagés (au lieu d’écrire moi-même). 

 

Je vais peut-être changer de métier alors, arrêter d’écrire et simplement relayer ce que je trouve ici et là sur le net.

 

Qu’en pensez-vous ?

 

Ceci peut sembler une blague mais en fait ça ne l’est pas.

 

Bien sûr que non je ne vais pas changer ce que je fais.

 

Parce que quand j’écris, ce n’est pas pour vous. 

 

En réalité c’est pour moi. 

 

Parce que j’adore ça ! J’aime les mots, les agencer, les faire chanter ensemble, leur donner encore plus de sens ensemble qu’ils n’en n’ont séparément. 

 

Et puis ça m’aide. Mettre des mots sur ce que je ressens, exprimer ma pensée au plus juste, prendre du temps pour le faire bien (vu que ce n’est pas juste pour moi), tout ceci me permet de m’éclaircir les idées, de vivre encore plus profondément ce que je ressens intuitivement, de savourer ce mystère insondable qu’est la vie. C’est une activité qui me nourrit profondément.

 

Je pense que derrière ces 2 beaux textes, il y a cette même idée derrière : fais ce que tu aimes, ce qui te fait vibrer, et si ça plait tant mieux, si ça ne plait pas tant pis ! Ceux qui n’aiment pas ce que j’écris ou qui ont le poil qui se hérissent quand des fois j’écris pour vendre un truc, ben ils se désabonnent. Et je m’en tape ;-)

 

 

Ce que ces deux textes ont également un autre point commun, qui rejoint d’ailleurs ce que je viens de dire. 

 

Ils expriment une philosophie de vie.

 

Une philosophie de vie, c’est une manière de penser la vie, c’est savoir en quoi on croit et en quoi on ne croit pas. Mais c’est aussi un fil conducteur qui permet de faire le tri, de savoir si ce qu’on est en train de faire ou de vivre nous fait vraiment du bien ou pas.

 

Voici en résumé autour de quoi tourne la mienne :

  • être soi
  • aimer Dieu
  • offrir ses talents au monde

 

Je vous le dis souvent : vous n’avez pas besoin de régler vos problèmes. Vous avez besoin d’une philosophie de vie. 

 

Parce qu’en réalité, vos problèmes découlent du fait que que vous n’avez pas de philosophie de vie. 

 

Si vous n’avez pas de philosophie de vie claire, vous laissez des personnes qui n’ont rien à faire dans votre vie y entrer (ou y rester). Vous vous retrouvez à vivre des choses que vous n’aimez pas simplement parce que vous n’avez pas fait le tri de ce qui était important pour vous en amont. Vous vous retrouvez à faire un job qui ne vous plait qu’à moitié.

 

C’est pour cela que c’est terriblement important d’avoir un filtre qui vous permet de savoir si chaque chose que vous faites au quotidien se situe dans le respect de qui vous êtes vraiment.

 

Une philosophie de vie, ce n’est pas un truc qui se trouve ! Ce n’est pas une révélation divine qui nous tombe dessus comme ça un beau matin. 

 

C’est quelque chose qui se décide, comme l’ont fait Anthony Hopkins et Meryl Streep.

 

Ils ont décidé ce qui était important pour eux et ce qui ne l’était pas. Ce qui correspondait à leur vision de la vie et qui ne correspondait pas.

 

Et tout ce qui n’allait pas dans ce sens : que ce soient avec les gens, dans les situations de la vie quotidienne, dans leur métier… Ils ont ouvert la porte ou bien fermé la porte.

 

Vous savez ce qu’il vous reste à faire ?

 

Je ne dis pas que c’est facile. Je ne dis pas que ça se fait en un jour.

 

Mais c’est la seule condition pour être véritablement heureux et préserver son énergie vitale, comme le souligne Anthony Hopkins. 

 

PS : si vous n’avez pas vu passer ces textes, vous pour les retrouver ici :

> “Arrête de te plaindre, trouve-toi une vie”

> 2 choses à arrêter et 3 choses à commencer

L’article d’hier a déclenché des réactions auxquelles je ne m’attendais pas du tout :  j’ai reçu des tonnes de messages à son sujet !!

>> Cliquez ici si vous n’avez pas lu ce texte

 

Comme ça a bien plu, je suis de nouveau allée chercher l’inspiration du côté du cinéma américain avec la délicieuse et talentueuse Meryl Steep (je crois bien qu’Out of Africa est mon film préféré).

 

 

Là encore, je n’ai aucune confirmation que ce texte soit bien d’elle mais au vu de ses récentes déclarations publiques, c’est tout à fait plausible.

 

Voici en tout cas ce que j’avais envie de partager avec vous :

 

“Avec le temps, j’ai arrêté de dialoguer avec ceux qui ne m’écoutaient pas et avec ceux qui voulaient toujours avoir raison.

J’ai aussi arrêté de chercher les gens qui ne me cherchaient jamais, de penser à ceux qui ne pensaient jamais à moi.

J’ai commencé à faire ce qui me fait du bien, sans excès mais avec passion.

J’ai commencé à faire confiance à mon intuition pour tout, pour chaque choix, pour chaque personne.

J’ai commencé à éviter les gens négatifs et j’ai commencé à fréquenter les rares personnes positives.

Parce que j’ai appris à me respecter et j’ai commencé à me mettre en premier.

Parce que je pense que je le mérite.”

– Meryl Streep-

 

A très vite pour de nouveaux articles “maison”.

Vous est-il déjà arrivé de ressentir les choses suivantes :

  • vous demandez « ce que vous faites là »
  • vous vous dites « mais qu’est-ce que j’ai fait pour que ça m’arrive »
  • vous vous sentez impuissant.e lorsque surviennent des attentats comme nous en avons connu il n’y a pas si longtemps sur notre propre territoire ou que vous êtes confronté.e à ces images des familles syriennes fuyant la guerre ou ces migrants risquant leur vie pour fuir la misère

 

Moi aussi, je suis passée par là. Pour tout vous dire, quand j’avais une dizaine d’années, j’étais arrivée à la conclusion suivante que je devais être une extra-terrestre, tellement je ne comprenais rien à ce qui se passait sur cette planète. Je me disais : « on m’a débarqué là par erreur, mais ils vont s’en rendre compte et revenir me chercher ». 

 

Et puis, quelques années plus tard, suite à une dépression, quand c’est vraiment devenu trop dur pour moi de vivre dans ce monde, j’ai cherché à donner un sens à ma vie. J’ai fait des stages de développement personnel. J’ai lu des tas de bouquins. J’ai cherché en moi.

 

 

Et j’ai trouvé… Tout ce que j’ai trouvé depuis que je « travaille » sur moi, je vous l’offre par le biais de mes newsletters, articles, vidéos depuis 2011.

 

Mais aujourd’hui, au vu du contexte actuel et des nombreuses demandes que je reçois chaque jour – « que faire concrètement par rapport à tout ce qui se passe ? « comment rester centré sur la lumière, sur l’amour ? » ou encore « je me sens si impuissant.e, comment puis-je oeuvrer pour un monde meilleur ? » – je voudrais faire encore plus pour vous.

 

J’ai connu en 2017 et 2018 des épreuves importantes et j’ai à nouveau cherché, encore plus en profondeur, des réponses. 

 

Et comme je les ai trouvées, et que ces réponses m’ont permis de sortir définitivement du club des plus-ou-moins-dépressifs-qui-ne-comprennent-rien-à-ce-monde, je vais vous les offrir à travers une série d’articles qui va répondre à toutes les questions que j’évoquais plus haut.

 

Cette série d’articles va vous permettre de contacter la confiance en des lendemains meilleurs mais aussi trouver de quoi transformer votre vie en profondeur et donner un sens à ce que vous vivez.

 

Ce mini-événement, ça va se dérouler toute la semaine prochaine : je vous donnerai plein d’info pour aller plus loin dans la compréhension de ce qui se passe dans votre vie, dans notre vie à l’heure actuelle, comment fonctionne l’univers et le plan divin et surtout, comment faire pour guérir et transformer tout ce qui vous fait mal au quotidien.

 

A lundi !

Comment allez-vous en ce lundi pascal ? Bien j’espère !!

 

Pâques est célébrée après l’équinoxe de printemps, le dimanche qui suit la première lune de printemps : c’est pour cela que c’est une date mobile et non une date fixe). Pour les Chrétiens, Pâques est une fête de la lumière, elle symbolise la résurrection, le Christ sorti des ténèbres. Si l’on observe la nature, c’est aussi à ce moment de l’année que les plantes qui avaient disparu sortent de terre, que les bourgeons éclosent, que les arbustes qui semblaient morts redeviennent verts et reprennent de la vigueur. 

 

 

De mon côté, c’est une période de l’année que j’aime beaucoup : le début du printemps, avec les bourgeons qui s’ouvrent sous nos yeux. Le changement de saison est encore plus « marqué » ici en Suisse que dans ma Bretagne natale puisque ces fameux bourgeons ont à la fois à s’ouvrir au soleil qui est bien présent mais réchauffe peu pour le moment, et à résister aux dernières intempéries de l’hiver (il y a à peine dix jours, nous avons encore eu un épisode neigeux assez impressionnant et un autre est annoncé dans les prochains jours).

 

Une belle métaphore de la vie en quelque sorte : à la fois appelés que nous sommes par la lumière, tout en ayant à composer avec le « froid » de nos douleurs, de nos blessures et toutes les circonstances extérieures qui peuvent nous tirer vers le bas.

 

Une actualité météorologique et liturgique qui me fait penser à un texte de Thich Nhat Hanh que j’ai reçu récemment.

 

« Bien sûr, nous avons commis des erreurs. Bien sûr, nous avons été maladroits. Bien sûr, nous nous sommes fait souffrir et avons fait souffrir notre entourage. Mais cela ne nous empêche pas de nous améliorer, de nous transformer, de prendre un nouveau départ. Faire un renouveau signifie regarder profondément et en toute honnêteté en nous-mêmes, dans nos pensées, paroles et actions passées, et prendre un nouveau départ avec nous-mêmes et dans nos relations. Le Bouddha a déclaré que si nous n’avons jamais souffert, nous ne pouvons pas apprendre. Nous apprenons en faisant des erreurs. Nous pouvons prendre un nouveau départ au dernier moment de la journée, et même au dernier instant de notre vie. Dans une journée, en vingt-quatre heures, nous avons des centaines de chances de prendre un nouveau départ. »

 

Que diriez-vous d’accompagner la vie, de vous couler dans l’idée du renouveau printanier, de l’énergie de la résurrection en vous posant des questions comme :

  • qu’est-ce que j’ai besoin/envie de me pardonner aujourd’hui ?
  • est-ce qu’il y a quelqu’un à qui j’en veux ? est-ce que je peux décider de guérir cette blessure en voyant que la personne a fait du mieux qu’elle a pu au moment où elle a fait ce qu’elle a fait ou dit ce qu’elle a dit ? En comprenant que si j’avais été à sa place, avec son système de croyances, j’aurais fait la même chose ? Et que par conséquent, il n’y a en réalité rien à pardonner ?
  • à quoi puis-je m’ouvrir aujourd’hui (à l’amour, à l’atteinte d’un objectif, à faire quelque chose de nouveau, de différent, d’inhabituel…) ?
  • à quoi suis-je invité.e à dire non (une personne, une situation dont je ne veux plus, 
  • quel nouveau départ puis-je prendre aujourd’hui ? dans quel domaine ? comment ?
  • qu’est-ce que la vie me murmure à l’oreille en ce moment ?
  • qu’est-ce que la vie cherche à manifester à travers moi en ce printemps 2021 ?

 

C’est un jour férié aujourd’hui… Que diriez-vous de prendre du temps (vraiment) pour répondre à ces questions ? 

C’est le printemps aujourd’hui, youpi ! Première saison de l’année, le Printemps est synonyme de renouveau, de renaissance, avec le réveil des végétaux et la floraison des plantes. L’occasion de se poser la question de son propre Renouvellement.

 

Il y a des gens qui aiment profiter du printemps pour faire un grand ménage. C’est mon cas ! 

Je vous en parlais d’ailleurs il y a quelques jours dans mon article En quoi le ménage de printemps est indispensable ?

 

J’aime bien aussi faire un nettoyage d’automne, afin de me mettre dans une énergie descendante, celle des jours qui baissent, celle du froid qui invite à passer moins de temps au jardin et davantage au coin du feu, celle de la nuit qui nous propose davantage de temps d’introspection.

 

Cela fait que tous les 6 mois, au printemps et en automne, je fais donc un grand tri chez moi avec ce critère qui ne souffre aucune discussion : tout ce dont je ne me suis pas servie depuis plus d’un an, je considère qu’il nets plus pour moi alors soit je jette, soit je donne, soit je vends sur le Bon Coin.

 

 

Voilà, ça c’est pour le matériel. Mais ça n’est pas suffisant. Si l’on veut avoir plaisir à vivre dans sa vie autant qu’on aime vivre dans un chez soi épuré, il faut aussi savoir faire du tri régulièrement pour éliminer le superflu et ne garder que l’essentiel.

 

Si cela vous semble difficile, ou que vous manquez de méthode, voici 3 articles pour vous y aider : 

 

Je vous dis à très vite.

J’ai participé la semaine dernière à une formation et la dernière journée était consacrée à l’après-formation : comment conserver l’énergie du challenge, comment rester motivé.e, comment persévérer lorsqu’on se retrouve seul face à son objectif ou son projet ? En mettant mes idées noir sur blanc, en décortiquant comment je fais pour être toujours pleine d’énergie et aller de l’avant (c’est une question qui revient souvent dans la bouche de mes lecteurs), j’ai mis à jour les 5 points à vérifier si vous manquez de motivation. Voici le cinquième et dernier.

> Retrouvez ces 5 points-clés dans l’e-book Comment réussir sans effort, que vous pouvez télécharger ici

 

 

Cultivez une foi qui déplace les montagnes

 

Ce point est la suite logique du précédent : il est beaucoup plus facile de s’élancer hors des sentiers battus que la vie nous invite à emprunter et de renoncer devant une porte close si nous vivons dans la conscience que l’univers entier conspire à notre bonheur, pour reprendre les mots de Paulo Coelho.

 

Pour être capable d’accueillir la réponse de la vie comme étant la meilleure pour vous, pour devenir capable de se dire, en face de chaque situation, même la plus déplaisante, « soit je gagne, soit j’apprends »  il est indispensable de cultiver sa foi dans la justesse du plan divin.

 

Que veut dire cette expression « une foi qui déplace les montagnes » ? Cette expression nous vient de l’Évangile de Matthieu : « C’est à cause de votre incrédulité, leur dit Jésus. Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne : Transporte-toi d’ici là, et elle se transporterait ; rien ne vous serait impossible. » 

 

Petite précision culturelle : le sénevé est plus connu sous le nom de graine de moutarde. Cette graine est très petite, la plus petite que les auditeurs de Jésus connaissent. En revanche, la graine de sénevé se développe très rapidement et peut atteindre 3 mètres de haut dans les pays du Moyen-Orient. Je reviendrai tout à l’heure à cette notion de graine. En ce qui concerne la montagne, il est dit ici clairement qu’avec la foi, la montagne peut se déplacer et que rien n’est impossible. En d’autres termes la foi fait se matérialiser nos souhaits. 

 

 

• Croire en ce qu’on ne voit pas encore

C’est ici que l’on revient à la métaphore de la graine de sénevé. Toute graine porte en elle l’arbre qu’elle deviendra, même si ça ne se voit pas au premier abord. Quand vous voyez un gland, vous ne voyez pas un chêne. Et pourtant, le gland est la première étape du chêne. Toute création voit d’abord le jour dans le monde invisible avant sa matérialisation dans le monde physique. Tout les objets que l’homme a créés ont d’abord été pensés. La première étape de toute création réside dans la conception. Ainsi, ce n’est pas parce que vous n’en n’êtes qu’à l’étape de l’idée, du projet que vous ne pouvez pas réaliser votre rêve, même si vous ne savez pas encore comment, ce qui nous amène d’ailleurs directement au point suivant. 

 

• Ne pas s’attacher au comment

Le « comment cela va se faire ? » importe peu. Lorsqu’on s’interroge sur la question, on manque de foi justement. Là encore, repensez à la graine : vous n’avez absolument aucune idée de la manière dont les graines se transforment en arbre, n’est-ce pas ? 

Aujourd’hui, avec la botanique, on peut l’expliquer. Mais heureusement que les tribus de chasseurs-cueilleurs qui ont commencé à se sédentariser grâce à l’agriculture ne se sont pas posé la question du comment pour commencer à semer des graines. Car c’est grâce à l’agriculture que leur boîte crânienne a pu s’élargir, donnant ainsi naissance à l’homo sapiens. Ce n’est pas parce que vous ne savez pas comment ça va se réaliser que vous devez renoncer. 

Repensez à la plupart des choses que vous avez accomplies : il est rare que leur réalisation ait suivi la trajectoire que vous aviez imaginée au départ. Regardez vos amis, comment les avez-vous rencontrés ? Certainement pas grâce au site monmeilleurami.com. Non, vous les avez rencontrés tout simplement parce que vous étiez au bon endroit, au bon moment, dans la bonne disposition d’esprit, et l’amitié est née. Faites confiance que pour votre projet quel qu’il soit, ce sera la même chose : vous rencontrerez les bonnes personnes au bon moment, vous aurez accès au bonnes informations en temps et en heure, vous saurez saisir les opportunités nécessaires quand vous en aurez besoin. 

Contentez-vous de focaliser sur l’objectif final : c’est ça votre job et uniquement ça. Laissez la logistique à l’univers. Quand vous commandez un livre sur Amazon, vous ne les appelez pas pour savoir s’ils ont bien reçu votre commande et par où passe le camion qui va venir vous livrer. Vous faites simplement confiance que votre livre va vous être livré comme convenu. 

 

• Nourrir un état d’esprit compatible avec sa plus haute intention 

Cultiver sa foi, c’est aussi ne pas cultiver tout ce qui ne va pas dans le sens de mon rêve ou de mon projet. Ainsi, écouter les mauvaises nouvelles à la télévision, à la radio, lire les journaux est totalement contre-productif. Toute votre énergie doit être orientée et uniquement orientée vers ce qui pourrait rendre possible votre objectif. Vous vous souvenez, quand vous appreniez à conduire, le moniteur vous disait : « là où tu regardes, tu emmènes ta voiture ». Pour votre vie, c’est pareil : si vous regardez ailleurs que dans la direction où vous voulez allez, vous n’avez aucune chance d’y arriver.

 

• Ne pas s’inquiéter du temps nécessaire et persévérer

Nous revenons à la graine de sénevé avec laquelle nous avons commencé. Quand vous semez une graine, il se passe un certain temps avant que les premières pousses vertes sortent de terre. 

Et pourtant vous continuez d’arroser tous les jours, il ne vous viendrait pas à l’idée de gratter la terre pour vérifier que la graine a germé. Vous plantez, vous arrosez et vous attendez. 

Tout processus prend du temps. 

Il y a certains processus dont le temps est connu : quand vous voulez un oeuf dur, ça prend 10 minutes à partir de l’ébullition. 

Mais pour tout ce qui concerne la croissance personnelle et les projets, on sait combien de temps ça a pris une fois que le processus est terminé. 

Et ce temps est directement proportionnel à notre foi. 

Pour vous aider à persévérer pendant que le temps passe, souvenez-vous que les petits ruisseaux font les grandes rivières et que nous avons dû apprendre à marcher avant de savoir courir. 

 

Chaque pas compte vers la réalisation de votre objectif, il faut donc un jour commencer, même en titubant comme le fait le jeune enfant et faire tous les pas les uns après les autres, pour être certain de parvenir à destination. 

 

Cette série d’articles vous a plus ? Retrouvez les 5 points-clés pour une motivation toujours au top en suivant ce lien

J’ai participé la semaine dernière à une formation et la dernière journée était consacrée à l’après-formation : comment conserver l’énergie du challenge, comment rester motivé.e, comment persévérer lorsqu’on se retrouve seul face à son objectif ou son projet ? En mettant mes idées noir sur blanc, en décortiquant comment je fais pour être toujours pleine d’énergie et aller de l’avant (c’est une question qui revient souvent dans la bouche de mes lecteurs), j’ai mis à jour les 5 points à vérifier si vous manquez de motivation. Voici le quatrième.

 

 

Soyez vigilant.e à ce qui se passe dans votre vie

 

Et prendre les décisions qui suivent ce que ça vous indique !

 

Une fois que vous avez défini votre plus haute intention, votre objectif ambitieux, votre raison d’être, que vous consacrez une heure par jour à votre développement personnel et spirituel, que vous avez mis noir sur blanc votre plan d’action et que vous en faites un peu chaque jour, il va se passer des choses.

 

Vous avez émis un signal fort dans le monde. Vous allez recevoir des réponses.

 

Tous les jours, à chaque heure. Ces réponses sont de 2 types.

 

Soit la vie vous répond en allant dans votre sens : des portes s’ouvrent.

 

Soit la vie vous répond en n’allant pas dans votre sens : vous avez beau toquer, les portes restent fermées.

 

C’est ainsi, il y a toujours 2 tendances :

  • ce qui a tendance à se produire ;
  • ce qui a tendance à ne pas se produire.

 

Si l’on regarde bien, tout notre environnement nous envoie des messages, des signaux, que nous captons plus ou moins bien, avec plus ou moins de conscience : nos émotions, notre corps, notre ordinateur, notre voiture, notre ordinateur, nos animaux (et même ceux que nous n’avons pas).

 

Votre job, c’est de développer un état d’esprit de vigilance par rapport à ces tendances, pour ne pas continuer à foncer tête baissée vers votre objectif sans observer ce qui sa passe. Cette manière de faire s’appelle le contrôle.

 

Ce que la vie vous invite à faire, c’est à danser avec elle. Parce que vous avez peut-être décidé que c’est par cette porte que vous deviez passer pour atteindre votre objectif, et c’est pour ça que vous continuer de frapper de plus en plus fort, voire que vous envisager de vous équiper d’un bélier (ou même d’un bazooka). Mais le problème, c’est que pendant que vous vous échiner sur la porte, vous ne voyez pas qu’on est en train de vous ouvrir la fenêtre et que le chemin qui se trouve derrière la fenêtre va vous mener de manière bien plus simple, facile, fluide er agréable vers votre objectif.

 

C’est pour cela qu’il est extrêmement important d’observer ce qui a tendance à se produire et ce qui a tendance à ne pas se produire.

 

 

Mais ce n’est pas tout !

 

La deuxième partie du job, et c’est bien souvent la plus difficile, c’est de suivre les tendances : c’est-à-dire décider d’aller dans la direction de ce qui a tendance à se produire et décider de ne pas aller dans la direction de ce qui a tendance à ne pas se produire.

 

Sur le papier, ça a l’air fastoche, mais dans la réalité, ça l’est beaucoup moins…

 

Pourquoi ?

 

Parce que bien souvent, on a très envie de ce qui a tendance à ne pas se produire (parce que c’est du connu, c’est ce qu’on sait faire, c’est ce qu’on avait prévu…) et on a très peur de ce qui a tendance à se produire (parce que ça nous demande de voir les choses autrement, de sortir de notre zone de confort, de faire quelque chose de nouveau, de dire non à quelqu’un qu’on aime…)

 

Et pourtant, je peux vous dire qu’après quelques années de pratique du « je fais comme j’ai décidé » et du « je danse avec la vie », c’est la deuxième recette qui donne les résultats non seulement les plus savoureux offre au fil du temps la délicieuse sensation de se sentir divinement guidé.e, divinement protégé.e.

 

A vous choisir !

J’ai participé la semaine dernière à une formation et la dernière journée était consacrée à l’après-formation : comment conserver l’énergie du challenge, comment rester motivé.e, comment persévérer lorsqu’on se retrouve seul face à son objectif ou son projet ? En mettant mes idées noir sur blanc, en décortiquant comment je fais pour être toujours pleine d’énergie et aller de l’avant (c’est une question qui revient souvent dans la bouche de mes lecteurs), j’ai mis à jour les 5 points à vérifier si vous manquez de motivation. Voici le troisième.

 

 

Détaillez votre plus haut objectif en plan d’action avec de toutes petites tâches à réaliser et piocher dans cette liste pour passer à l’action pendant (au moins) une heure par jour.

 

Quand on a un objectif ambitieux, il est évident qu’il va nous demander du temps pour se mettre en place. Et là, il peut être tentant de se dire : « je m’y mettrai quand j’aurais une demi-journée devant moi » ou « dimanche, c’est décidé, je m’y mets ». C’est une grossière erreur.

 

Pourquoi ?

 

Parce que quand on a une vie de famille, un job, des factures dans la boîte aux lettres, des formalités administratives à accomplir, eh bien cette demi-journée de temps libre, on ne l’a jamais.

 

Alors il faut s’arranger autrement afin de profiter pleinement de chaque moment disponible pour avancer vers sa raison d’être.

 

L’autre souci qui peut se poser quand on ose enfin mettre noir sur blanc sa raison d’être, sa mission de vie, sa plus haute intention, c’est qu’il y a un gap entre là où on se trouve et notre objectif. Du coup, on ne passe pas à l’action car la montagne nous semble trop haute à gravir.

 

Mais heureusement, je connais un outil fantastique, à la portée de tous : la baguette magique. 

 

Et j’ai le grand plaisir de vous l’offrir aujourd’hui.

 

La baguette magique est une méthode de planification d’objectifs et, plus précisément, une méthode permettant de découvrir par où commencer dans le processus d’atteinte d’un objectif.

 

Un retroplanning

La baguette magique fonctionne comme un retro-planning, c’est-à-dire qu’elle permet de vérifier que vous avez assez de temps pour votre projet. Exemple : 

> Je veux écrire mon livre et je veux qu’il soit dans les librairies le 15 janvier 2022.

Cela veut dire qu’il faut qu’il soit imprimé en décembre 2021.

Cela veut dire qu’il faut que la dernière relecture ait lieu en novembre 2021.

Cela veut dire qu’il faut qu’il soit terminé de rédiger en octobre 2021.

 

Admettons que mon livre fasse 12 chapitres et que j’en écrit un par mois, nous sommes en mars 2021, je m’aperçois que ça ne colle pas : soit je décale la date de parution de mon livre, soit j’organise mon emploi du temps de manière à écrire davantage chaque mois. Cela peut aussi fonctionner en sens inverse, on peut grâce à cette manière de procéder se rendre compte qu’on peut avancer plus vite que ce qu’on pensant pour la réalisation de son projet.

 

La méthode complète en 5 étapes

1 – Reprenez votre objectif et imaginez que vous avez une baguette magique qui vous permet , à l’instant, d’atteindre votre objectif. Si vous utilisez cette baguette magique et que vous êtes projeté au seuil d’atteinte :

  • Dans quelle situation vous trouveriez-vous ? 
  • Qu’est-ce que vous seriez en train de faire ? 
  • Avec qui ? Qu’est-ce que vous diriez ? Qu’est-ce que vous entendriez ?
  • Quelle expérience feriez-vous ?

NB. Le temps ne peut pas être une limite (ne vous dites pas “Ça serait bien, mais je n’aurai jamais le temps”). C’est justement pour ça qu’on utilise cette méthode, pour gagner du temps et de l’efficacité.

 

2 – En supposant que vous décidiez d’aller dans cette direction (puisque vous n’avez pas de baguette magique…), faites la liste des étapes préalables à rebours (c’est-à-dire en partant de l’objectif atteint, et en remontant dans le temps. La question-clé est : Pour arriver à ça, qu’est-ce que j’ai dû faire juste avant ?

NB. Il peut y avoir des séries d’étapes en parallèle. 

 

3 – Subdivisez la dernière étape de telle sorte qu’au moins les 3 dernières étapes (les plus proches dans le temps de maintenant) soient très facilement réalisables. Faites cela jusqu’à ce que vous ayez déterminé au moins 3 étapes que vous pourriez faire dans le courant de la semaine prochaine, voire d’ici demain matin…

NB. S’il s’agit de séries d’étapes en parallèle, déterminez 3 étapes pour chaque parallèle.

 

4 – Faites la dernière étape qui figure sur votre liste : elle est censée être très facilement réalisable dans un avenir très proche. Si ce n’est pas le cas, subdivisez-la jusqu’à ce que au moins les 3 dernières étapes soient “très facilement réalisables dans un avenir très proche”.

 

5 – Dès qu’une étape est réalisée, barrez-la et reconstituez une liste d’au moins 3 étapes très facilement réalisables dans un avenir très proche, par exemple en subdivisant l’étape précédente.

 

L’essence de la baguette magique

Mettez un soin particulier à toujours maintenir une liste d’au moins 3 étapes très facilement réalisables dans un avenir très proche, sinon vous passez à côté de l’essence même de la baguette magique. C’est en réalisant ces toutes petites étapes jour après jour que votre objectif se réalise. 

 

Par ailleurs, voir votre projet se rapprocher de vous au fur et à mesure permet de rester motivé ce qui est un challenge pour les gros projets qui sont éloignés de notre vie actuelle. Enfin, cela active la loi d’attraction : en mettant le focus sur le fait de réaliser une action par jour, même petite, vous focalisez sur votre objectif.

 

Et ce n’est pas tout !

 

Vous pouvez rendre cette baguette magique encore plus performante, en l’utilisant avec ce que j’appelle « l’action inspirée ».

 

Comment faire ?

C’est très simple !

 

Chaque jour, dès que vous avez l’occasion de réaliser une des étapes de votre baguette magique,  fermez les yeux en visualisant votre objectif. Lorsque vous rouvrez les yeux et que vous regardez les toutes petites étapes qui se trouvent en fin de chacune de vos parallèles, laissez-vous guider ce les étapes qui vous « interpellent » et faites celles-ci en priorité, de manière à vous mettre dans le flux de la vie. Encore une fois, en faisant cela, vous gagnez du temps et de l’efficacité.

 

Cela peut vous paraître étrange mais si vous vous sentez inspirée par telle ou telle action alors que d’autres vous paraitraient plus urgentes, c’est qu’il y a une raison : c’est que vous êtes dans le bon état d’esprit pour agir ainsi, ou que les personnes que vous essayer de joindre son disponibles maintenant et ne le seront pas plus tard (ou inversement), c’est que votre subconscient est prêt à accomplir cette action. 

Il se peut que rien ne vous inspire dans votre liste. Si c’est le cas, centrez-vous, fermez les yeux et sentez ce qui cherche à se manifester à travers vous. Et faites-le. Même s’il s’agit d’aller faire des courses (vous avez peut-être tout simplement besoin de décompresser ou encore c’est parce que vous allez croiser quelqu’un qui va être important pour vous) ou de faire une sieste (l’intuition du siècle sera peut-être présente au réveil). Faites-vous confiance et faites confiance au flux de la vie.

La semaine dernière, j’ai participé à une formation et la dernière journée était consacrée à l’après-formation : comment conserver l’énergie du challenge, comment rester motivé.e, comment persévérer lorsqu’on se retrouve seul face à son objectif ou son projet ? En mettant mes idées noir sur blanc, en décortiquant comment je fais pour être toujours pleine d’énergie et aller de l’avant (c’est une question qui revient souvent dans la bouche de mes lecteurs), j’ai mis à jour les 5 points à vérifier si vous manquez de motivation. Voici le deuxième.

 

 

 

Avoir une routine  de développement personnel et spirituel qui comprend un travail lié à l’intention que vous avez définie

> Pour définir facilement votre plus haute intention, un objectif aligné sur le plan divin, suivez ce lien

 

Tout comme le marathonien court tous les jours ou que le pianiste-concertiste fait ses gammes tous les jours, il doit en être de même pour vous. 

 

Le lien avec le divin, c’est comme une relation : ça s’entretient. Si vous souhaitez que Dieu vous accompagne dans toutes vos tâches et vous aide à accomplir votre destinée humaine, il faut le lui demander. Puis écouter ses réponses. Et mettre en oeuvre ces fameuses réponses.

 

C’est pour ça que vous devez prendre le temps chaque jour d’y consacrer toute votre énergie. Dans l’action, comme on le verra dans le point ci-dessous, mais pas seulement. Loin de là.

 

Même les jours où vous êtes débordé.e, votre priorité doit-être celle-là.

 

Prendre une heure pour votre développement personnel et spirituel, selon la routine que vous souhaitez.

 

Voici la mienne.

• J’allume une bougie, qui symbolise l’entrée dans un moment particulier, une parenthèse dans ma vie bien remplie.

• Je commence par un moment de gratitude : j’écris dans mon cahier 5 choses pour lesquelles je me sens reconnaissante, petites ou grandes.

• J’interroge mes guides au sujet d’une question que je me pose.

• Je passe une commande à l’univers.

• Je prends un moment de prière, comme un rendez-vous d’amour avec moi, un moment où je peux être 100% authentique, un moment où je me mets à l’écoute de ce que la vie cherche à manifester à travers moi.

• Si besoin ou envie je pratique une auto-onction sacrée.

• Enfin, je termine en soufflant ma bougie, avec la conscience que tout ce que je viens de faire là dans la matière continue à agir dans le subtil.

 

Pourquoi est-ce que cette heure doit être prioritaire ? 

 

Parce que plus vous vous connecterez à ce point de votre coeur où vous faites l’expérience que tout est connecté, où vous ne faites qu’un avec le Tout, où vous ne savez plus si Dieu est en vous ou vous en lui, plus vous attirerez des personnes et des événements qui correspondent à cette vibration, plus vous vous alignerez sur votre plus haute intention.